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modifié il y a 13 ans
Voila, voila !
Ici poster tous les début de romans ou même poèmes !
Cordialement NEY
Voici les réponses de cette discussion : (page 3/13)
Je nomme officiellement [ou presque -_-'] ces trois personnes : Green, Jannou et Feuille de Lune pour les meilleurs écrits de Webidev !
Ce n'est pas très bien, Flo et puis nous ne pourrons jamais [ ou presque, je suppose] rivalisé avec les plus grand auteur de l'histoire, pour les romans jeunesse [je pense Pierre Bottero, Erin Hunter,...], les romansfantastiques [je pense J.K.Rowling, (celle de chevaliers d'émeraude),...] des romans ado [je pense Malorie Blakcman] ou encore des romans adultes [ Musso, Levy,...]
Honte à Feuille qui a oublié de cité Maxime Chattam, qui est un des meilleurs auteurs de Thrillers Français (Et aussi d'Heroic-Fantasy nouvellement).
Quant à moi, j'écris aussi plusieurs trucs, aux brouillons, dans mes cahiers...
Il m'est venu il y a quelques mois l'idée d'une Nouvelle, et qui est largement plus aboutie que mes autres petits brouillons. ^^
J'ai tout le scénario en tête, et j'ai l'intention de le terminer son écriture... :D
Si vous voulez, je C/c ici, une petite partie du Premier Chapitre : Cette partie correspond à à peine 1/3 du premier chapitre, donc si je colle tout, mon post sera immense. ^^ Ce n'est que le premier chapitre qui plante le décor et le personnage principal...
********************
Il ouvra les yeux. Ses cheveux bruns s'entrecroisaient comme s'ils n'avaient jamais été coiffés. Ses yeux vert émeraude brillaient en fixant le radio-réveil qui émettait les chiffres lumineux rouge sang. Il était dix heures du matin. Sa bouche était pâteuse, et une barbe naissante lui rongeait les joues, le menton, et le dessous du nez.
Un grésillement retentit, suivit d'une voix nasillarde, qui sortit du poste de radio.
« Il est 10 heures du matin, et à Paris, les embouteillages concerne déjà la moitié de la population qui doivent retourner bosser. Les grèves de la SNCF et de la CGT continue toujours et paralysent la moitié Nord de la France alors que... »
Le bras musclé de Maxime s'abattit sur le bouton noir du radio-réveil, qui fit taire le commentateur. Un son émana de sa bouche, qui ressemblait à un grognement de mécontentement. L'homme de 21 ans sortit enfin de son lit, en adoptant la posture d'un homme des cavernes tant son dos était courbé. Ses pieds nus heurtèrent des canettes de bières vides en pagaille. La moquette semblait avoir absorbé toutes sortes de substances durant sa folle et longue jeunesse, ce qui a fait d'elle un tapis sale et moisi. Il marcha tant bien que mal jusqu'au frigo, et l'ouvrit. L'odeur de jambon avarié emplit la cuisine et les narines du jeune homme. Dans un réflexe de défense, il pinça son nez de trois doigts, et plongea son autre main dans l'abominable frigo pour en ressortir deux canettes de bière, un paquet de céréales ouvert, et un autre étrange paquet.
« - C'est l'heure, Max... »
[...]
Honte à Feuille qui a oublié de cité Maxime Chattam, qui est un des meilleurs auteurs de Thrillers Français (Et aussi d'Heroic-Fantasy nouvellement).
____
Je ne pouvait pas connaitre Cliik, je ne lis pas les thrillers.
C'est pas mal ce que tu écris, CliiK ! Pour te dire, je l'imagine plutôt en images, comme un début de film lorsque je le lis
C'est le but. ^^
J'ai lu pas mal de livre de Maxime Chattam, et au bout de 5-10 pages, je ne lis plus, je VOIS l'action devant moi. Impressionnant, j'adore ça. =p
C'est pour ca que j'ai jamais lu un livre aussi vite qu'un de ses livres (J'ai mis à peine deux semaines à dévorer son petit dernier de 500 pages et grand format ^^)
Cela ne m'arrive qu'avec le livres de Bottero (et encore, que certains) et certains tome de La Guerre des Clans
Bottero : avec => Les Âmes Croisées, La Quête d'Ewilan
L gdc => 1,3,4,6,7,8,9,10
CliiK => ah, d'accord ! Eh bien tu vois, ça marche bien ^^
Feuille de Lune => je n'ai pas compris ta dernière ligne
L gdc (= La Guerre des Clans) => Tome 1, Tome 3, Tome 4, Tome 6, Tome 7, Tome 8, Tome 9, Tome 10.
Ca m'arrive avec les HP <3. Et les Artemis Fowl ^^'.
Trop joli Cliik ! :D J'aime ^^'. Tu pourras m'envoyer le tout par MP stp ? :D Ou par mail, enfin comme tu veux ^^'.
Clik => sympa mais trop raide.Et c'est "ouvrit" pas "ouvra" ;)
[Désolé du double]
Rêve
Que le soleil se coucha,
Que le soleil se leva
Il n'est là
Que pour toi
Que la lune brilla
Qu'elle t'illumina
Elle n'est là
Que pour toi
J'ai vu des forêts et de la verdure
Des mers déchainées et des océans
De toutes les merveilles de la nature
J'ai tout vu,même le néant.
J'ai vu la tristesse et le noir
Le bonheur et l'espoir
Mais tout ceci est un rêve
Et déjà le jour se lève!
La nuit,elle,emporte tout
Tout,même les souvenirs les plus doux
Moi
Lune
Quand je regarde la lune
Je me prends à rêver
Qu'elle traverse la brume
Et que d'un de ses rayons
Elle vienne me caresser.
Moi
Ephémère
Ephémère,
Ainsi passe le temps,
Ephémère,
Fini les amusements.
Ephémère,
Le temps
File comme le vent
Ehémère,
Le temps sur la Terre
File dans l'air
Moi
_________
Vous préférez lequel?je participe à un concours de poème amical demain donc je voudrais savoir lequel présenter.
Et désolé de la longueur
Je préfère "reve".
Merci!Pour l'instant,toi et une amie ont voté pour Rêve,je pense que je vais le présenter!Mais bon j'attends quand même des avis!
Je préfère les deux autres... Notamment "Lune". Et "Éphémère" aussi... Je ne sais pas
.
"Rêve" est très joli mais je trouve les tournures de phrase du début un peu bizarres ("Que le soleil se coucha", "Que la lune brilla" ...
Je l'ai écrit il y a très longtemps!
Donc:
Lune : 1 vote
Ephémère : 0 vote
Rêve : 2 votes
[Désolé du double]
J'ai gagné ce concours contre...Heu...Une chanson d'amour...Un autre la semaine prochaine,le thème n'est pas libre (enfin si) on doit écrire sur la liberté!Toujours contre la même concurrente!
Je vous le posterais,promis
Hellow ! Je reviens XD
Bonjour, bonjour. ^^
J'ai lu que certains voulaient lire plus de ma petite fiction. =p
Alors je colle ici les deux premiers chapitres.
Bon, je le dis tout de suite, j'ai écrit des trucs qui peuvent paraitre un peu cru, voire un peu xénophobe. C'est la mentalité du personnage que je "sculpte" ici, au Chapitre 1.
Le Chapitre 2, c'est autre chose : Le début des "péripéties".
Quel con, j'ai pas Collé.
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Chapitre 1 : Addictions.
Il ouvrit les yeux. Ses cheveux bruns s'entrecroisaient comme s'ils n'avaient jamais été coiffés. Ses yeux vert émeraude brillaient en fixant le radio-réveil qui émettait les chiffres lumineux rouge sang. Il était dix heures du matin. Sa bouche était pâteuse, et une barbe naissante lui rongeait les joues, le menton, et le dessous du nez.
Un grésillement retentit, suivit d'une voix nasillarde, qui sortit du poste de radio.
« Il est 10 heures du matin, et à Paris, les embouteillages concerne déjà la moitié de la population qui doivent retourner bosser. Les grèves de la SNCF et de la CGT continue toujours et paralysent la moitié Nord de la France alors que... »
Le bras musclé de Maxime s'abattit sur le bouton noir du radio-réveil, qui fit taire le commentateur. Un son émana de sa bouche, qui ressemblait à un grognement de mécontentement. L'homme de 21 ans sortit enfin de son lit, en adoptant la posture d'un homme des cavernes tant son dos était courbé. Ses pieds nus heurtèrent des canettes de bières vides en pagaille. La moquette semblait avoir absorbé toutes sortes de substances durant sa folle et longue jeunesse, ce qui a fait d'elle un tapis sale et moisi. Il marcha tant bien que mal jusqu'au frigo, et l'ouvrit. L'odeur de jambon avarié emplit la cuisine et les narines du jeune homme. Dans un réflexe de défense, il pinça son nez de trois doigts, et plongea son autre main dans l'abominable frigo pour en ressortir deux canettes de bière, un paquet de céréales ouvert, et un autre étrange paquet.
« - C'est l'heure, Max... »
Il ouvrit ledit paquet, et en sortit une seringue, remplit d'un quelconque liquide. Le commun des mortel, en voyant cette scène, et cet appartement aurait cru à de la drogue.
Et ils auraient raison.
Maxime tendit son bras, et se piqua en plein milieu des veines qui joignent l'humérus et le radius. Sa grimace de douleur se transforma en sourire qui transparaissait un bienfait évident dans le corps du jeune homme. La substance entra dans ses veines et parcourut la totalité du corps humain, jusqu'à ce que les molécules se libérèrent dans le cerveau pour monopoliser l'espace synaptique des neurones, et empêcher tout messages nerveux négatifs de passer, provoquant ainsi un sentiment de béatitude et de bien absolu. L'encéphale croula alors sous un déluge de drogues et de molécules illicites. Il parvint à se lever, tant bien que mal, alors que, quelque part, dans l'appartement, une porte se fait maltraiter par un visiteur en colère.
« - Ouvrez ! Police ! »
Soudain, le jeune homme fut parcouru de part en part par la foudre. Qu'allait-il faire ? La solution fut rapidement choisie puisqu'il n'avait rien à se reprocher. Du moins, le pensait-il... Il marchait lentement d'une démarche lourde vers la porte d'entrée. L'inconnu réitéra sa demande en tambourinant sur le bois sombre. Maxime ouvrit alors.
« - Enfin ! Agent Marcel Dumont, Police de Quartier. On nous a signalé quelques magouilles bizarres ici. Je pourrais entrer ?
- Faites... »
L'agent entra. L'odeur de bière mélangée à celui de rance tortura ses papilles et son odorat pendant quelques secondes, et lui arracha quelques haut-le-coeur.
« - Bon Dieu ! Comment pouvez-vous vivre là-dedans ?!
- Je vis...
- Bon, très bien, tout est en... ordre. »
Marcel se dirigea de nouveau vers la porte en réprimant son petit-déjeuner, qui décidait de remonter le long de son oesophage.
« - Désolé... Du dérangement. Mes voisins sont... Très suspicieux.
- Non, non, ce n'est que notre travail. »
Il claqua la porte. Maxime l'observa à travers l'oeil-de-boeuf. Marcel était en train de rendre son café-donuts du matin sur le pas de la porte. Le jeune homme toussa bruyamment, et cracha une glaire. Il avait de nouveau mal. Sa drogue ne lui faisait plus rien... Il se jeta sur le vieux sofa et alluma la télévision d'une pression sur la télécommande.
« - Et maintenant, les Informations de ce Lundi 11 Juillet 2016. A 3 jours de la fête nationale, les tensions sont plus que fortes entre les syndicats et les patronats. La CGT réclame toujours plus de considération. Deuxième titre : Le Mass School-Shooting devient une activité à la mode. Enquête sur les héritiers de Columbine. Et enfin pour finir, un petit détour vers la Chine, pays du Soleil Levant, et de la Grande Muraille, qui semble devancer tout les pays industrialisés en terme d'économie.
- Mais quels ramassis de conneries...
- La météo de cette semaine est plus que bonne, et annonce la grande canicule de... »
Maxime avait éteint la télévision. Il appuya sa tête sur le sofa quelques secondes et pensa à toute sa longue vie qui l'avait amené à vivre dans ce dépotoir de la banlieue nord de Paris. Un appartement qu'il payait une bouchée de pain grâce à son boulot à mi-temps chez MacDonald's. Tandis que l'autre moitié de son salaire servait à acheter ses médicaments, ou plutôt sa drogue, et ses packs de bière. Ses voisins n'aimaient pas sa façon de vivre. Ils le considéraient comme un ermite.
Soudain, le téléphone sonna. Cela faisait au moins six mois qu'il n'avait pas entendu la sonnerie de ce vieil appareil. Il ne connaissait personne, et ne parlait pas. Maxime souleva le combiné, emplit de toiles d'araignées et de poussières pour le porter à son oreille.
Il fut surpris en entendant la voix de baryton qu'il n'avait même jamais eu l'honneur d'entendre par le passé. L'homme à l'autre bout du fil ne perdit pas de temps.
« - Monsieur Wolf ?
- Lui-même...
- J'ai une proposition intéressante à vous proposer. »
La voix de Maxime était sifflante et son interlocuteur perçut sa respiration rauque et haletante.
Il hésita quelques secondes.
Chapitre 2 : 50.000 Dollars.
« - J'écoutes.
- Je vous propose 50.000 Dollars pour tuer une personne très importante. Rendez-vous au 30 de votre rue. Venez seul.
- Attendez... Qu'est ... ?! »
Le Bip de la sonnerie indiquait déjà que l'homme avait raccroché. Cinquante milles Dollars c'est une somme, mais quelle est la personne importante dont il veut la mort ? Il n'y a qu'une façon de le savoir. Maxime se précipita dans la salle de bains avec une célérité tel qu'il n'en a jamais fait preuve depuis une semaine et s'habilla décontracté. Ses fringues habituelles quoi. Il n'avait que ça à se mettre pour sortir. D'ailleurs, il ne sortait que pour bosser, comme ça, le problème était réglé. Il se dirigea ensuite vers la cuisine avec le même entrain, ou il ouvrit une cannette qu'il avait sortie quelques minutes plus tôt, et but son contenu plus rapidement qu'Homer Simpson lui-même. Le jeune homme pouvait enfin sortir. Il s'arma d'un couteau de chasse, qu'il gardait toujours sur lui, au cas où, puis, il ouvrit la porte dans un silence religieux - que le grincement de celle-ci brisa.
« - Tiens, mais qu'est ce qu'il va faire le Wolf, un Lundi matin ?
- Des courses... »
Sa voix était froide et rauque. Il détestait son voisin. Le gros Patrick toujours devant la téloche, avec sa femme, et ses abrutis d'amis. Il bande devant cette salope de Victoria à l'insu de sa femme, c'est sûr, tel un gros beauf, drogué par TF1 et toutes ces absurdités.
Il se sortit de la tête cette mauvaise rencontre, et il avait déjà descendu les trois étages, et se retrouvait dehors. Dans l'air accueillant de la banlieue parisienne. Il passa devant une voiture brûlée, des tags, une bande de racailles, un magasin vandalisé, une porte fracturé. C'est pour ça que Maxime détestait sortir. Tout était moisi, pourri, et rien ne peut faire changer les choses. Pas même le FN. Pas même les pires extrêmes. Maxime se rendit compte qu'il approchait de sa destination. Le 30.
Mais arrivé sur place, il n'y avait rien qu'un vaste terrain vague. Des carcasses de voitures abandonnées. Il fit quelques pas avant d'apercevoir une caravane, qui semblait habitée. De la lumière filtrait à travers les épaisses persiennes. Il marcha plus rapidement, et à peine le temps de frapper, la porte s'ouvrit déjà sur lui. Un homme d'une trentaine, se dévoilait alors, et l'invita à rentrer. Deux autres hommes semblables l'accompagnaient. Maxime s'assit et la discussion commença.
« - C'est donc vous. Maxime Wolf.
- Suis-je connu ?
- Beaucoup de nos services vous ont suivi. La Police s'intéresse beaucoup à vous.
- Qui êtes-vous ?
- Nous sommes... un organisme bien à part. Un réseau terroriste ne serait pas le terme approprié, mais nous commanditons des attentats, des meurtres.
- Je n'ai rien à voir avec vous. »
Alors qu'il voulait se lever, les deux gorilles l'attrapèrent par les bras, et le força à se rasseoir. Maxime s'exécuta, à contrecoeur.
« - Vous avez réfléchi à mon offre, monsieur Wolf ?
- J'ai posé une question, et j'aimerais qu'on me réponde. Comment me connaissez-vous ?!
- Vous êtes le fils du premier ministre. Votre mère travaille pour les renseignements généraux. Vous les avez fui très tôt, et vous êtes débrouillé seul. Mais ce que vous ne saviez pas, c'est que la police et les RG, sur ordre de vos parents vous ont surveillé tout ce temps. »
L'évocation de tant de mauvais souvenirs bouleversa Maxime. Il prit sa tête dans ses deux mains.
« - Tout ce que vous avez réussi a été encadré par les autorités compétentes. A chaque fois que vous étiez en danger, vous avez été sauvé par les autorités en charge. A chacune de vos tentatives de suicide... Pareil.
- Je n'en ai aucun souvenir... Vous mentez !
- Ils vous ont drogué pour effacer vos souvenirs. Ce qui explique votre... addiction.
- D'accord... D'accord ! »
Maxime frappa du poing sur la table. Ses trois interlocuteurs reculèrent de 20 centimètres. Le jeune homme reprit.
« - Qu'attendez-vous de moi ?
- Tuer Thomas Wolf. Demain. Vous aurez le matériel nécessaire. En l'échange de ceci... »
Il fit glisser une mallette qu'il entrouvrit afin de laisser briller les 50.000 dollars. Tuer son père qu'il n'avait pas vu depuis... Qu'il n'avait jamais vu ? C'est impossible... Pourquoi lui voudrait-on du mal ?
« - Vous me demandez à moi... De tuer mon père ?
- Vous le connaissez. C'est votre père.
- Je ne l'ai pas vu depuis ma fugue, il y a 7 ans ! Je n'en ai rien à battre de ce vieil incontinent ! Ce n'est pas mon père, vous entendez ?!
- On vous offre l'occasion de vous en débarrasser...
- Et je la décline, je vis très bien ainsi ! »
Maxime se leva, et avant que les armoires à glaces le retiennent, il décrocha une formidable droite à travers la table, qui les déstabilisa. De quoi se mêlaient-ils, sans blague ? Ils l'interpellent, et prétendent lui offrir l'opportunité de tuer son père... Il pouvait le faire lui-même, et bien avant qu'on lui propose. Maxime sortit de la caravane en claquant la porte, sous les cris du baryton. Tout ceci ne lui disait pas vraiment pourquoi ils voulaient sa mort... Enfin, toutes ces péripéties lui avaient donné du pain sur la planche.
Maxime se dépêcha de traverser le terrain, et faire le chemin en sens inverse, et rentrer dans son nid alcoolisé.
Sympa!
Loufoque
C'était une vieille histoire
D'un jeune vieux berger
Qui gardait des moutons
Et des grands bébés phoques
Et des diplodocus
Il s'appelait Marcus
Et vivait à l'époque
D'avant les cro-magnons
Il r'gardait la télé
Avec ses yeux carrés
Il adorait l' ciné
Tout le monde le croyait fou
Mais il répondait:"Pas du tout!"
Ah!C'était une vieille histoire
D'un jeune vieux berger...
C'est mon coté fou!
[Désolé du double]
Mardi prochain,un autre concours!Thème : la liberté!
Evidemment,plutôt que d'essayer d'écrire un poème sans avoir l'inspiration,j'ai fouillé et j'en ai trouvé un.
Qu'est-ce que vous en dites?
J'y rêve encore
Et j'y rêverai toujours
De l'aube de l'aurore
Aux couleurs de l'amour
Crinière au vent
Cheval galopant
Sabots foulant
Les coquelicots dansant
Et l'herbe des champs.
Cet étalon,fier et conquérant,
Puissant et beau,
Admire d'un air de défi
Les prairies fleuries
S'arrêtant soudain
Respirer l'air frais du matin
Et savourer
La Liberté.
Je l'ai écrit il y a quelques années...
Cliik, j'adore comment tu écris ! C'est génial :D. Je veux la suiiiiiiiiiiite ^^'.
Super joli Jannou ! Mais c'est le même poème les deux paragraphes ? Par ce que je vois pas trop le rapport entre eux xS xO.
C'est vrai, c'est bien écrit, Cliik, tu es doué et je te conseille de continuer !
Jannou, j'aime beaucoup tes poèmes également !
Merci beaucoup. Je dois avoir effectivement quelque chose, beaucoup me dise que je suis doué pour écrire...
Je posterais la suite... Pas maintenant. Je vais garder quand même pour moi, au cas ou. ;D
Par contre évite les vulgarités dans ton texte si tu le publies sur le forum Webidev ^^/
Ah ok... Mais là, écoutes, c'est moi qui écrit, c'est moi qui pense, et je vais pas m'auto-censurer pour ce site alors que j'ai juste posté deux chapitres, hein. ^_^
Les prochaines fois oui . Ou trouves des mots moins vulgaires
*_* Dialogue de sourds spotted.
Bon, de toute façon, j'ai pas l'intention de poster la suite ici.
Comme ça c'est plié. Si je postes quelque part sur Internet, je mettrais éventuellement le lien...
Ah bah, non, les Liens vers des sites externes sont interdits. :D
Tu peux les mettre sur ton site ^^/
Mino => la scène se passe à l'aube ;)
Cliik => la suite par MP alors!La suite!La suite!La suite!
Green => t'as pas un autre poème please ? =D ils ont le don de me remonter le moral :)
Je viens de retrouver ce très vieux poème!
L'arbre
L'arbre
Le vieil arbre et ses branches
Attend la pluie que sa soif étanche
Ou la fraîcheur du soir
C'est son seul espoir
De survivre à ce désert qui n'est qu'un four
Où il n'y a nulle ombre aux alentours.
" Attend la pluie que sa soif étanche "
C'est pas la pluie qui étanche sa soif ? Par ce que la, on dirait que la soif étanche la pluie ^^'.
Nan, mais il a tellement soif, que sa soif, elle étanche la pluie. xD
Ptdrrrrrr ^^'.
Comme promis à certains, voici un extrait d'un de mes écrits (qu'on pourrait qualifier de "nouvelle", étant donné que l'histoire complète n'est pas très longue). Je vous préviens, le style n'est pas génial du tout, ça fait très longtemps que je l'ai écrit !
"- Léodo, la cabine ne veut pas s'ouvrir ! ai-je crié. On est bloqué !
- Mais non, dit mon ami, c'est normal, c'est pour que les gens ne volent pas d'objets.
- Mais comment vais-je pouvoir rentrer chez moi ? ai-je dit, toujours sur le même ton.
- On ira cette nuit, a coupé Léodo.
Je voulus répliquer mais il me fit signe de ne pas parler : des balayeurs approchaient en discutant. On rentra chez Léodo. Je lui dis que si on y allait cette nuit, on allait nous prendre pour des voleurs. Il n'a rien répondu.
A la tombée de la nuit, nous sortîmes sans faire de bruit pour nous diriger vers le musée.
- On va passer par l'entrée des balayeurs, m'a chuchoté Léodo. L'entrée des balayeurs, c'était une petite porte en verre derrière le bâtiment. Évidemment, elle était fermée à clef. Je sortis une épingle à cheveux de ma poche : on avait tout prévu ! La porte s'ouvrit et une alarme se déclencha.
- Courrons !
C'était Léodo qui avait dit ça. J'allais dire qu'on n'avait pas pensé à ça mais il m'a fait signe de me taire. Après avoir couru longtemps, nous nous sommes cachés derrière des caisses qui longeaient le musée. En fait, nous avions tourné autour ! On entendait les voix des gardiens de nuit qui nous cherchaient. Ils passèrent devant les caisses sans nous voir."
Sympa. Perso, j'aime pas trop les récits à la première personne, donc voila, ca me dit trop rien... ^^'
Merci mais honnêtement, l'histoire est complètement nulle ^^ Je l'ai écrit à 12 ans environ, je suis que certains webinautes de cet âge-là sont bien plus doués ! Quoique si je réécrivais cette histoire avec un meilleur style et en modifiant certaines choses, ça pourrait passer.
C'était quoi l'histoire en gros ?
Mino => la pluie qui étanche sa soif > la pluie que sa soif ca étanche > la pluie que sa soif étanche
Green => joli.Mais je me fais du soucis pour Webi-Corrector : "courrons"? C'est pas plutot "courons" ?
[Jannou]
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