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Image Histoires de Lady-kiwi
Voici toutes les histoires de Lady-kiwi.





Lia Svénty : Les Magiciens | Lady-kiwi | © Copyright


Chapitre 1 : La Découverte



Elle était là ; adosser contre l'arbre et somnolait. Une ombre se faufila derrière l'arbre.

- Hé ho, debout là dedans ! Hurla Bruno.

Lia se réveilla en sursaut.

- Mais... Ça ne va pas ! J'ai faillis faire une attaque !
- Tu aurais du voir ta tête, fit-il en riant.
- Oui ; rigole toujours. C'est une blague de très mauvais goût !

Elle s'éloigna vers la rivière ; boudante. Elle s'allongea dans l'herbe tendre et regarda le ciel. Bruno et elle se connaissent depuis tout petit... Depuis la maternelle et encore aujourd'hui ! Comme Lia est noire, Bruno l'aidait dans son combat contre les racistes : un allié précieux ! De vrais amis ; les meilleurs !

- Alors ; tu boudes toujours ? Fit-il penaud.

Elle s'assit.

- Non ; tu le sais bien !

Lia avait de beaux yeux marron et des cheveux crépus que souvent attachée en petites nattes ; tandis que Bruno lui avait des cheveux bruns et de magnifiques yeux verts. Ils patientèrent un instant puis Bruno brisa le silence :

- Bon ; on fait quoi maintenant ?
- Euh...Eh bien... On se pose des questions et on se répond sincèrement ; OK ?
- C'est d'accord !

Lia réfléchit un instant.

- Si tu devait faire un souhait ; qu'est ce que sa serait ?
- Oh ; pour ça il ne faut pas réfléchir ! Sa serait qu'on reste amis pour toujours ! Et toi ?
- Moi, ça serait pareil. Mais... j'en ai un autre ! Fit-elle mystérieuse.

Bruno réfléchit un instant ; en essayant de deviner ce que c’était.

- Alors, tu trouves ? Demanda t-elle.
- Non ; je donne ma langue au chat !

Lia se rapprocha de lui et chuchota à l'oreille :

- Se serait d'avoir... des pouvoirs !
- Oh! Fit-il étonné. Mais tu sais b...

Elle lui coupa la parole.

- Je sais ! Cela n'existe pas mais j'ai quand même le droit de rêver, non ?

- Oui ; tu as raison !

Une voix retentit ; c'était la mère de Bruno qui les appelaient pour rentrer. Ils accoururent vers elle ; elle les attendait sur le seuil de la porte. Elle était grande avec des cheveux bruns ondulée magnifiques et des yeux bleue couleur saphir. Bruno tenait surement ses beaux yeux verts de son père ! Celui-là malheureusement est mort d'un accident de la route tandis que celui de Lia a disparu mystérieusement.

- M’man est-ce que Lia peut manger à la maison ?

Elle acquiesça :

- Mais bien sûr ; pourquoi je refuserais ?

Elle la regarda tendrement.

- Je vais rajouter des couverts et après nous passerons à table !
- Après manger, on finira de visiter ma maison ! Glissa t-il à Lia.

Bruno et sa mère habitaient dans un manoir. Lia et lui n'avait jamais pu allait visiter toutes les pièces tant il y en a ! Ils mangèrent puis partirent pour leur petite escapade. Après être passer devant la chambre de Bruno, une dizaine portes après ils en découvrirent une dont l'encadrement est ornées de petits motifs sculptés d'elfes, de dragons et autre. Tout droit sortit des contes de fées ! Lia eu un pressentiment.

- Tu crois qu'on peut entrer ?

- Mmmh... Je ne sais pas mais cet endroit me donne la chair de poule ; je fais demi-tour !

A ce moment même Lia tourna la poignée et la porte s'ouvrit dans un grincement terrible ; Bruno frissonna. Elle entra ; la pièce était sombre mais on pouvait apercevoir quelques petites choses. La lumière s'alluma.

- Arrête de me surprendre comme ça, fit Lia.

Bruno leva les yeux en l'air.

- Désolé. Et puis, on voit mieux avec la lumière ; non ? Fit-il avec un sourire malin.

Dans la salle, il y avait une bibliothèque poussiéreuse et un bureau plein de papiers. Lia s'approcha de la bibliothèque et pris un livre. Sur la couverture, on pouvait lire « transformus animalus » ; elle ouvrait les yeux de plus en plus au fur et a mesure qu'elle feuilletais le livre. Elle se planta sous le nez de Bruno en pointant du doigt le livre qu'elle venait de feuilleter.

- Tu me dit que tu ne crois pas à la magie et toi tu a une bibliothèque remplie de livre de sorts !

Bruno bafouilla :

- Je... Je n'en sais rien moi ! Je ne suis jamais entrer dans cette pièce de toute façon et puis...

Il s'arrêta net ; il avait aperçu quelque chose par la fenêtre. Lia suivit son regard ; ils avaient vu un garçon entrer dans une sorte de tourbillon !

- Je pense qu'il vaudrait mieux sortir de cette pièce ; je crois que le ciel m'est tombé sur la tête ! Fit Bruno ahuris.
- Dans ce cas nous sommes deux ! Filons vite d'ici…

Ils partirent en courant laissant la porte grande ouverte. Ils allèrent au salon ; la mère de Lia était déjà là. Elle lui ressemblait peu ; mais était très mère poule depuis que son mari et mort. Elle était grande avec des cheveux bouclés et des yeux couleur péridot.

- Te voilà enfin ! S'exclama t-elle. Tu aurais du me prévenir que tu mangé chez Bruno.
- ... Désolée maman !

Elle se tourna vers la mère de Bruno.

- Merci encore de l'avoir inviter Anne !
- Oh ; ce n'est rien ! C'est comme si vous fessiez partis de la famille!

Elle sourit et ouvrit la porte.

- Merci encore ; à demain Bruno ! Lança Lia.

Elles rentrèrent dans leur villa. Lia repensa à cette pièce si mystérieuse ; et le garçon qui entrer dans le tourbillon ! Il fallait à tout pris quelle en reparle avec Bruno ! La nuit tomba ; elle s'endormit… Un rayon de soleil vint la réveiller. Lia descendit à l'étage. Bizarre ; d'habitude elle se réveiller a cause du bruit des bols ou par la bonne odeur de chocolat ou des tartines et là... rien ! Elle commença à chercher sa mère ; en passant du hall d'entrée au salon ; des chambres au garage ; toutes les pièces pour n’y trouver…personne !

- Où est ce qu'elle peut être, pensa t-elle. Elle prit un petit déjeuner rapide ; s'habilla et fila chez Bruno. Celui-là l’attendait déjà.
- Salut ! Ça va ? Lança t-il.
- Moi sa va mais ; ma mère je ne la trouve nulle part !
- T'inquiète pas ; ma mère est venue la chercher pour lui parler !
- Ah, je vois !

Elle réfléchit un instant.

- Et ; où se trouvent t-elles ?
- Euh... Dans le bureau de ma mère.

Lia le prit par le bras et l'entraîna à l'intérieur. Arriver à quelques pas de la porte du bureau, ils marchèrent sur la pointe des pieds. Bruno était mal à l'aise.

- Je crois pas que ce soit une bonne idée ! Chuchota t-il.

Elle se retourna vers lui :

- Et moi ; je te dit que si ! C'est bien cette porte ?
- Euh...non ! Fit-il en essayant de mentir.
- Alors ça veut dire que c'est elle ! Allez colle ton oreille contre la porte ; j'ai le pressentiment qu'elles se parlent de choses très importantes.

L'épaisseur de la porte n'était pas très grande ; ils pouvaient entendre comme si ils étaient dans le bureau. La conversation allait commencer ; elles venaient à peine d’arriver.

- Tina, je crois que Lia et Bruno sont aller un peu trop loin !
- Pourquoi ?
- Ils ont découvert la salle des tourbillons !
- Oh, là là ! Ils ont du découvrir qu'ils sont... des magiciens...
- Je ne crois pas ; mais je pense qu'ils vont bientôt le découvrir.

Elles soupirèrent ; elles ne voulaient pas que leurs enfants se mettent en danger. Lia était tout exciter.

- Tu as entendu ça Bruno ? Fit-elle en chuchotant. Des magiciens ! On peut vraiment faire de la magie !

Bruno sourit jaune ; lui qui n'y croyait pas du tout ; c'était la cerise sur le gâteau. Lia remit son oreille contre la porte.

- Que va t-on faire maintenant s’ils découvrent la vérité ?
- Je n'sais pas, mais il faudra leur en parler avant qu'ils fassent n'importe quoi !

Lia se releva.

- Tu vas où ? Fit Bruno.
- Tu n'as qu’à me suivre et tu verras.

Il n'avait pas vraiment le choix ; il la suivit... Jusqu'à la salle des tourbillons.

- Prends quelques livres et suis moi, fit Lia.

Il fit la moue : les livres étais aussi épais qu'une boîte de mouchoir. Ils pesaient assez lourd et en plus si il fallait en prendre plusieurs... Ils en prirent en tout une dizaine puis allèrent dehors.

- Il faudrait aller dans un endroit cacher.
- Pourquoi faire ?

Lia leva les yeux au ciel.

- Si nous sommes de vrais magiciens, je pense qu'on peux faire de la magie on va essayer et puis il devrait existait un monde où la magie existe ; non ?
- Pfff, je suis sûr que c'était une blague, dit-il pas sur de lui.

Ils se dirigèrent vers de grands buissons et s'assirent. Lia pris un livre et commenças à le feuilletais tandis que Bruno lui faisais semblant.

- Ecoute ça Bruno ; il existe un monde où la magie y est constante grâce a trois lunes : Crovax, Standox et Falix. Elles forment un triangle dans le ciel et tourne sur elle même pendant un an !

Il releva sa tête de son livre, étonné.
- Et... Comment elle s'appelle cette fameuse planète ?
- ... Le Monde de Magos ! C'est jolie comme nom je trouve.

Il fit une grimace :

- Mouais... Bof ! Moi je l'aurais plutôt appelé Le royaume de Spynich.

Lia le regarda dans les yeux avec un air de malice.

- Sa veux dire que tu y crois ! Tu y crois !
- Mais...euh...non ! Protesta t-il. Non, ce n’est pas vrai ! Et puis... On a aucune preuve que sa existe la magie.

Lia arrêta de l'embêter ; il avait raison ; il lui fallait une preuve pour lui clouer le bec. Elle feuilleta le livre de nouveau.

- Sa sert a rien de chercher, fit Bruno. C'était une blague qu'elles ont voulu nous faire.

Elle s'arrêta à une page et sourit a Bruno.

- C'est se qu'on va voir !

Elle le regarda avec un air de défi.

- Essaye toujours, lui répondit-il.

Lia se concentra puis dit :

- Transformus papilio.

Il ne se passa rien. Bruno sentait le fou rire monté en lui. Il reprit son calme.

- Et euh...il se passe quoi après ? Fit-il d'un ton moqueur.
- Je ne sais pas; pourtant...

Elle replongea son nez dans le livre.

- J'ai trouvé.

Elle se reconcentra et dit :

- Transformus papilio va.

Bruno n'eut pas le temps de comprendre ; des ailes de papillons apparu dans son dos et sans le vouloir; il se mit a voler a une dizaine de mètres du sol !
- Oh non, gémit Lia. Qu'est-ce que j'ai fait ?

Bruno brayait dans le ciel.

-BON SANG LIA ; FAIT MOI DESCENDRE ! JE T'EN SUPPLIE !

Lia replongea dans son livre pour trouver la solution... Mais n'y trouva rien. Bruno criai toujours dans le ciel ; il n'arrêter pas de gesticuler.

- A L'AIDE LIA, VITE !
- C’est que je n’ai rien trouvé…

Pendant ce temps, Tina aperçu son fils voler dans le ciel ; elle accourut suivit de la mère de Lia.

- Aïe aïe, aïe, pensa Lia. Sa sent le roussit.

Tina incanta ; ce qui fit disparaître les ailes de papillons. Bruno entama une descente vertigineuse quand sa mère fit apparaître un tapis... volant ! Dès qu'il fut au sol ; sa mère accourut vers lui.

- Mais sa ne va pas ; tu...tu… aurais pu te tuer !

Lia s'avança.

- C'est...c'est à cause de moi ; tout et de ma faute, fit-elle avec une petite voix.

Sa mère se tourna vers elle.

- Qu...quoi ? Fit-elle a moitié éberluée. Et, comment a tu fait ?
- Et bien, j'ai dit « transformus papi...».

Sa mère lui plaqua sa main contre la bouche.

- Ne dit plus rien ! Sinon sa pourrait recommencer.

Les deux mères se regardèrent un moment.

- Bon, rentrons pour parler de tout ça, fit Anne.
- D'accord maman, mais... intervint Bruno. On doit récupéré quelques petites choses avant.

Lui et Lia retournèrent a leur cachettes et revinrent avec une dizaines de livres.

- Ah ; je vois ! Vous n'avez rien eu d'autre à faire, fit Tina mécontente. Bon, rentrons !

Ils rentrèrent et s'installèrent dans le salon.

- Bon, pour commencer vous allez TOUT nous raconter et depuis le début et bien sûr en détails.

Ils leur racontèrent la découverte de la salle au tourbillon ; la mère de Lia pas chez elle ; la discussion et le sort lancer sur Bruno.

- Je crois que vous en savez un peu trop ; nous allons en discuter avec Tina et...

Bruno l'interrompit.

- C'est...c'est vrai qu'on est des… magiciens ?
- Oui, mais nous voulions vous cachez cela pour vous mettre en sécurité mais vous l'avez découvert ! Et puis...

Lia lui coupa la parole.

- Est-ce qu'il faudra allez à Magos ?
- Je pense mais ; nous en discuterons plus tard !

Lia et Bruno sortirent de la salle ; il en avez assez dit et entendu.

- Bon, on fait quoi maintenant ? Fit Bruno.

Lia réfléchit un instant puis emmena Bruno dans la salle des tourbillons.

- Mais qu'est-ce qu'on fait encore ici ! Protesta t-il.
- Et bien ; comme nous irons peut être à Magos ; il vaudrait mieux en apprendre un peu plus sur cette planète, non?
- Non, surement pas, firent des voix derrière eux.

Ils se retournèrent ; c'était leur mère.

- Mais...Pourquoi ?
- Vous devez la découvrir par vous même ; allez, mettez vous au centre du tapis.

Ils le firent puis Anne incanta :

- Par le Voyagus tableau, anime-toi.

Le tableau qu'il y avait devant eux s'anima ; un visage apparut puis des mains se rajoutèrent. - Bonjour, Dame Anne ! Cela fait des lustres que vous ne m'avez point utiliser, fit-il en s'étirant. Où voudriez vous allez ?

- A Gayama.
- C'est parti !

Un tourbillon remplaça le tapis qui était sous leur pieds ; ils tombèrent dedans et se retrouvèrent dans une salle toute blanche au finissions dorées ; il y avait là un pupitre tout en or ! Les murs étaient décorés avec des cadres parlants.

- Bienvenue Damoiselle, fit un tableau à Lia.
- Bienvenue Jeune Homme, continua un autre.

Pendant que les deux amis admiraient ces merveilles, un lutin apparut sur le pupitre - il a failli tomber à deux reprises du tabouret. Il était habillé d'un costume rouge au finissions dorés avec un chapeau assortit. Il semblait chercher quelque chose.

- Mes lunettes. Où sont mes lunettes, marmonna t-il.

Il les chercha puis a moitié agacé il dit :

- Retrouvus, retrouve moi ça retrouvass et maintenant.

Des lunettes sortit de nulle part vinrent se poser maladroitement sur son nez.

- Bienvenue mesdames et monsieur. Je me nomme Célino et j'enregistre toutes les personnes qui arrive à Magos ; plus précisément dans la région de Gayama ! Alors, à vous madame, fit-il en désignant Tina. Nom – prénom – âge – couleur – profession.
- Svénty – Tina - 31 ans – bleu jaune – magicihumaine (magicienne + humaine).
- Lybers – Anne - 33 ans – orange marron – magicihumaine.

C'était au tour de Lia.

- Svénty – Lia - 14 ans - euh...je...

Tina intervint.

- Ma fille n'as pas encore de couleur car elle n'est jamais venue ici ; idem pour ce jeune homme !

Célino les regarda puis demanda à Bruno de s'enregistrer.

- Bon, ils auront leur pendentif à Diastins. Il faudra impérativement les inscrire là bas.

Bruno essayer de retenir ce que disait Célino ; mais sans succès.

- Mais m'sieur ; c'est quoi le mot déjà Dia... Dia quoi ?
- Diastins, le corrigea t-il. Grande école de magiciens et magicienne. Là-bas on vous donnera un pendentif qui contiendra votre magie à l'état brut. Il faudra apprendre à la contrôler. Quand vous ferez de la magie, une flamme jaillit de vos mains. Bon, les formulaires sont remplis - enfin à moitié. Vous pouvez passez. Merci et à bientôt !

Célino s'inclina.

- Bon, çà a pris plus de temps que prévu, finit par dire Anne. Dépêchons nous. Par le Rapidus emmène-nous vite à Diastins !

Tout le petit monde fut téléporté devant un gigantesque château aux toits bleu ; l'entrée était gardée par deux gardes à huit bras. La porte était elle aussi vivante. Son encadrement était occupé par de petits motifs d'elfes et de fées qui faisaient tout le tour apparemment toute la journée ! De tant à autre, ils s'arrêtaient pour faire un signe au passant.

- Porte, ouvre-toi ! Fit Anne.

La porte s'ouvrit et ils entrèrent. Ils traversèrent un couloir puis une sorte de jardin central pour retourner dans un couloir. Les murs étaient décorés selon la saison d'ici leur expliqua Tina.

- Et... Il y a combien de saison ? Demanda Bruno.
- Il y en a 4 comme sur Terre : Flocis pour l'hiver, Fleurus pour le printemps, Aqua pour l'été et enfin Feuillus pour l'automne.

Bruno fit une grimace.

- Ils n'auraient pas pu trouver plus compliquer comme nom, pensa t-il. Et, on va où là ? Continua t-il.
- Nous allons devant la grande salle pour...

Lia s'arrêta pour regarder le beau paysage que montraient les murs tandis que sa mère, Anne et Bruno s'éloignaient. Les murs projetaient une prairie remplie de fleurs et de fées. Le tout était illuminé par un beau coucher de soleil. Soudain elle sentit une chose gluante montée sur sa jambe et elle se figea en tourna la tête vers le truc gluant.

- AAAAAHHH ! Hurla t-elle.

La chose était de couleur marron et avait plusieurs yeux et des dents aiguisés. Elle ressemblait à une limace ! Elle sentit que la « limace » enfonçait ses crocs dans sa jambe, de plus en plus profond. Elle s'effondra par terre. Comme par hasard, il n'y avait personne dans le couloir et elle continuait de crier en donnant des coups de poings dans la bête. Soudain, une flèche vint se planter dans la chose et elle se désintégra sous les yeux ébahit de Lia. Bruno accourut, essoufflé.

- Ça... ça va ? Je t'ai entendu crier… qu'est ce qui c'est passer ?

Il reprit son souffle tandis que Lia lui expliquer tout.

- ... Et puis après il y a eu une flèche sortit de nulle part qui est venu désintégrer la bête.
- Et... c'était quoi ce truc comme tu dit ?
- Je...je n'sais pas !
- C'était une sloupss, fit une voix derrière eux.

Ils se retournèrent le couloir était vide et il n'y avait que des meubles et des arbres !

- Une quoi ? Fit Bruno étonné.
- Une sloupss : une sorte de limace mutante à dents acérée. Si je ne serai pas intervenue, tu serais déjà morte. Normalement elles sont lâchées la nuit mais celle-ci a dû échappée a la surveillance des gardes.

Lia frissonna : elle ne s'imaginait pas du tout morte.

- Et...euh. Merci, merci de m'avoir sauvé ! Mais comment pourrais-je te remercier si je ne sais pas qui tu es ?!
- Pas question que vous me remercier : un sourire sera tout. Je serais là pour vous sortir de l'embarras Demoiselle.

Lia n'eut pas le temps de protester ; une silhouette bondit d'un arbre et partis sans qu'elle puisse le voir.

- Allez Lia, dit Bruno en la tira par le bras. Dépêche-toi on va être en retard !

Lia était plongée dans ses pensées.

- Mais en retard à quoi ?
- A la remise des classes !

Ce fut une course pour arriver devant une grande porte ; leur mère les attendait déjà.

- Mais où étiez vous passez ? fit Tina.

Elle regarda la jambe de sa fille ; la sloupss avait laissé de petites traces.

- Oh, je vois, dit-elle examina de plus près, la prochaine fois tu nous suivra : regarde moi ça.

Beaucoup de personnes attendaient devant la grande salle. Ils avaient des capes. Ils y en avaient avec des capes bleues, d'autre avec des capes marron, vert sombre ou encore violet foncé ! Ils se rangeait en rang puis devait les faire bruler dans une cuve d'où ressortait une flamme violette. Ceux qui n’avaient pas de capes devaient se mettre de côté. Ils ne furent que deux : Bruno et Lia. Dès que la dernière personne est brulé sa cape ; la porte se referma.
- Bon sang, ils auraient put attendre, s'écria Anne.
- Désolée, fit la porte.

La porte s'ouvrit ; ils entrèrent.





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