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modifié il y a 13 ans
Voila, voila !
Ici poster tous les début de romans ou même poèmes !
Cordialement NEY
Voici les réponses de cette discussion : (page 4/13)
Elle l'a écrit il y a 7 ans ^_^'
… Je me suis assise et j'ai pleuré. La légende raconte que tout ce qui tombe dans les eaux de cette rivière, les feuilles, les insectes, les plumes des oiseaux, tout se transforme en pierres de son lit. Ah ! que ne donnerais-je pas pour pouvoir arracher mon cœur de ma poitrine et le jeter dans le courant… Il n'y aurait alors plus de douleur, plus de regret, plus de souvenirs.
Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré. Le froid de l'hiver a fait que j'ai senti les larmes sur mon visage, et elles se sont mêlées aux eaux glaciales qui coulent devant moi. Quelque part, cette rivière rejoint une autre, puis une autre, jusqu'au moment où, bien loin de mes yeux et de mon cœur, toutes ces eaux se confondent avec la mer.
Que mes larmes coulent ainsi très loin, afin que mon amour ne sache jamais qu'un jour j'ai pleuré pour lui. Que mes larmes coulent très loin, et alors j'oublierai la rivière, le monastère, l'église dans les Pyrénées, la brume, les chemins que nous avons parcourus ensemble.
J'oublierai les routes, les montagnes et les champs de mes rêves, ces rêves qui étaient les miens et que je ne reconnais pas.
Je me souviens de mon instant magique, de ce moment où un «oui» ou un «non» peut changer toute notre existence. Il me semble qu'il y a bien longtemps de cela, et pourtant voilà seulement une semaine que j'ai retrouvé mon amour et que je l'ai perdu.
C'est sur les rives de la rivière Piedra que j'ai écrit cette histoire. J'avais les mains gelées, mes jambes repliées s'engourdissaient et je devais m'interrompre à tout instant.
«Essaie seulement de vivre. Se souvenir est l'apanage des plus vieux», disait-il.
Peut-être l'amour nous fait-il vieillir avant l'heure et redevenir jeunes quand la jeunesse s'en est allée. Mais comment ne pas se rappeler ces moments-là ? C'est pour cette raison que j'écris, pour transformer la tristesse en nostalgie, la solitude en souvenirs. Pour que, lorsque j'aurai fini cette histoire, je puisse la jeter à la rivière Piedra-- ainsi avait dit la femme qui m'avait reçue. Alors, pour employer les mots qu'avait prononcés une sainte, les eaux Toutes les histoires d'amour sont semblables.
Nous avions passé ensemble notre enfance et notre adolescence. Puis il partit, comme partent tous les garçons des petites villes. Il dit qu'il voulait connaître le monde, que ses rêves allaient bien au-delà des terres de Soria.
Pendant quelques années, je n'ai pas eu de nouvelles. De temps à autre je recevais une lettre, mais c'était tout, car il ne revint jamais aux bois et aux rues de notre enfance.
Quand j'eus terminé mes études, j'allai habiter Saragosse, et je découvris qu'il avait raison. Soria était une petite ville, et son unique grand poète a dit que c'est en marchant que se fait le chemin. J'entrai à la faculté et trouvai un fiancé. Et je me mis à préparer un concours dans l'administration publique. Je trouvai un emploi de vendeuse pour payer mes études, échouai au concours, renonçai au fiancé.
Ses lettres alors, devinrent peu à peu plus fréquentes, avec des timbres de différents pays. J'étais jalouse. Il était l'ami plus âgé, celui qui savait tout, qui parcourait le monde, laissait grandir ses ailes, tandis que moi je cherchais à m'enraciner.
Un beau jour, ses lettres ont commencé à parler de Dieu. Elles provenaient toutes d'un même endroit, en France. Dans l'une d'elles, il exprimait son désir d'entrer au séminaire et de consacrer sa vie à la prière. Je répondis en lui demandant d'attendre un peu, de vivre un peu plus longtemps sa liberté avant de prendre un engagement si grave.
Après avoir relu ma lettre, je décidai de la déchirer : qui donc étais-je pour lui parler de liberté ou d'engagement ? Lui savait ce que ces mots voulaient dire, moi non.
Un jour, j'appris qu'il donnait des conférences. Je fus surprise, car il était trop jeune pour pouvoir enseigner quoi que ce fût. Mais, voilà deux semaines il m'a envoyé une carte dans laquelle il disait qu'il devait prendre la parole devant un petit groupe à Madrid, et qu'il tenait beaucoup à ma présence.
J'ai mis quatre heures pour aller de Saragosse à Madrid ; mais je voulais le revoir. Je voulais l'entendre. Je voulais m'asseoir avec lui dans un café, évoquer le temps où nous jouions ensemble et pensions que le monde était trop vaste pour qu'on en fît le tour.
La conférence avait lieu dans un endroit plus conventionnel que je ne m'attendais à en trouver.
Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : "Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués." Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier.
L'asile de vieillards est à Marengo, à quatre-vingts kilomètres d'Alger. Je prendrai l'autobus à deux heures et j'arriverai dans l'après-midi. Ainsi, je pourrai veiller et je rentrerai demain soir. J'ai demandé deux jours de congé à mon patron et il ne pouvait pas me les refuser avec une excuse pareille. Mais il n'avait pas l'air content. Je lui ai même dit : " Ce n'est pas de ma faute." Il n'a pas répondu. J'ai pensé alors que je n'aurais pas dû lui dire cela. En somme, je n'avais pas à m'excuser. C'était plutôt à lui de me présenter ses condoléances. Mais il le fera sans doute après-demain, quand il me verra en deuil. Pour le moment, c'est un peu comme si maman n'était pas morte. Après l'enterrement, au contraire, ce sera une affaire classée et tout aura revêtu une allure plus officielle.
J'ai pris l'autobus à deux heures. Il faisait très chaud. J'ai mangé au restaurant, chez Céleste, comme
Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et Céleste m'a dit : " On n' a qu'une mère. " Quand je suis parti, ils m'ont accompagné à la porte. J'étais un peu étourdi parce qu'il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu son oncle, il y a quelques mois.
J'ai couru pour ne pas manquer le départ. Cette hâte, cette course, c'est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à l'odeur d'essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis assoupi. J'ai dormi pendant presque tout le trajet. Et quand je me suis réveillé, j'étais tassé contre un militaire qui m'a souri et qui m'a demandé si je venais de loin. J'ai dit " oui " pour n'avoir plus à parler.
L'asile est à deux kilomètres du village. J'ai fait le chemin à pied. J'ai voulu voir maman tout de suite. Mais le concierge m'a dit qu'il fallait que je rencontre le directeur. Comme il était occupé, j'ai attendu un peu. Pendant tout ce temps, le concierge a parlé et ensuite, j'ai vu le directeur : il m'a reçu dans son bureau . C'est un petit vieux, avec la Légion d'honneur. Il m'a regardé de ses yeux clairs. Puis il m'a serré la main qu'il a gardée si longtemps que je ne savais trop comment la retirer.
" Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : "Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués." Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier. "
=> Camus !!!!!!! Qu'est-ce que je Kiffe cette intro ! :D
Citation :
J'ai pris l'autobus à deux heures. Il faisait très chaud. J'ai mangé au restaurant, chez Céleste, comme "IL MANQUE UN TRUC JUSTE LA !
Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et Céleste m'a dit : " On n' a qu'une mère. " Quand je suis parti, ils m'ont accompagné à la porte. J'étais un peu étourdi parce qu'il a fallu que je monte chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu son oncle, il y a quelques mois.
pourtant c'est le debut de mon roman
Cliik => si elle a fouillé dans ses tiroirs et recopié le texte,elle doit avoir remarqué la faute nan?=D
Tom => tes deux écrits racontent des choses différentes,mais tu aurais quand même pu les caser dans un seul post ;)
Très joli =D
[Fichu habitude de ne pas signer...Jannou]
Super joli Tom ! :O
~ Mino ^^.
Ah, enfin un Topic qui m'intéresse
.
Pour ma part, depuis que je suis toute petite j'écris des Histoires de Sorcellerie
Mais je n'arrive jamais à les terminer. Mes titres changent toujours. V
Je m'amusais à coller des pages blanches et ça faisait comme un livre et j'écrivais dedans, bien-sûr, maintenant j'ai un ordinateur et j'écris sur Word
. J'ai une question : vous écrivez sur Word ou sur du papier ?
J'écris en ce moment les histoires de : Salem Spellman.
C'est un jeune sorcier qui découvre le jour de ses douze ans qu'il est doté de pouvoirs surnaturels. Voici un résumé que j'ai fais :
Salem Spellman a douze ans lorsqu'il découvre qu'il est un demi-sorcier. Moitié Humain du côté de son père et Moitié Sorcière du côté de sa mère. Salem vit avec sa Grand-Mère et son drôle de chat qui parle, Harvey. Salem entre à l'Académie de Sorcellerie qui se trouve dans le monde de la magie, un lieu hors du temps et de l'espace et où tout est possible. Dès son arrivée, Salem se découvre pleins d'amis. Voler sur un balai, envouter des objets, prononcé des formules magiques, Salem prend vite goût pour la magie même s'il enchaine les catastrophes et s'attirent les foudres de ses professeurs. Mais trop vite, Salem va être plongé au cœur d'un terrible secret qui entoure sa naissance - Il découvre également qu'un complot se trame pour détruire l'Académie de Sorcellerie... Salem percera t-il le mystère qui l'entoure ? Parviendra t-il à se préserver du danger ?
«Plongez dans une aventure ensorcellante»
Ce n'était pas Jack Spellman à la base ? ^o)
Si, mais j'ai encore changé ^^
(désolé du double-post) je ne suis jamais satisfaite, toujours à repasser derrière xD
tom59530 => c'est ça, oui. On n'est pas complètement inculte, tu sais ! C'est le début de L'étranger d'Albert Camus. Si tu voulais faire croire que tu avais écrit un texte alors que tu l'as seulement copié, il ne fallait pas prendre quelque chose d'aussi connu. Et si tu t'attribues ce texte, ça s'appelle du plagiat.
Green => je connaissais pas x)
Bref,Tom,c'est pas joli le plagiat!=D
Il faudrait organiser une journée spéciale "Leçon sur la propriété intellectuelle et les peines encourues en cas de violations" sur Webidev, car les cas de plagiats se multiplient ^^/
Grave Seechi :S.
C'est nul, Tom :S.
Seechi => c'est clair...
Jannou (ou kitty ?) => c'est possible, quand je dis que c'est très connu, c'est surtout parmi les adultes (pas tous, sûrement, mais bon...). C'est le roman typique qu'on peut étudier au lycée, donc beaucoup de monde connaît, c'est sûr qu'à ton âge je ne connaissais probablement pas non plus (Camus, si, mais pas nécessairement le début de L'Étranger".)
Miley => avant j'écrivais plutôt sur papier, j'ai plein de feuilles et de cahiers... Faut dire que je ne tapais pas très vite à l'ordinateur avant ! Maintenant, plus à l'ordinateur, c'est plus simple pour faire des modifications, je trouve. Mais ça fait aussi moins classe ^^
Plagiat de Camus, en plus. Comme si ca passerait... T_T
"Mes titres changent toujours."
-> Pas grave. Le titre est quelque chose que le plus souvent, on fixe à la fin de l'écriture. ;)
-> Perso, j'ai commencé sous le Bloc-Notes de Windows (Pas de commentaires). J'ai aussi beaucoup écrit sur feuilles volantes, sur des cahier pour écrire toutes mes idées sur le papier, pas les oublier, et m'en resservir.
En dernier, j'écris sous Word. ^^
Entre parenthèse, j'ai écrit sur une feuille recto-verso la quasi totalité de mon scénario de Trafics. (J'en suis à un bon 80%, pour la fin, je verrais en tempe t en heure). ^^
Et je suis au 7 Chapitre. :D
Tout cela me donne envie de réécrire... Maintenant, je suis (enfin, j'espère), un peu plus douée donc j'arriverais peut-être à écrire quelque chose d'un peu mieux !
Green => Word, je trouve que c'est mieux car ça nous évite de faire pleins de ratures et je trouve que mes textes sont de meilleurs qualités que si je les avaient écris sur du papier :)
Et puis, c'est mille fois plus rapide a l'ordi ^^.
j'ai fait un topic sans le faire éxpres pour mon livre :$
voilà :
"-On a perdu du temps ; beaucoup trop de temps ! Fit Estelle.
-Pratiquement 3 heures ! S'exclama Lia catastrophée.
-3 heures et 40 minutes précisément ! Et pourquoi as tu accepter que Romain vienne à notre table ?
-Et bien... C'est que j'ai pas pu résister ; il a quelques chose en lui qui fait qu'on ne peut rien lui refuser...mais je ne me laisserait plus faire ; promis !
-Il faut se dépêcher ; il nous reste 30 minutes !
Elles essayèrent tant bien que mal de faire entrer leur affaires dans un petit sac. Le sac enfin boucler elles s'habillèrent chaudement car voler dans les airs ne s'improvise pas ! Enfin prêtes elles descendirent en silence jusqu'au jardin central. Romain était là regardant de temps à autre le couloir où Pauline devait venir. Lia fit signe à Estelle d'avancer lentement sans faire de bruit. Elle avança jusqu'à être derrière Romain puis Lia posa sa main sur son épaule. Il sursauta et se retourna. Il ne les reconnu pas car elles avaient de longue cape à capuches.
-C'est bon Romain ; nous sommes prêtes ! Lança Lia
-Mais Pauline ; on avait dit que tu n'inviter personne; sa va être dangereux !
Lia ricana puis enleva sa capuche.
-Tu ne me reconnais pas !
Elle enfourcha son balais puis tapa du pied ; elle fut transporter à 4 mètres du sol.
-ALLEZ ESTELLE ! DEPÊCHE TOI ! Cria Lia du ciel.
Romain tourna la tête vers l'autre silhouette encapuchonner qui s'apprêter à décoller.
-Je ne pense pas que tu puisse venir !
Estelle le regarda droit dans les yeux.
-Si toi tu à peur de venir ; tu ne viens pas ! Se sera moins difficile à gérer !
Puis elle décolla.
Romain les regarda incrédules.
-TU VIENS OU PAS ? Firent-elles d'une même voix.
Une lumière s'alluma ; puis elle s'éteignit.
Romain décida enfin de décoller ; ils partirent tous ensemble. Il se rapprocha de Lia.
-Si le Maître Supérieur apprend que vous êtes ici ; vous serez renvoyer !
S'exclama t-il.
-Je ne pense pas que se soit TON problème et puis...se sont MES amis et c'est MON choix donc mêle toi de TES affaires ! Fit Lia sur les nerfs.
-Moi je te préviens juste ; après tu ne viendras pas pleurer parce que tu est renvoyée de la plus grande école de magiciens ! Répliqua t-il.
-Oh tait-toi; je veux plus t'entendre ! Grogna celle-ci.
Romain allez en rajouter quand Estelle se mit entre eux.
-Maintenant sa suffit ; en dirait de vrais gamins !
Estelle crut entendre un « mouaisituveux » de la part de Lia mais celle-ci avança de plus belle devant eux ; elle partit à toute vitesse.
Estelle regarda Romain d'un air exaspérer.
-Evite de lui adresser la parole à présent ; sa ne va pas coller du tout !
Il fit un bref signe de tête puis tout deux rattrapèrent Lia.
Le reste du voyage se passa en silence et sans encombre.
Ils arrivèrent à 1h25 du matin ; ils s'arrêtèrent à la colline noir; à quelques pas la colline des dissanstête.
-Nous allons camper ici ; demain nous irons explorer les lieux et trouver un chemin pour accéder à la colline des dissantête ; puis à minuit nous emprunterons le chemin pour arriver à 2h30 du matin là où le soleil se lèveras.
Romain avait déballer tout cela d'un coup.
Ils posèrent leur sac et Estelle fit apparaître une tente.
-Quoi ! Comment sa ! S'exclama Lia.
-Comment sa quoi ? Fit Estelle.
-Je ne dormirais jamais avec lui ! Fit-elle en montrant du doigt Romain.
-Tu devras t-y faire Lia ; on est tous fatigués ; et puis repose toi pour demain.
Estelle entra dans la tente suivis de Romain qui haussa les épaule en souriant à Lia.
-Je le déteste ! Je le déteste ! Pensa t-elle.
Elle s'assit un instant sur une roche et regarda les étoiles. Lia pensait à Bruno; comment allait-il ? Et Gabin ? Sont-ils toujours en vie ? Sont-ils blessés ?
Elle se posait beaucoup de questions puis elle décida d'aller dormir.
Elle entra; l'intérieur était immense Romain était debout tandis qu'Estelle était allonger dans son sac de couchage un livre à la main.
-Alors; tu t'es enfin décider à venir ! Fit Estelle en sortant le nez de son livre.
-Oui; j'allais pas dormir dehors !
-Vas-y installe toi ! Proposa Estelle.
Lia se changea puis se glissa dans son sac de couchage en attendant que le sommeil l'emporte. Romain s'installa à son tour.
-Mais fait attention ; tu m'écrase ! S'exclama Lia.
-Oh sa va hein ! Tu va pas commencer a me crier dessus !
-Et si j'en est envie !fit-elle en se tournant vers lui. Tu va pas m'en empêcher !
-Tu va voir si je peux pas t'en empêcher !
Il fit apparaître un rouleau de gros scotche.
-Oh mais c'est que j'ai peur ! Fit-elle d'une voix ironique. Tant que tu y est ligote moi avec une corde.
Estelle s'énerva et se plaça entre eux.
-Je vous est déjà prévenus ! Fit-elle en arrachant le scotche des mains de Romain.
-Maintenant Romain tu te met de l'autre côter et toi Lia tu reste là ! J'en est assez de vos histoires ; sûr ceux BONNE NUIT !
Elle éteignit la lumière ; la nuit fut courte.
Estelle se leva suivit de Romain ils se préparèrent pour l'expédition. Romain proposa de réveiller Lia mais celle-ci lui déconseilla vivement de le faire ; ils partirent sans elle."
dsl 2°poste c'est un extrait de mon chapitre 5.
C'est pas mal, lady-kiwi. C'est peu difficile de s'y retrouver dans l'histoire étant donné qu'on ne connaît pas les personnages et qu'on n'a pas lu le début mais c'est plutôt bien. C'est un extrait avec beaucoup de dialogues, est-ce que tu as d'autres extraits plus descriptifs ?
J'aime bien :D.
Mino.
Voici un autre extrait d'une de mes histoires. Comme toujours, ça fait déjà quelques années que je l'ai écrit, et c'est aussi dans le genre fantastique, avec magiciens et sorciers. Je me rends compte en vous lisant que beaucoup d'entre vous aiment ce style, autant pour lire que pour écrire, mais que, du coup, les histoires que nous écrivons ne sont pas très originales
.
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"Un éclair zébra le ciel et, presque aussitôt, un coup de tonnerre retentit. On pouvait apercevoir la silhouette effrayante du château que les enfants venaient de quitter. Sous la pluie battante, Méo et Anëa avançaient péniblement, leurs pieds refusant de quitter le sol où ils s'étaient enfoncés. La boue maculait en effet la plaine qui séparait le Château, une institution de magiciens, et la Grotte, le repaire des sorciers.
Après un nouvel éclair, Méo, qui avait à peine dix ans, se mit à pleurer :
- Anëa, j'ai peur ! gémit-il. Ce n'était pas une bonne idée d'y aller aujourd'hui, rentrons, s'il-te-plaît !
- Sûrement pas ! s'exclama la jeune fille, de cinq ans plus âgée que Méo. Au premier abord, le temps peut paraître un inconvénient, mais en réalité, c'est un atout.
Devant la mine interrogative de son compagnon, elle expliqua :
- On ne peut pas nous voir grâce à la pluie. Son bruit couvre aussi nos pas, ainsi que celui du tonnerre. Grâce à l'orage, c'est impossible que l'on nous repère !
Méo hocha la tête mais ne paraissait pas rassuré pour autant. Ils continuèrent leur chemin en silence et Anëa se rappela comment elle avait décidé de partir..."
Lady-Kiwi => c'est...Il manque un peu d'explications,de descriptions.On s'y perd.Tu devrais sauter des lignes de temps en temps ;)
Green => tu devrais un peu plus mettre en valeur les émotions je trouve ;) mais sinon,comme d'hab',rien à redire...
Un de mes premiers poèmes,il date de quand je venais tout juste d'apprendre à écrire,j'avais 6-7 ans,je sais plus trop...
Saisons
L'année a commencée
Et toutes les saisons ont leurs joies et leur gaietés.
Le printemps est arrivé
Et la terre par le soleil est éclairée.
Sortent les animaux
Volent les oiseaux
Et toutes les fleurs
Reprennent leurs couleurs.
L'été est arrivé avec ses chaleurs et ses lumières
C'est la joie pour tous les enfants de la terre entière
C'est les vacances fini l'école et les leçons
Tout les enfants,filles et garçons
Se sont donnés rendez-vous à la mer
On les voit courir sur les plages
Ramasser pleins de coquillages
Et plonger dans la mer la tête la première!
C'est l'automne tombent les feuilles
On voit les écureuils
Faire leurs provisions
Ramasser noisette et marrons
Et revoilà la pluie
Et ses beaux nuages gris
Ca y est,c'est l'hiver
Il fait froid on grelotte
On attend le père Noël et sa hotte
Pleine de cadeaux pleine de joujoux
Tout ça rien que pour nous
Mais pendant ce temps-là tout est couvert
Plus rien n'est vert
Je ne vois plus que le bleu de la mer.
Ca a vraiment marqué le début de tous mes poèmes.Après à 8 ans y a eu une époque où je demandais à tout le monde un thème pour avoir de l'inspiration.Généralement c'était assez moche.Et à 9ans j'ai compris que l'inspiration vient toute seule.
Oh, c'est pas mal du tout pour un enfant de 6-7 ans ! Regarde ce que j'écrivais moi, c'est carrément plus nul ^^ :
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Le temps
Quel temps fera-t-il demain ?
Pluie ou vent ?
Neige ou beau temps ?
Tempête ou très sec ?
Regardez le baromètre !
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Pour apprendre ses leçons…
Prenez un bol et versez dedans :
Une tasse de mathématiques
Une cuillère à soupe de gymnastique
Et une à café d’éducation civique,
Sans oublier une pincée d’arts plastiques.
Versez aussi une poignée de toutes les matières
Et buvez en une cuillère !
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La rentrée
C’est la rentrée,
Feuilles et cahiers,
Trousses et stylos,
Règles et ciseaux,
Et dictionnaires,
Tout vole en l’air !
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Non ? Ça fait très longtemps que j'ai écrit ça ^^
Bon Bah suite à votre demande , voili voilou ! :
les personnages principaux : Lia Svénty
Bruno Lybers
Estelle Cantis
Gabin Moraud
Je vous met le résumé :
Lia Svénty , jeune fille de 14 rêvant de d'avoir des pouvoirs.
Un jour chez son meilleur ami Bruno ils découvrent une pièce bizarre dans son manoir.
Plusieurs événement bizarre se produisent.
Ils découvrent qu'ils sont des magiciens !
Embarquement sur le monde de Magos ou magie amitié amour et aventure se rencontreront.
Vampirs , trolls , et autres personnages imaginaires seront au redez-vous.
Et un petit extrait pour la route (parie du chapitre 1):
~~chapitre 1 : la découverte~~
Elle était là ; adosser contre l'arbre et somnolait .Une ombre se faufila derrière l'arbre.
-HE HO ! DEBOUT LA DEDANS !hurla Bruno
Lia se réveilla en sursaut .
-Mais... sa ne vas pas ! J'ai faillis faire une attaque !
-Tu aurais du voir ta tête ! Fit-il en riant
-Oui; rigole toujours .C'est une blague de très mauvais goût !
Elle s'éloigna vers la rivière ; boudante .
Elle s'allongea dans l'herbe tendre et regardas le ciel .Bruno et elle se connaissent depuis tout petit...depuis la maternelle et encore aujourd'hui !
Comme Lia est noir ; Bruno l'aider dans son combat contre les racistes ; un allié précieux !
De vrais amis ; les meilleurs !
-Alors; tu boude toujours ? Fit-il penaud
Elle s'assit.
-Non; tu le sais bien !
Lia avait de beau yeux marron et des cheveux crépus que souvent attachée en petite nattes ; tandis que Bruno lui avait des cheveux bruns et de magnifique yeux verts !
Ils patientèrent un instant puis Bruno brisa le silence :
-Bon ; on fait quoi maintenant ?
-Euh...et bien...on se pose des questions et on se répond sincèrement ; OK?
-C'est d'accord !
Lia réfléchit un instant .
-Si tu devait faire un souhait ; qu'est ce que sa serait ?
-Oh ; pour ça il ne faut pas réfléchir ! Sa serait qu'on reste amis pour toujours ! Et toi ?
-Moi ! Sa serais pareil ; mais... j'en ai un autre ! Fit-elle mystérieuse
Bruno réfléchit un instant ; en essayant de deviner ce que c'était .
-Alors ; tu trouves ? Demanda t-elle
-Non ; je donne ma langue au chat !
Lia se rapprocha de lui et chuchota à l'oreille:
-Se serez d'avoir... des POUVOIRS !
-Oh! Fit-il étonné. Mais tu sais b...
Elle lui coupa la parole
-je sais ! Sa n'existe pas mais ; j'ai quand même le droit de rêver ; non ?
-Oui ; tu a raison !
Une voix retentit ; c'était la mère de Bruno qui les appelées pour rentrer .
Ils accoururent vers elle ; elle les attendait sur le seuil de la porte .Elle était grande avec des cheveux brun ondulée magnifique et des yeux bleue couleur saphir ! Bruno tenait surement ses beau yeux vert de son père !
Celui-là malheureusement est mort d'un accident de la route tandis que celui de Lia a disparus mystérieusement !
-Man' est-ce que Lia peut manger à la maison ?
Elle acquiesça :
-Mais bien sûr ; pourquoi je refuserais ?
Elle la regarda tendrement .
-Je vais rajouter des couvert et après nous passerons a table !
-Après manger ; on finiras de visiter ma maison ! glissa t-il a Lia
Bruno et sa mère habitaient dans un manoir . Lia et lui n'avait jamais pu allait visiter toutes les pièces tant il y en a ! ils mangèrent puis partirent pour leur petite escapade.
Après être passer devant la chambre de Bruno ; une dizaine portes après ils en découvrirent une dont l'encadrement est ornées de petits motifs sculptés d'elfes ; dragons et autre ; tout droit sortit des contes de fées !
Lia eu un pressentiment .
-Tu croit qu'on peut entrer ?
-Mmmh...je ne sais pas mais cette endroit me donne la chair de poule ; je fais demi-tour !
A ce moment même Lia tourna la poignée et la porte s'ouvrit dans un grincement terrible ; Bruno frissonna . Elle entra ; la pièce était sombre mais on pouvait apercevoir quelques petites choses. La lumière s'alluma
-Arrête de me surprendre comme ça ! Fit Lia
Bruno leva les yeux en l'air .
-Désolée ; et puis … on voit mieux avec la lumière ; non ? Fit-il avec un sourire malin .
Dans la salle il y avait une bibliothèque poussiéreuse et un bureau plein de papiers !
Lia s'approcha de la bibliothèque et pris un livre .sur la couverture on pouvait lire « transformus animalus » ; elle ouvrait les yeux de plus en plus au fur et a mesure qu'elle feuilletais le livre .
Elle se planta sous le nez de Bruno en pointant du doigts le livre qu'elle venait de feuilleter .
-Tu me dit que tu ne crois pas a la magie et toi tu a une bibliothèque remplie de livre de sorts !
Bruno bafouilla :
-Je... je n'en sait rien moi !je ne suis jamais entrer dans cette pièces de toute façon et puis...
Il s'arrêta nette ; il avait aperçu quelque chose par la fenêtre .Lia suivit son regard ; ils avaient vus un garçon entrer dans une sortes de tourbillons !
-Je pense qu'il vaudrait mieux sortir de cette pièce ; je crois que le ciel m'est tombé sur la tête ! Fit Bruno ahuris,
-Dans ce cas nous sommes deux ! Filons vite d'ici …
Ils partirent en courant laissant la porte grande ouverte .ils allèrent au salon ; la mère de Lia était déjà là .Elle lui ressemblait peu ; mais était très mère poule depuis que son mari et mort. Elle était grande avec des cheveux bouclé et des yeux couleur péridot !
-Te voilà enfin ! S'exclama t-elle . Tu aurais du me prévenir que tu mangée chez Bruno .
-...Désolée maman !
Elle se tourna vers la mère de Bruno .
-Merci encore de l'avoir inviter Anne !
-Oh ; ce n'est rien ! C'est comme si vous fessiez partis de la famille!
Elle sourit et ouvrit la porte .
-Merci encore ; a demain Bruno ! Lança Lia .
Elles rentrèrent dans leur villa . Lia repenser a cette pièce si mystérieuse ; et le garçon qui entrer dans le tourbillon ! Il fallait a tout pris quelle en reparle avec Bruno ! La nuit tomba ; elle s'endormit …
Un rayon de soleil vint la réveiller ; Lia descendit à l'étage. Bizarre ; d'habitude elle se réveiller a cause du bruit des bols ou par la bonne odeur de chocolat ou des tartines et la... rien ! Elle commença a chercher sa mère ; en passant du hall d'entrée au salon ; des chambres au garage ; toute les pièces pour y trouver…personne !
« Où est ce qu'elle peut être » pensa t-elle .Elle prit un petit déjeuner rapide; s'habilla et fila chez Bruno .
Celui-là l'attendais déjà .
-Salut ! Ça va ? Lança t-il
-Moi sa va mais ; ma mère je ne la trouve nulle part !
-T'inquiète pas ;ma mère est venue la chercher pour lui parler !
-Ah ; je vois ! Elle réfléchit un instant . Et ; où se trouve t-elles ?
-Euh... dans le bureau de ma mère .
Lia le prit par le bras et l'entraîna a l'intérieur .arriver a quelques pas de la porte du bureau ; ils marchèrent sur la pointes des pieds. Bruno était mal a l'aise .
-Je crois pas que ce soit une bonne idée ! Chuchota t-il
Elle se retourna vers lui :
-Et moi ; je te dit que si ! C'est bien cette porte ?
-Euh...non !Fit-il en essayant de mentir.
-Alors sa veut dire que c'est elle ! Allez colle ton oreille contre la porte ; j'ai le pressentiment qu'elles se parlent de choses très importante
L'épaisseur de la porte n'était pas très grande ; ils pouvaient entendre comme si ils étaient dans le bureau.
La conversation allait commençait ; elles venaient a peine d'arriver .
" -Tina ; je crois que Lia et Bruno sont aller un peu trop loin !" ...
à suivre ...
C'est le début , c'est un peu gnangnan mais bon ...
Alors ? des questions ? arguments ? ou autres ?
En éspèrant que sa vous a plut.
Si vous voulez la suite dîtes le moi :)
lady-kiwi
C'est agréable à lire, l'histoire est sympa et on (en tout cas, moi^^) a envie de savoir la suite. En revanche, ton style n'est pas parfait (mais c'est bien normal, c'est quand même pas mal), et je trouve que tu mets trop souvent des points d'exclamation à la fin de tes phrases.
Je vais essayer de modifier ça ;)
Encore il y a des fautes d'orthographe :$
Oui, aussi, mais ça va.
Green => raah,c'est trop beau!Moi je pourrais jamais écrire ca,même à mon âge!
Lady => La ponctuation est à revoir je pense...L'orthographe aussi!Sinon c'est très joli!!!Seulement,tu devrais favoriser la grammaire aussi
Exemple :
L'épaisseur de la porte n'était pas très grande ; ils pouvaient entendre comme si ils étaient dans le bureau.
Le point virgule est en trop,il faudrait soit un point suivi d'un "donc" pour expliquer les choses soit deux points.
Je mettais ca par exemple :
L'épaisseur de la porte n'étant pas très grande,ils pouvaient donc entendre comme s'ils étaient dans le bureau.
Je veux bien la suite!
Merci pour ton conseil Jannou . Il faut que je revoie mes 40 pages d'écriture ^^
Je mettrais la suite plus tard. ;)
De rien =D
Un petit poème que j'ai écrit un jour comme ca :
Le Printemps
C'est le printemps
Tout reverdit
Tout revit
Fini l'effroyable silence
Les feuilles se balancent
Au son du vent
C'est beau !
Tiens, c'est marrant, j'avais écrit quelque chose qui ressemblait. Je ne le mets pas ici parce que je ne l'ai pas sous la main et que c'était absolument affreux (contrairement à toi, Jannou), ça fait une éternité que je l'ai écrit, c'était censé être un poème mais dans mon souvenir je ne crois pas qu'il y a des rimes.
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