Discussion du forum |
|
Vous êtes sur la discussion Vos ecrits
490 reponses - 4916 vues
modifié il y a 13 ans
Voila, voila !
Ici poster tous les début de romans ou même poèmes !
Cordialement NEY
Voici les réponses de cette discussion : (page 12/13)
Hop, je vous met un truc que j'ai écris pendant les vacances parce que je m'ennuyais. Petite indication -> Holly est une femme-chat. (Mais non, rien à voir avec les Seigneurs de l'instrumentalité !)
L'obscurité de la cave empêchait Holly de définir exactement le modèle qui gisait devant elle. Bien sûr, elle pouvait clairement deviner l'automate inerte et sa couleur grise grâce à ses yeux nyctalopes. Mais Holly avait déjà vu un chat trébucher en pleine nuit.
Le modèle mesurait 1m60 environ. Il avait une forme trapue, robuste, et sa carcasse métallique semblait avoir du vécu. Il ressemblait à ces vieux automates Echo, avec une grande durée de vie tant qu'ils étaient entretenus correctement. Le visage le différenciait un tout petit peu cependant. De toute façon, Holly ne pouvait pas l'examiner en profondeur. D'abord parce qu'elle ne pouvait pas voir clairement comme en plein jour dans une cave poussiéreuse et obscure, et qu'ensuite, l'automate assis contre le mur de pierre était habillé.
Holly n'approuvait pas forcément les règles imposées à la classe des automates : "Ne pas parler, ne pas s'habiller, toujours obéir, jusqu'à la fin." Cette phrase semblait gravée dans le mécanisme minutieux des robots. Or, celui-ci était vêtu d'une chemise brune, et d'un épais pantalon noir sous une veste miteuse et d'une écharpe rouge. Même pour quelqu'un comme la jeune fille, voir un automate habillé intact relevait de l'incroyable. Mais Holly y croyait. C'était devant elle.
Elle s'approcha de l'automate et s'accroupit devant lui. Holly s'y connaissait en mécanique depuis toute petite. Son père lui en avait enseigné les bases, le reste était du bricolage. Le matricule des automates se trouvait en général sur le coté droit du cou de métal.
Alors, voyons comment tu t'appelles, mon grand, murmura t-elle.
Elle défit l'écharpe. Les lettres et les numéros devaient être imprimés en relief. Elle posa les doigts à l'emplacement normal du matricule, mais ne sentit rien. Surprise, elle déplaca sa main sur le cou, cherchant la suite de lettres et numéros dans l'obscurité. Rien. Holly alla chercher sous la chemise sur les épaules et le haut du dos.
Matricule X3002IA25.
La jeune fille se figea. Dans la position où elle était, ses oreilles, près de la tête du robot, pouvait percevoir le faible cliquetis du mécanisme dans le corps de l'automate "X3002IA25".
Ciel Ambré : Boudiou ! "Je prenna ma robe rouge" ! "Je 'pris' ma robe rouge " !
Bon, début intéressant qui a besoin quand même de corrections. ;)
Ciel Ambré > Tu n'es pas ami avec la conjugaison, je crois =D Mais ça se corrige (ainsi que l'orthographe). Sinon, c'est sympa.
Gézéo > Je vais finir par croire que tu es douée dans tous les domaines ! C'est bien écrit et l'histoire a l'air originale. Je ne connais pas les Seigneurs de l'instrumentalité !
Oui,je suis pas trés douée niveau orthographe et Grammaire !^^
Ciel Ambré > Laisse tes textes reposer un peu et relis-les un peu plus tard, tu verras, tu amélioreras sans doute quelques petites choses. Sinon, tu peux aussi le faire lire à tes parents (ou autres personnes bonnes en orthographe ^^), elles pourront t'aider
. Si tu tapes sur Word, active le correcteur orthographique et le correcteur de grammaire, ça corrige assez bien.
J'ai écrit pas mal quand j'étais petite, notament une histoire nommée LE TRIO --'
Qui parle de Phyllali, Givrali et Evoli dans des missions et explorations.
Il y a quelques temps, j'ai ouvert le document et je me suis bien marré des fautes que je faisais lorsque j'étais petite, notament celles de conjugaison =D
Ca m'a fait rire car il y avait aussi des passages gamins, et que je ne comprenais pas.
Je l'ai donc réécrite à ma façon mais je ne la publierais pas pour l'instant ^^
J'ai trop honte ^^'
Green => Oui,c'est se que je vais faire, merci pour le conseil !^^
Ignis Felicem Scutum-Torpor => C'est normal
. Moi aussi, quand je lis ce que j'écrivais avant, je trouve ça heu... Pas terrible. On ne se rend pas compte sur le moment que le style est très enfantin (sans compter les fautes...), voire l'idée du texte en elle-même. Mais c'est amusant à relire !
Ciel Ambré => De rien et bonne chance ! C'est déjà un bon début, tu sais, ce que tu as fait.
C'est vrai ça rappelle pas mal de souvenirs..... Mais s'amuser à corriger une dizaine d'histoires qu'on trouve génial mais puéril, c'est lourd... ^^'
C'est vrai ! D'ailleurs je ne le fais pas oO
Je possède quelques histoires quand j'étais gosse, j'avais trop d'imagination (pas comme maintenant), mais elles n'étaient jamais finis.... J'en commencais une, je m'en lassais puis me venaient d'autres idées...
J'ai un bon paquet de document word que j'ai commencer à corriger, mais c'est tellement plus mignon de garder le souvenir tel qu'il a été fait plutôt que de tout changer.....
Il y a en effet des choses pas terrible qu'on trouvait bien dans le temps, mais c'est ce qu'on a écrit lorsqu'on le ressenter, et ça montre notre niveau à ce moment là
C'est mieux de tout garder, parfois ça fait rire
Oui Graver, tu as raison, comme avant je n'écrivais pas sur l'ordinateur mais dans des cahiers ou sur des feuilles, il n'y a pas de problème de ce côté-là ^^
Bon....Alors voila une courte partie de la suite.(Pas eu trop le temps avec les courts...)
Après avoir soigneusement recollée l’étiquette, je prenna la direction du collège. Je connaissais le chemin par cœur. Les même objets était placé ici, et là. Rien n’avait changé, sur le chemin, depuis la veille, quand j’étais revenu de cour. La seule chose qui avait changé, c’était moi. Mes vêtements crasseux d’hier, n’était pas les même que ceux d’aujourd’hui. Hier, j’étais vêtue d’une longue jupe avec des motifs coloré. Et aujourd’hui, j’étais vêtue d’un simple jean bleu et d’un tee-shirt noir, avec des motifs en forme d’étoiles.
En arrivant devant la grande grille noir et ténébreuse du collège, j’eus des légers frisons dans le dos. Une fois mon col remit, je traversa la coure en quelques pas, pour aller voir mes meilleurs amies, qui étaient assise a quelque mètres de moi.
Je me plaça tout a fait devant elles, et commença mon récit du week-end.
-Salut !!Hier j’ai été voir mon oncle John !
Mes copines, enthousiastes et curieuses, m’encouragèrent à continuer
-Eh ben…Vous allez me prendre pour une folle, mais il a des canines de vampire !
Mes deux meilleures amies explosèrent de nouveau de rire, me ridiculisant. Je leur décrocha un regard mauvais, avant que la grande cloche couleur d’or, ne sonne.
Je me dirigea nerveusement devant la porte de la salle de cour, la ou le restant de la classe était regrouper.
"Des fois, je me demande à quoi cela sert de vivre. Vivre, mourir, peu importe. Je m'en fiche, car je n'aime pas vivre. Vivre, c'est quoi ? Se nourrir, se reposer, pendant des milliers de secondes ? Pas pour moi. Pour moi, vivre, c'est souffrir."
Tels fut les derniers mot de ma meilleure amie, juste avant sa mort.
Une petite histoire comme ça ^^
J'écrirai la suite plus tard.
[Miss Nutella - J'ai le mot de passe de Minou, c'est mon ancien site !]
Encore moi ^^
Petit poème :
Une jeune fille de 15 printemps
S'avance doucement
Pour rejoindre son amant
Qu'elle aime tant...
J'ai écrit une nouvelle très courte (et très sadique) et je vous la livrerai bientot. En attendant je corrige ;)
Moi je réécris pour enrichir mon histoire. Voici le chapitre 1. N'hésitez pas donnez vos avis.
------------------------------------------------
1. Disparition...
Noir. Tout à coup, un petit point se forma au loin. Il grossissait. Bientôt, il fut aussi grand que mon champs de vision. Des couleurs diverses se mélangèrent pour former un paysage, ébloui par la lumière. Peu à peu, cette puissante lueur s'éteignit. On se trouvait dans un jardin extraordinaire. Le chemin en pierre formait un passage entre les énormes massifs de fleurs bariolées. Rose, jaune, bleu, violet, orange, rouge... Petites ou grandes, chaque plante avait sa propre place. De temps à autre, on aperçevait un arbre au feuillage abondant. Un exquis parfum régnait dans cet paisible endroit. Celui-ci lui rappelait l'odeur de sa mère, Grizelle. Délicieux. Un lac bleu azur ajoutait de la beauté à ce square. Moi, je cueillis une fleur verte au coeur blanc ; puis je huma son incroyable senteur. Un senteur de rose, de lys et de... cacao ! En relevant sa tête, elle vit Grizelle, Ned'Atra et Glowen. Grizelle, sa mère ; Ned'Atra, son père ; Glowen, sa meilleure amie. Ils s'approchaient puis s'arrêtaient. Un sourire se formèrent sous leurs lèvres. Je leur rendit puis m'approcha de Glowen. Elle disparut. Je m'approcha de Ned'Atra. Il disparut. Je ne voulais pas être seule donc je ne bougea pas. A ma grande surprise, elle disparut aussi.
- Nnnooonnn !, hurlais-je, le bras tendue vers Grizelle disparue.
Le désespoir et la peur m'envahirent. Le lieu était tout de même réconfortant. Soudain, les couleurs s'envolèrent, comme des âmes, me laissant seule. J'étais à genoux, la fleur à la main, quand une goutte se forma au coin de son oeil puis roula sur ses joues. Rien qu'une.
Réveillée en sursaut, Elinor s'aperçut qu'elle transpirait. Ce rêve lui avait paru si réel, qu'il chassait tous ses bons souvenirs. Elle était bouleversée, par peur que les siens aient disparus. On frappa à la porte.
- Entrez, dit Elinor-de-Sakura.
C'était Valfée, la fidèle de Elinor. Elle était une fille aux qualités extraordinaires. Gentille, serviable, belle... Munie de yeux violets et de sa chevelure noire, la mèche mauve se perdait dans la cascade jais, de son côté droit. Une frange droite se délimitait au dessus de ses sourcils. En fait, ceux qui le voulait pouvait adopter une couleur fétiche. Pour se faire, on doit avoir fait preuve d'intelligence ou d'utilité. C'est souvent un grand honneur de faire cette proposition. Valfée, elle, avait choisi le violet car elle avait capturé une Krackos (bestiole verte et poilue, au cou de girafe et à la queue de lapin ; très féroce, elle est utilisée pour la garde Impériale de chaque patrie) échappée de l'Enclos Ambulant : pré des Krackos. Enfin, bref... Dès qu'un choix se base qur la couleur, celle-ci doit être prise. Elle était donc vêtue d'une robe prune, sans aucun motif. A sa taille, un noeud pâle resserrait le vêtement. La fidèle tenait un plateau bien garni. Viennoiseries, tartines, boissons, laitages, confitures... De sa main libre, elle portait une robe azur.
- Elinor, dit-elle en s'inclinant légèrement. Voici votre déjeuner.
Celle-ci lui donna le repas sur ses genoux.
- Merci, Dame Violette.
- De rien, Ma Dame.
- J'ai juste une question.
- Je vous écoute.
- Avez-vous vu mes parents et Glowen, ce matin ?
- Bien sûr. Ce sont Vos Altesses Impériales qui m'envoie et j'ai croisé ton amie en venant ici.
- D'accord, merci bien.
Elle se mit à manger. Au bout d'une dizaine de minutes, Elinor brisa le silence.
- J'ai fini, conclut-elle.
Valfée retira son plateau, lui passa la robe puis claqua des doigts. Ballerines, bijoux, sac et ruban arrivèrent en flottant dans les airs.
- Voici votre tenue.
- Waouh, merci, c'est super jolie !
Dame Violette s'inclina puis se retira. Dame Impériale enfila la robe, attacha ses ballerines, se coiffa, noua ses chevaux d'un ruban et pris le sac par la main. En sortant de la chambre, elle aperçu son amie.
- Salut Elinor !
- Hé, salut !
- Tes parents veulent te voir.
- Ah, d'accord. J'y vais. Tu m'accompagnes ?
- Oui, bien sûr !
Les deux jeunes filles marchèrent côte à côte. Le château de Sakura se nommait le Palais Sakurien. Celui-ci était richement décoré. Le sol en marbre, les murs blancs, les frises en pierres précieuses, le plafond blanc en voûte. Les séparations du mur et du plafond étaient sculptées. Pour finir, des objets ou tableaux de valeur et célèbres étaient accrochés.
- Glowen, cette nuit j'ai fait un rêve étrange... J'étais dans un jardin où mes parents et toi m'approchèrent et sourirent. En m'approchant de vous, vous aviez disparu. Ce rêve me paraissait si réel...
Sa compagne haussa les épaules.
- Tu sais, des fois, les rêves sont bien étranges et même mystérieux. Il m'ait déjà arriver de rêver que je me suis fait gober par un poisson.
Les deux filles se regardèrent puis rirent de bon cœur.
- Oui, effectivement !
- Nous sommes arriver.
- J'y vais.
- Je t'attends, je ne peux pas venir.
- D'accord.
Elle entra.
toujours plus xd :)
sinon c'est pas mal :)
Gaia, t'es déjà douée en graphisme, et maintenant t'es douée pour les écrits -_-'
C'est vrai, c'est pas mal du tout, surtout pour ton âge !
Alors moi j'ai écrit un truc comme ça, sans réfléchir (j'avais pas Internet xD), je n'ai pas du tout pensé à une histoire, j'ai juste ouvert Word et voilà. Donc c'est un peu n'importe quoi, il n'y a pas de suite pour le moment :
-----
Le soleil était déjà haut dans le ciel lorsque Lili consentit à se lever en ce jour de mi-septembre. Mal réveillée, la jeune femme ouvrit la fenêtre de sa chambre comme un zombie, attrapa quelques vêtements au hasard dans son armoire et prit le chemin de la salle de bains.
Au même moment, à plusieurs kilomètres de là, deux hommes étaient assis devant un bureau sur lequel trônait un ordinateur dernier cri ainsi qu’un appareil qui ressemblait à une grosse radio. L’un deux, grand et moustachu portait un casque, l’autre, plus jeune, cheveux blonds, tenait entre ses doigts un stylo et semblait attendre qu’on lui donne l’ordre d’écrire. Il avait l’air d’un écolier prêt à commencer un contrôle.
« Ça y est, elle s’est levée » annonça l’homme au casque.
Son comparse consulta sa montre en fronçant les sourcils.
« 10h43, c’est pas trop tôt » commenta-t-il.
« Imbécile, note-le au lieu de me le dire. »
L’homme aux cheveux blonds s’empressa de noter ce qu’on lui disait sur une sorte de gros carnet à spirales.
« Elle est sous la douche » continua l’autre. « On a une pause d’un quart d’heure au moins. »
Le blond tenta de se lever, l’air réjoui, mais le grand l’en empêcha d’une main.
« Alan, je sais pas comment t’as été recruté mais franchement, moi, j’t’aurais pas choisi. »
----
Merci !
-----
Green : tu viens sur MSN, comme tu m'as dit ce matin ?
ce n'est pas mon ecrit,(vi,j'aimerais bien mais...)juste un extrait de magirix tome 2 :pouvoir et tristesse
approchant une main tremblotante de la serrure,minou'z faisait presque pitié.si ce coffre se revelait comme etant LE coffre de la malediction,minou'z serais perdu a jamais.mais si au contraire,il se revelait etre celui de la prophétie,minou'z y gagnerais tout ce qu'elle n'aurait JAMAIS pu avoir.elle n'en etait pas moins sure que c'estait le bon.et si c'etait le mauvais,apres tout?a sa droite,fermant les yeux et pleurant a chaude larme(plaisir?peur?tristesse?qui sait?)louna se tenait maladroitement assise .a sa gauche,serrant dans son poing un malheureux radis(pourquoi...perssone ne le sait)vegeta ,qui elle,avait noué autour de ses fines bouclettes nombre de fer a chevaus et de trefle a quatre feuilles.minou'z placa une main sur le rebord du coffre et de l'autre,introduisit rapidement la clé.minou'z tourna la clé et...
source:magirix mag juilliet/aout.
y'en auras un autre dans le prochain je le posterais ici
Pour moi, écrire est devenu un besoin, à toute heure du jour et de la nuit !
Mon Histoire, je crois que j'avais déjà posté le début mais pas sur ^^ (C'est pas du tout fini ^^)
L'île venue du fond des eaux
Un jour de tempete,de tres grande tempete une île avec le sable bleu les cocotiers rouges sortirent de l'eau,personne même pas les plus courageux n'osèrent y aller.Tout le monde vivait tranquillement sans explorer cette île.Le monde entier vivait sur le même continent avec des immeubles de 1000 etages,ils n'avaient aucun probleme à vivre dans le même continent, les ascenseurs étaient tres rapides, ils allaient à 400 etages/seconde.La nourriture était gratuite,tout le monde vivait tres bien.Un jour la météo annonça une tempête très puissante qui ravagerai tout sur son passage ,elle arriverait 1 mois apres son annonce.
Un jeune scientifique decida alors d'aller explorer la mysterieuse île.Peut-etre pourraient-ils tous vivre dessus.Car d'apres la météo seule l'île ne serait pas touchée.Il fallait trouver un endroit habitable,même le minimum serait suffisant....
Le scientifique nommé Mathieu se preparait quand soudain il vit de grands nuages,la tempête arriverait plus tôt que prevue,Mathieu devait se depecher,l'humanité etait entre ses mains.Son meilleur ami Alexis le vit partir et decida de l'accompagner.Il partirent en jet super sonic et arriverent sur l'île.Mathieu et Alexis avait tout prevu,des armes,des vetements legers,des vetements en laine,beaucoup de nourriture, des masques à hoxygène et tout ce qui serait plus ou moins utile.Ils etaient prés pour toutes les épreuves et ils en auront besoin.....
Dès leur arrivée ils furent attaqués par des monstres,des leopards avec des ailes et des dents en flamme.Ils se cacherent d'abord dans un tunnel mais les leopards avec des ailes qu'ils nommèrent leogons , creusaient alors Alexis sortit un briquet mais le feu fut aspiré par les dents des leogons alors ils allèrent dans l'eau et se depechèrent d'aller a l'autre berge car qui sait ce qui se trouvait dans l'eau,des monstres aspirateurs,des dauphins tueurs ?Que deviendraient-ils dans ce monde ostile ?
Est-ce-qu'il y a des creatures pacifiques ?
Des tonnes de questions pouvaient etre posées.
Ils continuèrent de marcher de peur de rencontrer un leogon.
Ils trouverent une pièce par terre ou il y avait inscrit:Firmere
Ils ne savaient pas ce que cela voulait dire,mais ils ramasserent la pièce,peut-etre servirait-elle à quelque chose ?
Firmere....
Qu'est-ce-que cela veut dire ?
Ils continuèrent de marcher quand Alexis dit a Mathieu:
- J'ai faim,on ne mange pas ?
Mathieu repondit:
- D'accord,mais vite car si les leogons nous rattrapent ehh bien nous devrons encore courir.
-Mais si c'est autre chose que des leogons ?
Alexis repondit:
-Ehh bien on va le savoir tout de suite.
Une creature gigantesque etait devant eux,Mathieu et Alexis virent quelqu'un dessus.
Cette personne vit la pièce dans la main d'Alexis et dit:
-Irla Mera Tito Firmere
Mathieu et Alexis entendirent Frimere et fut confus
La creature avait été nommé mala par Alexis.
Le mala s'abessa et Alexis et Mathieu montèrent sur lui.
Ils avaient entendu frimere mais n'avait toujours pas decouvert son sens..
Ils decouvrirent tout un village de personne qui ressemblait aux hommes mais beaucoup plus petits.Ils elevaient les léogons,mais seulement ceux qu'ils ont depuis qu'ils sont bébés.L'ira, nous avons nommés ces gens commé ça, nous a donné 2 malas.Alexis nomme le sien geant et Mathieu nomma le sien imposant.
-Il est beau,un oui mon petit geant,dit Alexis
-Je prefere imposant et ces petites betes là-bas ,repondit Mathieu
-Ces miras,surencherit Alexis
Une troupe de leogon adulte attaqua le village quand soudain Firmere,enfin nous savions ce que s'etait...
Firmere etait leur chef, un grand guerrier de la taille d'un humain aux cheveux courts et blond, qui magnait l'épée mieux qui quiconque.Il se batta face a ces leogons.Il en restait un qui s'enfuya.Une troupe d'iras arriva.Ces iras ramenaient de l'or et des pièces comme celle que Mathieu et Alexis avait trouvé,il la donnerent a firmere.Ces iras mineurs montait des stiguino ,des creatures qui ressemblait a des ours avec des foreuses a la place des mains,Alexis dit a Firmere:
-Vous comprenez notre langue ??
Firmere repondit:
-Oui c'est ma langue natale.
Alexis et Mathieu furent surpris de la reponse de Firmere.
Firmere leur fit 1 proposition:
-Si vous voulez je peux vous apprendre la langue de cette île ?
Mathieu et Alexis repondirent en choeur:
-Oui,biensûr!
Le premier mot que Firmere leur appris etait le nom des gens qui vivaient sur l'île.
Il leur dit:
-Les gens d'ici ne s'appellent pas des iras mais des Frumoires
Mathieu et Alexis essayerent de le repeter:
-furmiore,fumoirer,Frumoires ?
Firmere leur repondit:
-Le dernier,frumoire,repetez-le.
Ils le repeterent correctement.Firmere leur apprit un autre mot:
-Maintenant je vais vous apprendre le vrai nom des malas,ce sont des grigogniryu
Ils repeterent:
-Des scrogneugneux ??
Firmere rigola et leur dit:
-Non des grigogniryu
Ils repeterent:
-Des grogyugni ??
-Non des grigogniryu
Cette fois ils reussirent a le repeter.
Ils se rappelerent de leur mission.Mais preferait apprendre la langue des Frumoires.
Malheuresement tout empirait sur le continent des Humains,il se refugiaient dans des caves,dans des protections.
Alexis vit la tempete depuis l'île et dit à Mathieu:
-Nous devons nous depecher et trouver un endroit pour notre peuple.
Mathieu repondit:
-Non j'apprends leur langue,je suis un scientifique !
Alexis lui dit:
-Hee bien fait ton travail de scientifique,moi je fais mon travail d'Humain.
Alexis et Mathieu se separerent.
Firmere dit a Mathieu:
- Je vais t'apprendre un nouveau mot ,il veut dire ami : ilili
Mathieu dit:
- ilili,et meilleur ça se dit comment ?
Firmere dit:
- Ca se dit rema
Mathieu dit:
- Ir friri gri uere rema ilili,Mathieu
(Je dois retrouver mon meilleur ami,Mathieu)
Frimere dit:
-Tar, ifg rds rio, fe oil greru
(Bien,tu apprends vite,vas le rejoindre)
Il repondit:
-J'y vais
Pendant ce temps Alexis trouvit une grotte et y entra,mais autre chose y vivait,un monstre.
Un dragon avec une corne et une faucheuse à la place de la main attaqua Alexis.
La créature dit :
- Rhhhhh Irfe
(Rhhhhh Nourriture)
Soudain une flèche arriva dans le crâne de cette creature, son sang etait jaune, jaune fluo avec des petits eclats,Alexis prit donc un echantillon de son sang et Mathieu dit:
-Tu es revenu pour quoi ?
Alexis repondit :
- Pour t'aider !!
La grotte etait grande, jolie avec des cristaux bleux d'une luminiosité verte pomme, et un passage étrange, allaient-ils y aller ???
Mathieu dit:
- C'est tantant ...
Soudain un éboulement bloqua l'entrée.
-Le coup classique ... Mais souvent ça se termine bien ... Enfin je crois ....
UP...avec un petit extrait de mon histoire (ne vous marrez pas...j'ai que 11 1/2 !)
Une tornade m’aspira. Le temps que je me rends compte de ce qui se passait, j’avais déjà atterri au sol. Étais-je en train de rêver ? Je ne sais pas. En revanche, je savais c’est que je n’étais pas seule. Quelqu’un, ou quelque chose m’épiait. Cela se confirma aussitôt : une voix lointaine me rappela qui j’étais. « Nastasia, nous avons besoin de toi…Rejoins-nous, avant la fin atroce de ce monde… » J’avais une curieuse sensation de déjà-vu…Oui ! J’avais déjà fait ce rêve auparavant !
Le réveil me rappela qu’il fallait aller au collège. Sept heures ? Déjà ?
Oh, il n'y a pas de quoi rigoler du tout, c'est pas mal, je trouve ! Il n'y a pas assez long pour que je puisse vraiment juger en fait mais c'est bien. En tout cas, c'est pas nul.
Green >> Merci
Green [surveillante/graphiste] (poudlard-univers)
Ciel Ambré > Tu n'es pas ami avec la conjugaison, je crois =D Mais ça se corrige (ainsi que l'orthographe). Sinon, c'est sympa.
> GREEN !!! amiE ! Ensuite, tu te plains du manque de visites de Webi-Corrector x)
Automne
Pluie d'automne,
Gris monotone,
Feuilles au vent,
Deuil d'avant.
L'automne m'inspire =D en voilà un autre :
L'arbre se déplume en silence,
Mort à la fois triste et lente,
Les feuilles s'envolent en cadence,
Dans une délicate tornade rougeoyante.
Qu'en pensez-vous ?
Vraiment pas mal =D
Moi j'ai ça :
La mort est un secours,
Mais l'issue est introuvable !
On me dit cours !
Mais la piste est impénétrable !
J'aime bien ^^
Un rayon de soleil,
Une tempête vermeille,
Une pluie d'une finesse irréelle,
Dans l'automne, un arc-en-ciel.
Vraiment pas mal Jannou ! Moi je me remets à l'écriture de mon livre qui avances bien, je réécris tout, tout en gardant la "trame". Voici le chapitre 1 et 2 qui sont complétement différent...
--------------------------------------
1. Disparition...
Noir. Tout à coup, un petit point se forma au loin. Il grossissait. Bientôt, il fut aussi grand que mon champs de vision. Des couleurs diverses se mélangèrent pour former un paysage, ébloui par la lumière. Peu à peu, cette puissante lueur s'éteignit. On se trouvait dans un jardin extraordinaire. Le chemin en pierre formait un passage entre les énormes massifs de fleurs bariolées. Rose, jaune, bleu, violet, orange, rouge... Petites ou grandes, chaque plante avait sa propre place. De temps à autre, on apercevait un arbre au feuillage abondant. Un exquis parfum régnait dans cet paisible endroit. Celui-ci lui rappelait l'odeur de sa mère, Grizelle. Délicieux. Un lac bleu azur ajoutait de la beauté à ce square. Moi, je cueillis une fleur verte au cœur blanc ; puis je huma son incroyable senteur. Un senteur de rose, de lys et de... cacao ! En relevant sa tête, elle vit Grizelle, Ned'Atra et Glowen. Grizelle, sa mère ; Ned'Atra, son père ; Glowen, sa meilleure amie. Ils s'approchaient puis s'arrêtaient. Un sourire se formèrent sous leurs lèvres. Je leur rendit puis m'approcha de Glowen. Elle disparut. Je m'approcha de Ned'Atra. Il disparut. Je ne voulais pas être seule donc je ne bougea pas. A ma grande surprise, elle disparut aussi.
- Nnnooonnn !, hurlais-je, le bras tendue vers Grizelle disparue.
Le désespoir et la peur m'envahirent. Le lieu était tout de même réconfortant. Soudain, les couleurs s'envolèrent, comme des âmes, me laissant seule. J'étais à genoux, la fleur à la main, quand une goutte se forma au coin de son œil puis roula sur ses joues. Rien qu'une.
Réveillée en sursaut, Elinor s'aperçut qu'elle transpirait. Ce rêve lui avait paru si réel, qu'il chassait tous ses bons souvenirs. Elle était bouleversée, par peur que les siens aient disparus. On frappa à la porte.
- Entrez, dit Elinor-de-Sakura.
C'était Valfée, la fidèle de Elinor. Elle était une fille aux qualités extraordinaires. Gentille, serviable, belle... Munie de yeux violets et de sa chevelure noire, l'unique mèche mauve se perdait dans la cascade jais, de son côté droit. Une frange droite se délimitait au dessus de ses sourcils. Valfée était la Dame Violette : ceux qui le voulait pouvait adopter une couleur fétiche. Pour se faire, on doit avoir fait preuve d'intelligence ou d'utilité. C'est souvent un grand honneur de faire cette proposition. Valfée, elle, avait choisi le violet car elle avait capturé une Krackos (bestiole verte et poilue, au cou de girafe et à la queue de lapin. Très féroce, elle est utilisée pour la garde Impériale de chaque patrie.) échappée de l'Enclos Ambulant qui est le pré des Krackos. Enfin, bref... Dès qu'un choix se base sur la couleur, celle choisie doit être prise. Elle était donc vêtue d'une robe prune, sans aucun motif. A sa taille, un noeud pâle resserrait le vêtement. La fidèle tenait un plateau bien garni. Viennoiseries, tartines, boissons, laitages, confitures... De sa main libre, elle portait une robe azur.
- Elinor, dit-elle en s'inclinant légèrement. Voici votre déjeuner.
Celle-ci lui donna le repas sur ses genoux.
- Merci, Dame Violette.
- De rien, Ma Dame.
- J'ai juste une question.
- Je vous écoute.
- Avez-vous vu mes parents et Glowen, ce matin ?
- Bien sûr. Ce sont Vos Altesses Impériales qui m'envoie et j'ai croisé ton amie en venant ici.
- D'accord, merci bien.
Elle se mit à manger. Au bout d'une dizaine de minutes, Elinor brisa le silence.
- J'ai fini, conclut-elle.
Valfée retira son plateau, lui passa la robe puis claqua des doigts. Ballerines, bijoux, sac et ruban arrivèrent en flottant dans les airs.
- Voici votre tenue.
- Waouh, merci, c'est super jolie !
Dame Violette s'inclina puis se retira. Dame Impériale enfila la robe, attacha ses ballerines, se coiffa, noua ses chevaux d'un ruban et pris le sac par la main. En sortant de la chambre, elle aperçu son amie.
- Salut Elinor !
- Hé, salut !
- Tes parents veulent te voir.
- Ah, d'accord. J'y vais. Tu m'accompagnes ?
- Oui, bien sûr !
Les deux jeunes filles marchèrent côte à côte. Sakura était un autre royaume dirigé par Grizelle et Ned’Atra, ses parents. Cet empire était connu grâce à Senmeï, grand couturier. Toutes les sortes de tissus existaient en cet empire. Les étoffes de tissus étaient amenées par des Kurara – bestioles qui ressemblaient à des oiseaux blancs et avaient un bec très solide, plus dur qu’un diamant ; ils transportaient les tissus dans leurs becs – et ensuite vendus sur les marchés. Le château de cette partrie se nommait le Palais Sakurien. Celui-ci était richement décoré. Le sol en marbre, les murs blancs, les frises en pierres précieuses, le plafond blanc en voûte. Les séparations du mur et du plafond étaient sculptées. Pour finir, des objets ou tableaux de valeur et célèbres étaient accrochés.
- Glowen, cette nuit j'ai fait un rêve étrange... J'étais dans un jardin où mes parents et toi m'approchèrent et sourirent. En m'approchant de vous, vous aviez disparu. Ce rêve me paraissait si réel...
Sa compagne haussa les épaules.
- Tu sais, des fois, les rêves sont bien étranges et même mystérieux. Il m'ai déjà arriver de rêver que je me suis fait gober par un poisson.
Les deux filles se regardèrent puis rirent de bon coeur.
- Oui, effectivement !
- Nous sommes arriver.
- J'y vais.
- Je t'attends, je ne peux pas venir.
- D'accord.
Elle entra.
2. Rencontre avec ses parents...
La salle était très jolie. Le sol était recouvert d'une confortable moquette bordeaux. Le mur était pâle ainsi que le plafond en dôme. Les séparations sculptées étaient toujours présentes. De grandes banderoles rouges étaient accrochées au plafond, qui dominait à au moins trois mètres au dessus de sa tête. Dessus, des Kuraras en or. Au fond de la pièce, il y avait deux trônes en or massif ; le dossier et l'assisse était en velours écarlate. Ned'Atra et Grizelle les occupaient. Tout le long des deux murs non adjacents à l'entrée, des soldats équipés étaient prêts à intervenir si besoin. La porte en marbre blanc. Tout en marchant, Elinor se laissait, à chacune de ses visites, émerveillé par la richesse et la beauté de la salle. Toutes les autres du château n'étaient pas mal non plus, tout de même. Une fois près de ses parents, elle fit une élégante référence.
- Vos Altesses Impériales, que la chance vous accompagnent !
- Notre Héritière Officielle, que la joie soit avec toi !, répondit Ouranos de sa voix grave.
- Je viens répondre à votre appel, Vos Altesses.
- Bien, bien. Nous t'avons appeler pour que tu te mettes en quête d'une mission urgente. Avant que tu deviennes l'Impératrice Sakurienne, tu dois prouver ton courage et ta force au royaume. Pour cela, tu dois faire une mission que toute la Famille Impériale a du accomplir pour accéder au pouvoir : c'est une de nos coutumes. Toi, tu arrives à l'âge où tu doit accomplir cela. Cette mission consiste à ce que tu te spécialises dans un domaine en allant voyager. Stratégie militaire, forge, attaque, cordonnerie, équitation, arc, chimie, création, astronomie, etc… Nous te laissons choisir ce que tu veux. Donne-nous ton choix d'ici une semaine.
- D'accord, dit-elle, hésitante.
Puis elle s'inclina et s'en alla. Son amie Glowen l'attendait sur un banc, aux portes de la salle du Trône.
- Quoi de neuf ?
La convoquée lui raconta sa visite chez ses parents incluant la splendeur des lieux que son amie n'a jamais eu l'honneur de visiter.
- Eh ben dis donc ! Tu as déjà une idée d'où tu va aller ? De se que tu va faire ?
- Non, aucune...
- Tu devrais aller à la bibliothèque du château pour faire quelques recherches.
- C'est pas bête !
- Je peux t'accompagner ?
- Bien sûr !
Les deux amies se dirigèrent alors vers la bibliothèque, la plus grande du pays. Elle servait aussi d'archive. Des objets étaient stockés ici pour pouvoir les faire étudier par les chercheurs afin d'en savoir plus sur chaque partie de leur histoire, de leur passé. Quelque soit le livre qui reposait pacifiquement sur les étagères, chacun avait sa place, petit ou grand, long ou large, épais ou fin, biscornu ou pas. Surgissant de nul part, un petit homme à la moustache en spirale, monté sur une échelle à roulettes, s'adressa à ses visiteurs :
- Que puis-je pour vous, Mesdemoiselles ?
Surprises, les deux jeunes filles se retournèrent. Elinor répondit alors, soulagée d'avoir une aide pour se retrouver dans ces piles de livres :
- Nous venons faire des recherches à propos de mon voyage qui prouvera ma force et mon courage au royaume.
- Ah ! Voilà, une recherche intéressante ! Sur quel thème ?
- Justement, nous ne savons pas encore...
- Bien ; préférerais tu plutôt un thème sportif ?
- Le sport et moi, ça fait deux...
- Pas sportif. Artisanal ?
- Houlà, mon père ne m'enseignait que ça quand j'étais plus jeune !
- Pas artisanal non plus. Militaire ?
- C'est pas vraiment mon truc...
- Pas militaire. Et scientifique ?
- Ça ne me tente pas.
- Pas scientifique non plus. Royal ?
- Pourquoi pas. Au moins ça me sera utile plus tard.
- Très bien. Les livres royaux se trouvent au rayon 49. Bonne lecture !
- Merci de votre aide !
Arrivés au couloir 49, elles se mirent à chercher. Un livre de couleurs vives où des joyaux étaient incrustés a tout de suite attiré le regard d'Elinor. Elle l'attrapa et le feuilleta. Il y avait des images dessinées à la peinture et joliment coloriées, des textes écrits d’une main saine et propre : une œuvre d’art. En refermant le livre, elle vit l'auteur : l'Impératrice d'Itoix.
- Glowen, Glowen, j'ai trouvé ! Regarde ce livre, c'est Gaïa qui l'a écrit. J'ai une idée : devenir son assistante. Elle pourra m'apprendre comment bien s'y prendre pour décider un projet, comment satisfaire les besoins du peuple, etc... Qu'est que tu en pense ?
- Très bonne idée ! Allons l'annoncez à tes parents et leurs demandez s'ils te donnent la permission d'aller à Itoix.
- Allons y, répondit-elle en reposant le livre à sa place.
De retour dans la salle du Trône, Elinor, fière, s'avança accompagnée de Glowen, bouché bée par la splendeur de la salle. C'était bien plus épatant que ce qu'Elinor lui avait dit ! Les deux filles s'inclinèrent. L'Héritière prit la parole :
- Père, mère, nous avons trouvés où je vais aller pour la mission que vous m'aviez confier et qu'est ce que je fait y faire. J'ai décidé que j'allais allé à Itoix pour assister Gaïa et apprendre à diriger correctement un empire comme le vôtre.
- J'approuve ton choix, dit Ned'Atra.
- Moi aussi, répondit Grizelle.
- Tu partiras dans deux jours ce qui te permettra de préparer tes affaires et de te reposez avant ce long voyage.
- Très bien, répondit la future assistante de Gaïa avant de quitter la pièce avec son amie.
♫ C'est un jardin extraordinaire ♪
(Désolée, mais les première lignes me font penser à cette chanson de Charles Trenet
).
Sinon, c'est pas mal, plutôt bien écrit.
Merci !
Connais pas Charles Trenet...
Je viens de relire le chapitre 3, je trouve qu'il est bien écrit, je le mets.
--------------------------------------
3. Les préparatifs du départ
Le lendemain, après la visite quotidienne de sa fidèle, Elinor ouvrit une grande valise rose pâle, ornée de petits noeuds fuchsias. Elle y plaça une robe bleue avec ses anneaux, une robe rouge de cérémonie avec ses bijoux, une robe verte avec ses escarpins assortis, une robe blanche en lin et son bandeau en dentelle, une robe avec différents voiles volant au vent accompagnée de ballerines, une trousse d'accessoires en soie, un trousseau de maquillage, un livre passionnant dans lequel elle été plongée et d'autres petits détails par ci par là, avant de vérifiez si elle n'avait rien oublié. Quand la valise fut fermée, elle manquait d'exploser. Surtout à l'ouverture de celle-ci. Quand la voyageuse se laissa tomber sur son lit pour se reposer deux minutes après cette tâche fatiguante, quand on frappa à la porte.
- Entrez...
- Tout se passe bien ici ?, dit Glowen en s'asseyant sur le lit de son amie.
- Oui, j'ai fini la valise.
Celle-ci se pencha de façon à l'apercevoir.
- Je confirme, elle est bondée !
- Oui, je sais, c'est toute mes robes !, rigola Elinor.
- Tu veux aller faire un tour dans le parc avec moi ?
- Bien sûr !
Marchante d'un pas tranquille en direction du parc, l'amie de Glowen repensa au rêve étrange qu'elle avait fait.
- Tu sais le rêve de l'autre jour... J'y ai réfléchi. Je pense qu'il voudrai montrer quelque chose sous une forme cachée.
- Sûrement, c'est possible.
- Tu vois, là, je vais partir. Je vais me séparer de toi et de mes parents. Le rêve, lui, montrait la disparition de ces personnages. Je pense que ce serais une sorte de prophétie de l'avenir.
- Mais oui, bien sûr ! Et le magnifique jardin représenterait un lieu superbe qui est sûrement Sakura.
- Oui, je pense. D'ailleurs, pendant mon absence, on s'enverra des avions de papiers ?
- Oui, sur ce qu'il se passe chacun de notre côté. J'essayerai de prendre un peu de temps chaque jour pour t'écrire.
- Moi aussi, dit Elinor en s'asseyant sur un banc blanc où des plantes avaient grimpés.
Elles restèrent quelques bonnes heures à discuter. De blagues, de rêves, de leur enfance, etc...
- Il commence à se faire tard, je pense qu'on devrai retourner au château, le soleil va bientôt se coucher et moi aussi d'ailleurs, après le repas !
- Oui, surtout que demain, je pars après être prête...
Se dirigeant vers la salle de repas, elles continuèrent leur discutions qui fut interrompue par le brouhaha qui s'élevait dans la grande salle à manger. Celui-ci fut calmer par le claquement de doigt de Ned'Atra, qui fit apparaître les plats. Des ragoûts, purées, pot au feu, viandes, poissons, pizzas (eh oui !), riz divers, pâtes de toutes sortes, sauces, salades, fruits, fromages, crèmes, gâteaux, pâtisseries, mousses... Un véritable festin ! Repues, les deux jeunes filles se dirigèrent difficilement à leur chambres puis sombrèrent chacune dans un profond sommeil...
I.D.A
Samuel Solé
Nouvelle Policière/SF
La Lumière
C’était une longue, longue nuit de pleine lune. Mathéo se retournait sans cesse dans son lit, sans parvenir à trouver le sommeil. Alors il pensa… Mathéo aimait penser, mais cela devenait insupportable, lorsqu’il s’agissait de longues heures de réflexion.
Il était 22 :30, la nuit était noire, un noir profond qui englobait toute la petite pièce. Les rideaux flottaient légèrement, portés lentement par la brise qui glaçait l’air.
Cette nuit de 30 octobre était calme… Etrangement calme.
Mathéo essaya de compter les moutons, prêter attention à sa respiration, pensait à ce qu’il avait mangé le veille.
Une lumière blanche traversa la pièce, puis se dissipa. Une première fois, puis une deuxième fois. Encore une troisième fois.
Puis plus rien.
Intrigué, le jeune garçon se leva lentement de son lit, en fixant la fenêtre qui donnait sur le jardin. Il s’appuya sur le rebord, et observa. Rien, il n’y avait absolument rien, pensant qu’il avait sans doute rêvé, il retourna se coucher.
Puis l’infernale labyrinthe de l’ennuis reprit son jeu maléfique. Décidé, il se glissa dans ses chaussons, sans avertir ses parents, il descendit les escaliers, allant à la rencontre du réfrigérateur. Il l’ouvrit, et commença à grignoter du chocolat, l’ennuie comblé, et le ventre bien repus, il remonta les escaliers, mais un étrange bruit l’interrompu.
On venait de sonner à la porte. Dans son jeune esprit, il savait que personne ne sonnerait chez eux à une heure si tardive, mais la curiosité le poussa à se rendre à la porte.
Un deuxième coup de sonnerie.
Il ouvrit lentement la porte. Une lumière l’aveuglait, incolore, ce n’était pas une lumière qu’un humain pouvait percevoir normalement. Le choc fut brutal. Il tomba raide par terre. Et pour une fois dans sa vie, s’endormit sans aucun effort.
Le Lendemain
Comme tout les matins, Mathéo se leva. Alla réveiller ses parents qui grognaient de fatigue et d’exaspération.
Ils lui demandèrent d’allé se préparer. Les parents se levèrent, se brossèrent les dents, s’habillèrent, descendirent les escaliers, et rejoignirent leur fils qui avait déjà dressé la table du petit déjeuner.
Ils le remercièrent en esquissant un petit sourire. Sa mère ébouriffa ses cheveux. Et ils commencèrent à manger.
« - Bien… Il va falloir aller à l’école… Dit la mère en s’adressant au garçonnet.
- Je n’ai plus besoin d’aller à l’école, maman. Lui répondit-il d’un ton neutre, inhumain, voir inquiétant. »
Le jeune enfant fixa sa mère un long moment, et lui adressa un grand sourire, dévoilant ses dents de lait déjà tombées.
« - Nous allons à l’école, Mathéo. Affirma Madame Kyrie, essayant d’ignorer les paroles de son fils, tout en restant perplexe.
La mère, ou Madame Kyrie vêtit son fils d’un bonnet et d’un anorak, et montèrent ensemble dans la voiture.
Ils roulèrent un moment, l’école était loin, la ville était grande. Mathéo observait les gens ; les buildings ; les voitures. Il était maintenant indifférent à la société qui l’entourait. Il avait un but, il avait une idée. Il ne savait pas d’où venait cette idée. Mais ce qu’il savait, c’est qu’il devait la faire partager. Il n’était même plus sur de ce qu’il pensait.
La voiture roulait, polluait, en s’imprégnant de la pollution.
La voiture s’arrêta devant l’école. Mathéo descendit, y pénétra. La grille se referma derrière lui, sa mère essayait de ne pas s’inquiéter, mais se demanda quand même ce qui avait prit son fils.
Julien, un camarade de classe, lui proposa une partie de Football qu’il refusa en expliquant qu’il trouvait stupide le fait de courir après une balle en plastoc, en frappant dedans pour exprimer une colère intérieure refoulée…
Julien resta planté au milieu de la cour, l’air hébété… Son ballon à la main.
La sonnerie retentit. Les enfants allèrent se ranger devant la salle de cours. L’institutrice les saluas, ouvrit la porte, et les firent rentrer dans la pièce. Elle alluma la lumière qui dévoila les tables, les affiches, le bureau de Madame Wiran, leur professeure.
Aujourd’hui ; c’est jour de contrôle. Madame Wiran distribua les énoncés, expliqua rapidement le concept des questions, et démarra le chronomètre.
Incroyablement, et c’est ce qui étonna d’ailleurs le petit Mathéo, c’est le fait qu’il écrivait à une vitesse phénoménale. Sans aucune difficulté, avec une police d’écriture digne de celle des ordinateurs. 37 minutes avant la fin du compte à rebours, il rendit sa feuille à la prof, elle le regarda d’un air effaré. Elle relut attentivement la copie… Elle sortit de la classe, et entra dans le bureau du directeur. Celui-ci contacta la psychologue scolaire.
Madame Wiran appela la mère du garçonnet, expliqua les faits, et lui demanda l’autorisation de passer un test psychologique à son fils… Elle accepta, ses doutes s’amplifiaient de plus en plus, que pouvait-il bien se passer ?
Une demi-heure plus tard, après la correction de l’évaluation à laquelle Mathéo eu 20/20, la psychologue le prit à part, dans le hall de la cantine. Elle l’installa devant une table, et s’assit face à lui.
Elle lui expliqua rapidement la situation, d’abord, elle lui tendit des cubes, avec différents motifs : Carré noir, carré blanc, diagonale noir/blanc et inversement. Elle lui donna avec ceci un dessin, un genre de mosaïque représentant un objet simple, qu’il devait reproduire avec les cubes.
Chaque figures lui prenait exactement 5,34 secondes. Une fois l’exercice terminé, elle inscrit quelque chose sur son carnet, et passa à l’exercice suivant. Le concept était de donner la définition des mot que la psychologue allait lui dicter.
Elle commença avec « Migration », il lui répondit :
« - Fait de déplacement d’un groupe d’un point A à un point B pour X raison. »
Elle enchaîna avec d’autres mots… Elle arriva au mot le plus complexe de sa liste : « Humain »
Le garçonnet fixa la femme et ne dit rien. Un silence assez gênant, et troublant la femme acheva alors l’exercice et lui demanda de faire un dessin libre.
Le garçonnet dessina très rapidement un petit croquis sur son carnet, et le tendit à la psychologue… Elle marmonna un « très bien »… Lui annonça qu’il était temps pour lui de retourner en cours. Qu’elle rappellerais très prochainement ses parents.
Sans un mot il quitta la pièce. Comme la sonnerie rentirais dans moins de 30 secondes, il rejoignit le portail, et attendit que le directeur vienne l’ouvrir. Chose faite, il retourna vers sa mère, qui lui demanda comment la journée c’était passée.
Il ne répondit rien.
La pauvre femme était de plus en plus perplexe. Son fils l’inquiétait de plus en plus.
Il fit ses devoirs rapidement. Goûta. Et attendit l’heure du souper. Une fois le repas terminé, il alla dans sa chambre dormir. Il s’endormit sans mal. Sans rêve. Dans un sommeil aussi profond qu’aucun être humain n’a pu connaître.
Et le lendemain, ce fut le jour qui changera la vie de sa famille. Dès le matin, elle reçu un appel de la psychologue lui demanda de venir le plus tôt possible d’urgence.
La mère complètement paniqué roula avec son fils jusqu’au cabinet. Elle descendit de l’automobile et la psychologue lui ouvrit la porte. Elles étaient toutes les deux aussi nerveuses, mais sans doute pas pour les même raisons. Sous l’émotion, la psychologue réussi à balbutié ces mots :
« - Madame Kyrie… Votre fils… Est un cas… Exceptionnel… Jamais dans ma carrière je n’ai rencontré de tel spécimens… il fera l’étude de génération de psychologue…
- Ah ? Hum… Pourquoi donc ?
- Commençons par le plus concret, sachant que la moyenne d’un Q.I est de 90 jusqu’à 110, et que le niveau d’un surdoué est de 150, eh bien votre fils, a… Le nombre est tellement… Votre fils dispose d’un Quotient Intellectuel de… 437 !
- Mon Dieu… Murmura la femme étonné. Vous êtes sur de ne pas avoir fait d’erreur ?
- Nan… Quand je lui ai demandé la définition du mot « Humain », il à gardé un silence macabre, et voici le dessin qu’il m’à fait :
Le dessin représentait un Homme tenant un fusil, en visant une planète… Visiblement la Terre.
- Voilà. Impressionnant non ? J’ai derrière mon bureau, plusieurs scientifiques qui aimerait faire des études sur votre enfant… Avec votre autorisation…
- Mon enfant n’est pas un cobaye, ni un singe !
- Madame… Il ne s’agit pas d’expériences… C’est dans l’intérêt de votre enfant…
- Non. Je refuse. Lança t-elle d’un ton sec.
Un homme en costume militaire entra au même moment dans le petit bureau. Observa les plantes autour des fenêtres et lança :
- Dommage pour vous, madame Kyrie, le corps de votre fils est a présent, également, la propriété de l’armée, la U.S navy, et des laboratoires Science & Biologie, et d’Ingen Corporation. Merci de votre collaboration. Stop.
L’homme empoigna le petit garçon,
- Allez mon gars… Je crois qu’un grand avenir t’attend. Lui dit-il en lui adressant un clin d’œil.
Ils montèrent ensemble dans une limousine blindée, noire…
- Madame Kyrie, je suis vraiment désolé… Mais le cerveau de votre fils représente 3 fois celui d’Einstein…
- Je peux vous attaquer en justice…
- Madame…
La Limousine noire démarra. Deux gardes du corps encadraient le garçonnet. Un des deux demanda pourquoi ils avaient fermé la 4 voies… On lui répondit tout simplement « Pour nous »
Il se retourna, et vu qu’une escorte de motard et d’hélicoptère suivait la voiture.
- Que se passe t-il ? Demanda l’autre garde.
- Nous ne savons rien. Les seuls informations que nous avons reçus sont « Vous devez amener au plus vite un spécimen particulier, découvert par une psychologue de bas rang."
La limousine continua son chemin. Elle s’arrêta une dizaine de kilomètre plus loin, devant un bâtiment. Les hommes et le garçonnet descendirent de la voiture. Marchèrent sur la pente rocailleuse. Le temps était gris, il faisait froid, le vent soufflait. Ils avançaient. L’un des deux hommes vêtu de noir ouvrit la porte du bâtiment. Ils y entrèrent. A première vue, on aurait dit un bâtiment administratif, mais en regardant de plus près, on se rend compte qu’il s’agit d’un laboratoire. Ils pénétrèrent dans une pièce. Ils firent asseoir le garçon.
Un homme vêtu d’une veste blanche disposa des électrodes tout autour de la tête du jeune garçon. Le scientifique pressa un bouton. Une ordinateur se mit en marche. Il observa. Mathéo ne réagit pas. Puis tout à coup l’image de l’ordinateur se brouilla puis disparue. Toutes les lumières dans la salles s’éteignirent. Le garçonnet fut secoué d’électrochocs et de spasmes. Il s’écroula au sol. Les hommes se ruèrent vers lui, un militaire appela en urgence une ambulance, tout en essayant de retenir les mouvements violents de Mathéo.
L’ambulance s’empressa de démarrer, et dans les minutes qui suivirent, elle était escorté et le garçon était dedans. Une fois à l’hôpital, les médecins s’inquiétèrent car ils ne purent calmer ses spasmes.
Le garçon mourut. Emportant tout ses mystères. La mère fut prévenu et folle de chagrin se suicida. Mais avant de rendre l’âme, le garçon balbutia quelques mots auxquels on ne prêta aucune intention. Dommage, ces seuls mots auraient pu changer le destin de toute une race entière.
Mais il rendit l’âme.
FIN
Humanité
Depuis que l’Homme a débarqué sur cette pauvre planète qu’est la Terre, il n’a cessé de détruire. Détruire pour Détruire. Il détruit les autres êtres vivants, matériellement et physiquement, il détruit son environnement à ses propres risques et périls, ils s’entredétruisent même entre eux, matériellement, physiquement et mentalement.
L’Homme, inconsciemment ou pas, se réjouit du malheur d’autrui et y puise son bonheur. Il a également cette notion de « propriété », le fait est, qu’ils sont obsédés par la possession d’objets, territoires, où même d’autres Humains.
Cette notion de propriété a atteint un tel extrême, que l’Homme s’approprie maintenant la Terre, elle-même… Preuve que détruire ce qui pense leur appartenir ne les dérangent en aucun cas.
Pour être propriétaire d’un objet quelconque, il a inventé un moyen très simple :
L’argent.
L’argent obsède également l’Homme. Certains spécimens Humain, pour arriver a leur désir de propriété sont prêt à tuer d’autre êtres Humains.
(A noter : Nous pouvons retrouver certains cas comme celui-ci chez les autres animaux Terrestre.).
L’Homme, pour parvenir à ces désirs de propriété, peut également ce faire la guerre, un pays contre un autre pays. Un pays est une surface terrestre, une propriété, appartenant à un groupe d’Humain, désigné par le reste de la population du Pays.
La Guerre est un moyen barbare, de gagner quelque chose, on réalise l’acte de Guerre en tirant des morceaux de plombs sur d’autre Humains, habillés de costumes « verts », et prochainement tachés de rouge.
Bref, comme vous le remarquez, l’Homme n’est pas très intéressant et très paradoxalement, très intéressant, il existe, certes, des cas exceptionnels, vivant à l’écart de la société, dans des forêt, montagne, où lieu pas encore détruit par le reste de l’Humanité.
Chez l’Homme, l’Humanité est un concept, désignant la Compréhension, La Bienveillance, la Bonté. Ce qui est paradoxalement, est tout leur contraire.
Ils cherchent à se faire une image d’eux même, qui les rassures, les éloignent de la triste réalité.
Ce qui explique que dans la plupart de leurs films de Science Fiction, l’étranger, l’Alien, soit « Le Méchant », et l’Humain, « Le Gentil ». Un exemple qui illustre très bien cette façon d’être.
Une majorité à crée une image, une entité, qu’il nomme « Dieu », sans doute pour se rassurer, ce dire qu’il y à sans doute quelque chose de plus grand, de nouveau, de plus haut, qui puisse les sauver d’eux même, à qui ils peuvent se confier…
Chez les enfants en bas-âge, ils appellent cela : « Un Doudou », « Une Peluche ».
(A noter : Une peluche est un objet que des géniteurs Humains offrent à leur progéniture, il devient alors propriétaire, la peluche représente le plus souvent une autre espèce vivante sur Terre, conçu avec des morceaux de tissus, et du coton.)
Le fait est que nous ne pouvons pas enlever des milliers d’années d’instinct d’un coup. L’Homme est et restera. Ca ne changera pas.
Samuel Solé
Ton poème n'est pas forcèment vrai sur tout les points, je suis d'accord avec toi, mais pas aussi exagéré.
Et souvent dans les films c'est l'humain qui est méchant xD
Ce n'est pas un poeme...
Et puis je parle de films de science fiction. A ma connaissance, je connais qu'un film où l'humain est le méchant = Avatar (que je n'aime pas d'ailleurs)
Y'à aussi District 9, mais c'est plus profond;... on ne peut se limiter qu'à gentil/mechant...
Samuel, je pense que tu as tort.
Premièrement parce qu'il n'y a pas de gentil, ni de méchant, nous sommes tous ce que j'appelle des "salades du chef". Une part qui ressemble à l'idée que l'on se fait du bien, une part qui ressemble à l'idée que l'on se fait du bien, le tout mélangé à une tornade de sentiments, de conflits, de pensées. C'est ce qui fait l'humain.
Donc déjà, tu nous dis que l'humain (et je dis humain, ras le bol qu'on dise l'homme pour parler des humains, même si c'est un terme général, je trouve que c'est du sexisme) est pas bien, en gros. Un méchant. Il n'y a pas de méchants. Juste des salades du chef.
Deuxièmement, parce que tu ne nous décris qu'une facette de l'humain. Où sont passés les associations visant à protéger des espèces animales, les lois protégeant la nature ? Où sont passées la musique, la littérature, la poésie ? L'art ?
Troisièmement, imaginons que ce que je dis est faux, que nous ne sommes pas des salades du chef, mais des créatures maléfiques. Il y a des humains qui ne sont pas comme ca. Il y a toujours des exceptions à la règle, même à celle-ci (si cette phrase s'applique à elle-même, du moins, mais ca, c'est autre chose), et en dénigrant la race humaine, tu nous dénigres tous. Tous, alors qu'il y en a qui n'ont rien de semblable au portrait que tu décris.
As-tu vu la Joconde ? D'abord, on voit la Joconde. Puis on voit un paysage derrière, on voit tous les détails. Il faut examiner le tableau avant de le juger. Sinon, ce n'est qu'un préjugé.
Et même, ce que tu dis dénigre ton texte. Car ce que tu dis est trop brutal pour être vrai. Dans un texte philosophique comme celui-ci, il y a les argumentations, les nuances, les teintes, délicates, jusqu'à former un vrai portrait. Dans ton texte, il n'y a qu'une esquisse aux traits grossiers. Comme un ciel, juste bleu, uni. Le ciel n'a jamais été du même bleu. Il y a toujours eu des dégradés, des teintes, des couleurs, des nuances, des nuages - parfois invisibles - qui se perpétuent dans un tableau unique jusqu'à l'horizon.
Je suis désolée, mais c'est comme ca que je le pense. Il y a du vrai là-dedans, mais la facon dont tu le dis, comme si les humains n'étaient que des êtres répugnants, des inconnus, alors que tu en es un toi-même, alors que tu as passé tant de chose sous silence... Je n'ai pas pu m'empêcher de te contredire. Cela dit, ce n'est que mon avis
+1 pour Jannou et pour Samuel !
Les deux avis mélangés font l'espèce l'humaine. Du moins une partie ^^
C'est vrai que ton texte, Samuel, se réduit à une seule vision. C'est en partie vrai mais pas totalement car il n'y a pas que cette réalité.
Tout ne peut pas être blanc ou noir, ce n'est pas l'un ou l'autre, comme l'a écrit Jannou, tu n'as décrit qu'une seule facette.
En tout cas, vos deux visions sont intéressantes.
Poster un message
Veuillez vous connecter pour poster sur le forum.