| L'histoire |
Nous sommes la légende .
Nous sommes l'espoir d'un monde .
Nous sommes liées par le destin .
Nous sommes les quatre éléments .
Rien ne pourra nous arrêter .
Quatre filles , quatre éléments , quatre vies , quatre histoires , quatre destins réunis pour sauver le monde .
Maria , Lisa , Julia , Mathilde sont âgées de 13 ans . Elles sont on ne peut plus banales .Vraiment ?
Il y a bien longtemps , les sorciers ont décidés de concentrer les pouvoirs suprêmes en quatre jeune filles qui se réincarnerait tout les cent ans : Les quatre éléments .Aujourd'hui tout va pour le mieux Elle n'est plus ...
Pourtant Elle va se réveiller et déchainer les forces obscures sur son passage .
Pas si les quatre jeunes filles l'en empêche ...
Mais que peuvent faire quatre gamines contre le mal incarné ?
DRIIIIIIIING !
Oh non... Pas déjà...
Lasse, j'abats ma main sur le réveil, qui fait alors un « crac » pas très réjouissant.
Ce 1 septembre , un réveil rejoignit paradis des réveils. Rest in peace, petit réveil.
.Je me force à m'asseoir sur le bord de mon lit et fixe le mur en face de moi. Il est d'un blanc un peu bleuté. Un tableau y est accroché. Je crois que ça représente un lac. Ou la mer. Ou une vache. J'en sais rien. Je suis trop crevée pour réfléchir. Finalement, je me lève, et fait un panier en envoyant le réveil décédé dans une corbeille en métal. Ça fait DOONG et les filles du dortoir se réveillent en grommelant.
« Julia, c'est pas parce que t'es punie que tu dois réveiller tout le monde avec toi », fait remarquer alexandra, une de mes adorables camarades de dortoir.
Tout le monde est détestable, à Hestia. Juste avec moi, en fait.
« Et l'esprit de groupe, alors ? », je crie bien fort, pour que celles qui ne sont pas réveillées puissent profiter de ma voix mélodieuse.
Alexandra marmonne que je peux me mettre mon esprit de groupe à un endroit anatomique dont elle n'oserait jamais parler devant la vieille Wilson. La vieille Wilson, c'est la directrice de notre cher orphelinat. Ses cheveux gris sont toujours attachés en chignon serré, et ses petites lunettes rectangulaires lui donnent un air sévère. Son corps anguleux la fait ressembler à une araignée. Mais une araignée un peu flippante, quand même. Je ne l'ai jamais vue sans son tailleur noir. Peut être qu'elle en a des tonnes comme ça, dans son armoire, tous les mêmes. Je n'ose même pas l'imaginer avec autre chose sur le dos. Personnellement, je suis sûre qu'elle dort avec.
Effectivement. Je suis orpheline. Je n'ai jamais vraiment su d'où je sortais. Toujours est-il que j'ai atterri ici. On a toujours refusé de me dire qui avait pris en charge mon éducation. Souvent, je songe amèrement qu'il n'aurait pas dû prendre cette peine, qui que ce fût.
C'est ce à quoi ce songe, ce matin, en tachant de coiffer ma tignasse brune, en vain. Ça fait des années qu'on essaye de discipliner mes cheveux, en vain. Encore quelque chose chez moi qui met la vieille Wilson sur les nerfs. Finalement, je crois que je vais les laisser comme ça, et tant pis si ça plaît pas à la directrice.
Arriver à son bureau elle m'indique du doigt la salle d'à côté .
Quand j'entre a l'intérieur il y avait au moins 20 table j'ai pas eu l'idée de compter et un punition énorme qui m'attendait au tableau !
Je ne me suis pas rendu compte tous de suite mais un gros bonhomme tous rond et avec une grosse barbe que je n'avait encore jamais vu à l'orphelinat m'attendait près du tableau .
« Julia je te présente Gérard , il m'aide à mon devoir de directrice .
«Gérard je te présente Julia une Orpheline de longue date et qui plus ai mériterais une bonne punition.
«Bien je vais te laisser avec Gérard , Julia . A dans 2h.
La directrice sorti me laissant avec Gérard qui pris aussitôt un règle .
«La directrice a dit que je pouvait faire ce que je voulait de toi ...
Tu me copiera 555 fois cette phrase ;
Je ne jette plus la nourriture sur mes camarade de table car l'établissement qui a eu la bonté de me recueillir n a pas besoin que l'on gaspille la nourriture ; par conséquence je ne gaspillerais plus la nourriture à l'avenir.
Ma bouche resta ouverte ! Jamais plus je ne recommencerais !
Jamais je n avait eu une telle punition .
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