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modifié il y a 13 ans
Voila, voila !
Ici poster tous les début de romans ou même poèmes !
Cordialement NEY
Voici les réponses de cette discussion : (page 9/13)
Moi je veux bien Gaïa :)
Ok !
moi je vais mettre mes textes sous Copyright
Moi je ne sais pas, comme c'est payant... Je verrais avec ma mère...
Logique ^^ Sa vaut le coup 5 euro ou un truc comme ça le copyright pendant 70 ans voir plus.
^^ lady-kiwi, tu veux un MP avec les idées et un résumé ?
oui , oui , oui ^^
Ok !
Ca fait longtemps que j'ai posté de texte ici. ^_^
Un truc que j'ai écrit il y a ... 1 an (mine de crayon Oo), suite à un rêve que j'ai fait. Je l'ai pondu en quelques minutes à peine...
* * *
" J'ai encore rêvé d'elle... "
Un rêve. Rien qu'un rêve. Un déluge de sensations qui afflue sur un rempart de neurones... Tout cela semblait si vrai, ses rires si féminins, son sourire gracieux, ses yeux angéliques... Ses formes légèrement disgracieuses... Tout cela était presque réel. Tout était représenté merveilleusement bien. Excepté quelques détails fantaisistes, mais que vouloir de plus quand on est à côté d'un ange ? Je m'approche furtivement de son corps, puis recule. C'est un délice pour les yeux, un régal, un festin. Je voulus que ce moment dure une éternité. Dure toujours. Mais rien n'est éternel. Tout est éphémère. Une fois qu'une chose est terminé, on semblerait qu'elle n'a duré que peu de temps... Pas assez... Seulement un quart de seconde, parfois moins. Parfois plus. Mes jambes me portèrent à deux pas d'elle. Elle, ne fit que sourire. Je dus me douter que quelque chose clochait. Ne tournait pas rond... Mais non. Mes pensées n'étaient pas à ça. Pas maintenant. Je m'approchais encore d'un pas. L'expression de son visage changea. Mes lèvres n'étaient désormais qu'à quelques centimètres des siennes. Un flash blanc rampait derrière. S'avançait. Avalait tout. Non, il ne fallait pas ! Nos lèvres s'effleurèrent seulement... Et le flash engloba les deux corps en confusion. La seconde suivante, je ne voyais plus rien. Du noir. Je n'entendais rien. J'ouvris légèrement les yeux et... Je contemplais ma chambre. Personne. Pas de retour en arrière possible. Les souvenirs de ce rêve s'estompèrent rapidement, pour ne plus se souvenir que de bribes et de morceaux... Pourquoi revenir à la réalité ? Pourquoi maintenant ? Je voulus me rendormir, et revenir à côté de l'ange, pour conclure ce que j'avais commencé. Mais ce fut impossible... Déjà, mes souvenirs de ce rêve s'étaient effacées. Ce pourquoi j'écris ces quelques lignes. Car en figeant sur papier quelques souvenirs épars d'un rêve... Je raccorde les certaines bribes entre eux, et raccommode ce moment somptueux. Ce rêve doit être immortel. Ce moment aussi. Car non certain qu'un tel moment arrivera en réalité, j'aurais toujours quelque chose à quoi me retenir.
* * *
C'est bien...
Sympa ! Pour ma troisième gazette, je ferais un numéro spécial histoire. Toutes les histoires bien seront mises.
C'est super !
^^
C'est bien écrit, j'aime bien. J'ai écrit deux de mes rêves aussi, il y a longtemps... Ceux dont je me souviens le plus (et grâce à l'écriture, je m'en souviens d'autant plus...)
Sinon, j'ai écrit un texte pour ma-plume.
Le voici. J'ai un peu dépassé les frontières du cadre de départ (cf. le site ma-plume).
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Rouge, orange, jaune, rose. Du haut de ses quinze centimètres et demi, le petit chaperon vert contemplait le soleil levant. Un demi-pas plus au sud, ondulant au rythme de la légère brise, sa tendre épouse, la reine Bleuet, se faisait belle. Autour d’eux, la ville dormait encore et le silence était à peine troublé par le chant des oiseaux. Le couple royal vivait au cœur d’un parc urbain. Les fleurs et les brins d’herbes alentours étaient leurs sujets et ces derniers demeuraient en parfaite harmonie dans leur beau royaume floral. Un observateur matinal aurait aisément été convaincu que les résidents de ce charmant jardin menaient une vie paisible et sans souci. Néanmoins, le petit chaperon vert doté de parole aurait volontiers répondu « les apparences sont trompeuses » à quiconque lui aurait fait remarqué qu’il avait la belle vie. Mais le roi des fleurs n’avait pas reçu ce don et se contentait de le penser très fort, en espérant, en vain, que quelqu’un l’entendrait.
Soudain, un crissement se fit entendre. Les ennuis diurnes commençaient. Le chaperon vert se dressa le plus haut possible que son frêle corps lui permettait, afin de se préparer au pire. Était-ce le jardinier perfectionniste armé de sa dangereuse cisaille ? Ou bien une kyrielle d’enfants arrachant des fleurs à-tout-va ? Le souverain grandit encore d’un millimètre en se plaçant tout à fait à la verticale. Une paire de chaussures de sport avançait rapidement dans l’allée gravillonnée, chaque enjambée de leur propriétaire la rapprochant du petit brin d’herbe. Un instant plus tard, un pied athlétique le frôlait. Le petit chaperon vert se courba puis se releva fièrement, à la vue de sa cour, sitôt le danger passé. Mais le risque n’était pas écarté. Le coureur se dirigeait à présent tout droit vers la splendide Bleuet, la reine des fleurs, sa si belle épouse. Une nouvelle fois, le royal brin d’herbe regretta d’être dépourvu de parole. Impuissant, il devenait le spectateur d’une tragédie. Une seule foulée suffit : aveugle, comme tous les hommes, au spectacle qu’offrait la nature, le coureur quitta l’allée et posa le pied sur le royaume fleuri, décapitant du même coup la souveraine. L’assassin s’éloignait déjà, impuni pour l’éternité. Pour le petit chaperon vert, c’était le rideau qui tombait.
Franchement, c'est toi qui l'a écrit ? J'aime beaucoup ton style d'écriture
! Bravo
J'ai entendu que certains voulaient mettre leur texte sous copyright... Il y a un autre moyen de protégé ses textes et c'est gratuit : Calaméo.
Merci ! Oui, c'est bien moi. L'idée du chaperon vert vient du site Webidev ma-plume par contre. Mais l'écriture c'est 100% moi.
Sympa !
- Naëlle !
J'observe mon professeur d'un regard impassible, mes yeux perdus dans la vague.
- Naëlle ! Si tu en a marre de mon cours, la sortie, c'est par là !
Il désigna la porte, ses sourcils broussailleux froncés au maximum.
Naëlle, c'est moi. Je n'ai pas d'amis car je suis différente.
Différente physiquement et moralement.
A la réplique du professeur, toute la classe de 4°2 a rit. Toute, sauf moi et une jeune fille blonde qui me lancait un regard compatissant.
Je suis différente. Mes yeux ne sont ni bruns, ni bleu, ni verts, il sont vairons. Un oeil bleu et un oeil brun. Mes cheveux sont noirs ébène. Mes n'ont aucun éclat : la vie n'a jamais rien fait pour qu'ils en ai un.
- Naëlle ! Tu m'écoute ?
<< Non. >> voulus-je lui répondre.
Je resta silencieuse. Je détourna la tête et regarda par la fenêtre. Mon corp criait ma différence.
Pauvre Naëlle :/ Tu pourras mettre la suite ?
Je ne l'ai pas écrite ... Heureue que ça te plaise !
^^ vivement la suite alors !!
Merci ! Mais tu sais, je n'ai pas beaucoup d'idées... :$
J'en vois qui connaisse Bottera (je l'aime tout simplement...) et aussi "Entre chien et loup" ce livre est bouleversant, magnifique. je le conseil à n'importe qui aime lire et qui est un peu mature pour lire autre chose que des BD (je n'ai rien contre les BD !).
Oui, enfin, pour 'entre chiens et loups', je conseille d'avoir + de 12 ans
Je n'est jamais lu
J'essairais de voir à la biblio du village ^^
Ou d'être assez mature...
Le cours se termina longtemps après. Je comptais les secondes dans ma tête lorsque j'entendis la sonnerie de la liberation. Je fourra mes affaires dans mon sac et partie, presque en courrant, du cours. J'étais sur le seuil de la porte lorsque la voix familière se fit entendre. En face de moi se tenait un homme petit, chauve. Il portait un costume haute couture et s'était laissée poussée la barbe.
- Naëlle. Puis-je te voir ? Dans mon bureau dans cinq minutes. Et pas de retard !
Le directeur tourna les talons et s'éloigna. Après qu'il eût passé le coin de l'escalier central, j'attrapa mon sac, le jeta sur mes épaules et me mit à courir. Aussi vite que le voulais bien mes jambes. Une larme, une seule, scintilla sur ma joue gauche.
Sympa !
La suite (tatata) la suite (tatata) ^^
J'adore :)
Mets la suite le plus tôt possible dès qu'elle est disponible ;)
Merci :$ :$. Mais tu sais, j'ai la clavicule cassée, donc j'écris qu'à une main...
Aïe :/ Je suis déolée pour toi ;)
Doucement mais surement alors :)
Je tourne au coin et manque de renverser un élève, qui, surpris de me voir courir, s'était immobilisé net. Je l'évite de peu et reprends ma course de plus belle. Je dévale les trois étages qui me sépare du sous-sol en quelques minutes et me dirige à grands pas vers l'administration. Ma larme s'est tarrie et je tente de reprendre ma respiration. J'halète de plus en plus et une douleur au niveau des côtes du côté droit m'oblige à m'arrêter. Je tourne furtivement la tête vers la fenêtre et aperçoit la cour, avec ses arbes et son bitume. Ses tables de ping-pong au loin. Je reprend mon souffle. Je finit par respirer normalement ; alors, seulement, je me remet en marche.
Oui, petit peu par petit peu ^^
Je toque à la porte du directeur. M.Lugoi est-il marqué sur la plaquette doré, cloutée sur la porte.
- Entrez ! chantonne la voix de l'homme.
Je pousse doucement la porte et entre dans le bureau.
- Refermez la porte.
J'execute l'ordre, consiante de joué ma place au collège.
Il tent sa main aux longs doigts et me désigne une chaise.
Le bureau était vaste,un bureau, un fauteuil et deux chaises était le seul mobilier au sol. De la fenêtre, derriè-re le bureau, on pouvait voir les grilles d'entrées. Sur le bureau trône un ordinateur dernier cri.
Je m'assois sur une chaise.
^^ Tu écrit vraiment bien (le style) ^^
je te l'ai déjà dit :)
( on voit que je suis en vacances, y'a plein de fautes d'orthographe !!)
Merci..
Le directeur m'observe un long moment avaznt de prendre la parole. C'est toujours comme ça entre lui et moi. Et moi, je soutiens toujours son regard.
...Prologue...
Lorsque les Deux seront réunis, le Un et le Deux seront libérés de leur chaînes et commencera alors l'ère du Chaos.
...Chapitre 1...
- Naëlle !
J'observe mon professeur d'un regard impassible, mes yeux perdus dans la vague.
- Naëlle ! Si tu en a marre de mon cours, la sortie, c'est par là !
Il désigna la porte, ses sourcils broussailleux froncés au maximum.
Naëlle, c'est moi. Je n'ai pas d'amis car je suis différente.
Différente physiquement et moralement.
A la réplique du professeur, toute la classe de 4°2 a rit. Toute, sauf moi et une jeune fille blonde qui me lancait un regard compatissant.
Je suis différente. Mes yeux ne sont ni bruns, ni bleu, ni verts, il sont vairons. Un oeil bleu et un oeil brun. Mes cheveux sont noirs ébène. Mes n'ont aucun éclat : la vie n'a jamais rien fait pour qu'ils en ai un.
- Naëlle ! Tu m'écoute ?
<< Non. >> voulus-je lui répondre.
Je resta silencieuse. Je détourna la tête et regarda par la fenêtre. Mon corp criait ma différence.
Le cours se termina longtemps après. Je comptais les secondes dans ma tête lorsque j'entendis la sonnerie de la liberation. Je fourra mes affaires dans mon sac et partie, presque en courrant, du cours. J'étais sur le seuil de la porte lorsque la voix familière se fit entendre. En face de moi se tenait un homme petit, chauve. Il portait un costume haute couture et s'était laissée poussée la barbe.
- Naëlle. Puis-je te voir ? Dans mon bureau dans cinq minutes. Et pas de retard !
Le directeur tourna les talons et s'éloigna. Après qu'il eût passé le coin de l'escalier central, j'attrapa mon sac, le jeta sur mes épaules et me mit à courir. Aussi vite que le voulais bien mes jambes. Une larme, une seule, scintilla sur ma joue gauche.
Je tourne au coin et manque de renverser un élève, qui, surpris de me voir courir, s'était immobilisé net. Je l'évite de peu et reprends ma course de plus belle. Je dévale les trois étages qui me sépare du sous-sol en quelques minutes et me dirige à grands pas vers l'administration. Ma larme s'est tarrie et je tente de reprendre ma respiration. J'halète de plus en plus et une douleur au niveau des côtes du côté droit m'oblige à m'arrêter. Je tourne furtivement la tête vers la fenêtre et aperçoit la cour, avec ses arbes et son bitume. Ses tables de ping-pong au loin. Je reprend mon souffle. Je finit par respirer normalement ; alors, seulement, je me remet en marche.
Je toque à la porte du directeur. M.Lugoi est-il marqué sur la plaquette doré, cloutée sur la porte.
- Entrez ! chantonne la voix de l'homme.
Je pousse doucement la porte et entre dans le bureau.
- Refermez la porte.
J'execute l'ordre, consiante de joué ma place au collège.
Il tent sa main aux longs doigts et me désigne une chaise.
Le bureau était vaste,un bureau, un fauteuil et deux chaises était le seul mobilier au sol. De la fenêtre, derriè-re le bureau, on pouvait voir les grilles d'entrées. Sur le bureau trône un ordinateur dernier cri.
Je m'assois sur une chaise.
Le directeur m'observe un long moment avaznt de prendre la parole. C'est toujours comme ça entre lui et moi. Et moi, je soutiens toujours son regard.
- Naëlle, commença-t-il, cela à trop durer. Tu n'en fait su'à ta tête ! Je ne peux plus rien pour toi. Mme Mifg et moi-même en sommes à un point où nous ne pouvon plus rien pou...
Ses mots passait à côté de moi, désormais, sans jamais me bousculer.
Mme Mifg, ma professeur principale avait été d'accord. D'accord pour me virer. Qu'allais-je faire ? Dans l'orphelina où j'habite, personne ne s'occupe de moi en particulier.
Je sens ma gorge vibrée mais j'arrive à contenir les larmes chaudes et salées.
Je ferme les yeux et reprends ma dignité, tête haute, malgré ma peur.
<< Sois forte. Pleurer ne sert à rien... >> avais été les dernier mots que ma mère m'ais prononcé, juste avant sa mort. Ce jour là, ma mère, mon père et moi étions partis pic-niquer près du lac. J'avais cinq ans. Mais un camion était rentré dans la voiture et j'avais été la seule réscapé de ma famille. J'avais été placée en coma artificiel à l'hopital public pendant trois mois, et j'avais passé encore deux mois pour m'en remettre et pouvoir sortir.
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