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Vous êtes sur la discussion [Jeu] La plus Belle Histoire ..
186 reponses - 1359 vues
modifié il y a 11 ans
Bonsoir,tout l'monde.J'ai crée ce jeu pour tester l'âme d'écivain qui est en vous.
Les règles sont simples :
- Chaque Webmaster devra écrire une histoire en la présentant ainsi :
Titre :
Par qui :
Date :
Résumé :
Histoire :
N'écrivez pas non plus un roman !!
Juste entre 40/70 lignes,ça suffira ..
A partir de la 5ième histoire,je classerais l'Histoire qui a plus aux plus grands nombres,à la plus décevante.
A vos claviers !:"3
Voici les réponses de cette discussion : (page 3/5)
Titre : Âme amoureuse.
Date : Un jour où je m'étais rendue compte que j'étais follement amoureuse de quelqu'un ..
Par qui : Moi, une folle.
Résumé : ( L'histoire ressemble vraiment à ma vie vue que je me suis inspirée de ça.Sauf les prénoms,les lieux etc .. ) Mayu est une adolescente,comme tout autre.Elle a une meilleure amie : Keita,un journal Intime à elle,un téléphone ..tout.Pourtant,un jour,il se passa quelque chose dont elle ne se doutais absolument pas.
Histoire |
"Mayu..Mayu..Mayu,s'il te plait.Reviens avec moi.Tu sais que je t'aime,Mayu.Pourquoi m'as-tu trahi ? Je t'aimait tellement, moi .."
Après ces phrases,je me réveilla en sursaut,voyant ma chambre toute propre,et tout à sa place.
Mon ordinateur encore allumé sur la page "Facebook"..
Et aussi,l'album photos de 6eme encore ouvert sur la page où Keita,ma meilleure amie & moi mangions des pastèques.
Rien n'avait bougé.
Alors,mettant mes grosses pantoufles tête d'éléphant,je me suis levais,et est allée dans le salon,à l'étage du dessous.
Ma mère : Usagi & ma petite sœur en 5ème : Mei,était là,en train de siroter un thé autour de la table.
Je bu d'un trait une bouteille de lait presque finit,qui trôner sur un plan de travail.
Mei me vit,et me salua.Ma mère se retourna rapidement,puis me dévisagea.
- Tu as fait une party dans ton lit .. ou quoi ? me demande t-elle,continuant de me regarder,de haut en bas.
Je ne fit que hausser les épaules,et suis remontée pour aller vers la douche.
Mon uniforme de lycéenne était déjà là,sur la machine à laver.
Je le laissa là,fit couler l'eau de la baignoire et me déshabilla,pour plonger ensuite dedans.
- Ҫa fait du bien .. Un peu d'eau fraîche .. par ce temps de ouf,fit-je en me frottant grâce à mon gant remplie de savon "Cadum".
Soudainement,l'eau se referma toute seule,mais j'avait déjà finit..
Là,je repensa à la télécommande automatique sui ferme l'eau que maman avait acheter et gardé,au cas-où on reste plus de 20 minutes sous l'eau.
Je sortit,m'habilla,pris mon bentô et mon sac puis fonça droit vers l'école.
En milieu de chemin,Keita m'attendait collé au mur du Fast-Food.
- Mayu ! T'en as mis du temps.
- Désolée.
Nous marchâmes ensemble,sur le peu de chemin restant.
Dans la classe,tout le monde riait.
Les garçons étaient en groupe,comme d'habitude.
Mais cette fois,je sentais une atmosphère différente.
Alors,je prôclama :
- Qu'est-ce qu'il se passe ici ?!!
Un garçon me répondit alors :
- Y'a un nouveau qui arrive.Et d'après les filles,il est super canon !!
- Et vous hurlez pour un nouveau ? C'est pas inhabituel.
- Mais c'est inhabituel que ce soit carrément le profil d'un mannequin !! Et dans notre classe en plus !!!
Là,je sentait mon cœur battre très fort.
A cet instant..un élève entra.
Tout le monde le regarda,et je fit de même.
- S-sô...? fit-je,étonnée.
Je connaissais ce garçon.
Etant enfant,nous jouions souvent ensemble.
Il m'avait reconnue aussi :
- Mayu ..? Qu'est-ce que ..?!
Titre : Les 4 dieux (j'ai changé le nom è_é
Par qui : Moi :3 (etoile de rose (mon officiel principale) Alice ou jupiter sont mes pseudo)
Date : pfff je sais plus moi !
Résumé : Dans la grande forêt de Moonacre ou vivent 4 peuple une éruption surprise à decimée toutes les races : les nymphâmes, les humains, les gnomes, et les centaures
Il croit dure comme fer aux quatres dieux : Nihaïne déesse du printemps Anahal dieu de l’été, Adahrïne dieux de l’automne, Soahanime déesse de l’hiver
1
L’éveil
Dans les profondeurs de la nuit noire une gorgée d’eau salée me brûla la gorge j’éclatât en sanglot j’étais seule j’avais froid et pourtant un feu me brulait de l’intérieur.
Je me réveillai en sursaut, tremblante encore de mon cauchemar, j’avais 11 ans aujourd’hui, je m’appelle Nihala mais c’est aujourd’hui que je vais voire si j’ai la mutation que certains des humains exilés ont, j’ai une jumelle donc peut-être avons nous quelque chose en communs ?
Je ne sais pas je me levas alors de mon lit de feuille et de mousse et sortit de ma chambre :
« Joyeux anniversaire ! »
Ma famille avait hurlé ces mots, je souris bien malgré moi
« Chut vous allez réveiller tous le voisinage !
-Désolé, bon pas trop stressée » me questionna Adhonna ma sœur jumelle
«Si quand même, bonne anniversaire, et toi ça va pas stresser ?
-Si mais je brûle d’impatience de savoir ! en plus les rites sont secrets et ça me fait un peu peur
-Oui à moi aussi !
-Bon les filles il faut y aller justement vous n’aimeriez pas être en retard pour votre test ? » Cette fois c’était Sinaïh mon père qui avait parlé, il avait les cheveux blond très foncé comme les nôtres, il avait une musculature parfaite ses yeux était noire d’encre le regard chaleureux.
-Bien sûr que nom » rétorquai je
« Alors allons-y » là c’est Soanarine, ma mère qui avait enfin parlé qu’elle était belle maman ! Ses longs cheveux roux de feux qui retombaient en cascade sur ses épaules et ses yeux bleus-gris de glace entouré d’un cercle noire, Adhonna et moi nous avions les même au détail près, son sourire éclatait de lumière
Pas étonnant qu’avec mon père ils avaient l’air d’avoir vingt ans ! Je lança :
« Allons-y ! »
Et sur ceux nous sortirent de la maison, nous traversâmes le centre du camp et poussèrent la porte du test j’eu peur, qu’est-ce qui va se passer je devrais faire quoi ? Les questions se bousculèrent dans mon esprit quand on me tiras de ma rêverie, un homme taillé comme un piquet les jambes longues et fines, le visage en pointe, cet homme sec ne plaisait pas, sa voix claqua :
« Je pense que nous avons la les deux sœurs jumelles Nihala et Adhonna je me trompe ?
-Non monsieur vous vous trompez pas » Prenant mon courage à deux mains j’osé lui parler car, il faut l’avouer, cet homme me faisait un peu peur, faisant comme si je n’existais pas il dit à mon père :
« Alors nous allons procéder à l’évaluation » il sifflait ces mots, je déglutis. Mon père nous pris par l’épaule « On vous laisse » Maman nous pris dans ses bras et dis « Bonne matinée les filles » et fis un bisou sur le front de chacune de nous et ils s’en allèrent, un poids s’installas dans ma poitrine, on aurait ensuite dit que cette homme prenez conscience qu’on n’était pas sourde :
« Alors mesdemoiselles, je m’appelle Cronach, nous allons faire le premier test, suivait moi » je n’avais vraiment pas envie de le suivre mais je ne sais pas quel miracle j’avançai et le suivis il nous emmena dans une pièce où il y avait un tube de verre où trois personnes grand maximum pouvait y entrer, une fente s’y créa il nous dit :
« Ici entrer mesdemoiselles.» Je le fis et à peine nous étions entrer la fente se referma sur nous, Il nous informa qui allé nous envoyé plusieurs ondes produites par des émetteurs, destinées à nous faires révélées nos pouvoirs, la première fut une assourdissante plainte aigu come un ultrason amplifié je me boucha de suite les oreilles mais rien à faire cela me provoqua une grande douleur et je me tordis, ma sœur était de même et c’était un vrai supplice de nous voire comme ça toutes les deux, ensuite la plainte se tut quelque instant mais juste après une décharge m’envahit le corps et quelques instant après ça ce finissait. Je pense que ce fut des heures et des heures après que Adhonna eut une réaction étrange, j’avais l’impression que comme dans mon rêve un feu ardent me dévorais de l’intérieur quand soudain Adhonna se releva et droite elle le va les mains, ferma, les yeux et congela les émetteurs sans les toucher, Cronach ouvris la fente et s’exclama :
« Eh bien, elle à ta sœur des pouvoirs ! Vas-y sors » elle s’exécutât, et Cronach referma aussitôt la fente je me retrouvais donc encore seule.
Pas de commentaires sur mon histoire ? :'{
Alice
Oops,désolé,j'étais tellement à fond dans la mienne que j'ai pas calculé les autres :/.
Donc,vos histoires sont tellement bien que je sens que je vais perdre,parce que c'est l'heure que Pouiinie affiche les résultats,non :o ?!
- Akira
Pit-être
Désolé, j'étais assez occupée ( My godesh,c'et quoi ces histoires ?! J'ai mis hyper longtemps à tout lire,mais je regrette pas ^^ ).
*Eteind les lumières,allume les projecteurs,branche son micro',roulement de tambour*
HUM,HUM.
Voici enfin venu le moment du CLASSEMENT ! Je commence par les 3 premiers,et les autres ensuite. ( Les rageurs,jaloux,pas contents,oust ! )
Première Place : "Akira" avec son histoire - Âme amoureuse. ( J'ai faillit pleurée pour le début. )
Deuxième Place : "Etoile de rose" avec son histoire - Les 4 Dieux & "Camilia :)" avec son histoire - Secret Des Anges.
Troisième Place : ....MOI ! Non, je plaisante ^^."Soraya" avec son histoire - Sajiko no keijitsu e.
Voilà,voidà. ^^.
Titre : Prisoner of love.
Date : HUM...Qui se souviendrais de ça ?!!
Par qui : A votre avis,par moi,la grande Prêtresse ! ( Rigole. )
Résumé : Mélodie est née avec un handicap : elle ne peux pas bouger correctement ses parties du corps.Un jour,elle tomba complètement amoureuse d'un violoniste professionnel qui commença à peine de passer à la télé.
Elle passa alors,pour être avec son âme sœur,une audition pour l'internat de musique où il réside.
Le hasard fit que notre héroïne se retrouva dans la chambre de la petite amie de son idole ..
Histoire |
"Je me souviendrais toujours de ce jour magique.
Un 14 juin,le jour de l'anniversaire de ma sœur cadette.
Je t'ai vue à la télé,tel une princesse voyant son chevalier sur son grand cheval blanc.
Tes gestes étaient parfaits,et le son de ton violon apaisant.
Mon cœur battait la chamade,lorsque je voyait ton regard.
Puis le spectacle se termina,et l'émission aussi.
Je me rendis compte peu après que j'étais .. amoureuse.
Alors que je ne te connaissais pas,je voulais te voir.
J'avais vraiment envie de te revoir.
J'étais prête à tout abandonner pour ça.
Peu importe que je soit malade ou pas,je devais m'inscrire dans ton internat..."
- Mélodie ? MELODIE ? Oh,tu m'écoutes là ?!
J'entendit,encore faiblement dans mes songes,une voix hurlant mon nom.
Elle le répéta sans cesse,puis au bout de la cinquième fois au moins,je me réveilla.
- Désolé,je me suis encore endormit ... fit-je,baissant ma tête.
- T'inquiète ! Allez,on descend.On est déjà arrivé à l'internat "Saint-Marco" !
L'internat "Saint-Marco" ..C'est ici que se trouve celui qui m'a volé mon cœur.
Lorsque je ne fit qu'un pas vers la cour de l'Academy,je sentit ma gorge se serrer,et ma salive devenir amère.
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Suite plus tard.
OUi je suis a la deuxième place
*est hyper contente et tellement contente qu'elle poste encore un chapitre*
Titre : Les 4 dieux
Par qui : Moi :(etoile de rose (mon officiel principale) Alice ou jupiter sont mes pseudo) (je remet)
Date : Euh no coment x)
Résumé : Dans la grande forêt de Moonacre ou vivent 4 peuple une éruption surprise à decimée toutes les races : les nymphâmes, les humains, les gnomes, et les centaures
Il croit dure comme fer aux quatres dieux : Nihaïne déesse du printemps Anahal dieu de l’été, Adahrïne dieux de l’automne, Soahanime déesse de l’hiver
2
Découverte
Après des centaines d’essai Cronach dit : « C’est le dernier Nihala si il ne se produit rien tu n’as donc pas de pouvoirs »
De peur de décevoir mes parents qui eux en ont, je me tordis les doigts quand soudain il lança le dernier assaut l’air était irrespirable ! Je ne bougeai pas, e ne pris connaissance quand une onde respirable et chaude me tira de ma torpeur je rouvris les je le Peut-être en tout cas qu’elle fut ma surprise quand je découvris dans le tube de verre des plantes collé aux parois ! Mais ma stupeur fut encore plus grande quand je compris que cela venait de moi ! En effet sur mes mains qui tombait le long de mon corps des tiges, parfois fines, parfois plus épaisse était attachés a mes mains et dessinait de fines arabesques, j’ouvris de grand yeux ronds, Cronach pris la parole :
« Bravo, je n’ai jamais vue un pouvoir aussi surprenant et puissant en effet il est très rare qu’une mutation soit aussi proche de la nature, tellement proche qu’on peut la créer, intéressant, très intéressant …
-Excusez-moi mais qu’est-ce qui est très intéressant ?
-Il est très rare d’avoir des mutations aussi proche de la nature »
Après avoir ouvert le tube Cronach me dit de sortir, je ne fis pas prier ! Je retrouvas ma sœur encore stupéfaite elle me dit « Waouh » seulement « Waouh » Arrivé à l’entrée papa et maman nous attendais Ils nous demandèrent comment ça c’était passé nous leur répondirent franchement et leur conta touts les tests affreux ils hochèrent la tête et la voix grinçante de Cronach retentit en écho :
« J’aimerais vous parlez un instant - il nous regarda et ajouta- seul à seul »
Mes parents approuvèrent et nous dirent d’aller rentrer à la maison et de nous distraire en les attendant, Adhonna et moi nous hochèrent la tête et partirent, nous étions si fusionnels elle et moi comme deux pièce d’un puzzle on s’entendait parfaitement on se disputait jamais, perdue dans mes pensées je ne vis même pas qu’on était arrivée et me cogna dans le magma refroidis, cette ténébreuse nuit je n’étais pas née et mes parents eux l’étaient, ils ne nous ont jamais raconté cette nuit là quand tous c’est écroulés, ou plutôt carbonisés, je me poussa ouvris la porte et entra, Adhonna et moi nous nous affalâmes toutes deux dans le fauteuil le plus proche et commençâmes à discuté de cette matinée de douleur où avions découvert nous mutations, j’essaya donc mon pouvoir en pensant très fort aux fleurs de lys et fermant les yeux essaya d’activer mon pouvoir, Adhonna aussi essayas on y arriva pas tout de suite mais j’arrivais, au bout, d’un moment à faire le bourgeon de la fleur souhaité et Adhonna lui donnait des lueurs scintillé de glace, c’était franchement beau à voire !
Nous étions entrain de nous entraînez alors que papa et maman entrèrent ils furent très (très très) surpris de voir nos mutations aussi en avance :
« Sinaïh regarde !
-J’ai vue, j’aie vue »
Je ne comprenais pas qu’est-ce qui les étonnés autant. Quand enfin ils nous expliquèrent que c’était un prodigue que nous ayons nos mutations aussi développées (Ah bon ?), je voulus savoir pourquoi Cronach les avaient retenus, pour seule réponse ils nous contèrent leur entrevue avec Cronach :
« Les mutations de vos filles sont proprement extraordinaires il faut mettre tout de suite en place leur initiation.
-Qu’ont elles de si différentes ? –avait demandés mes parents-
-Elles sont si puissante que j’eu cru voire Douchka et Malarline les jumelles disparues,
Soanine eu un haut-le-cœur : « Celles qui pouvaient transmettre leur pensée entre elles ?
-En effet, il faudrait qu’elles reviennent, je parle bien entendue de vos filles, peut-être ont-elles la même mutation ?
« Et voilà … »
Je ne savais plus quoi penser, milles questions tourbillonnait dans ma tête, milles idées jaillissaient à la seconde et disparaissais aussitôt, Devais-je commencer l’initiation ? Et d’abord qu’elle était elle ? Et en plus d’où venait ces mutations ? Qui était Douchka et Malarline ? Je voyais aussi ma sœur qui paniquait, elle en savait plus ? Encore une autre question, et mes parents qui ce taisait, fermés :
« MAIS VOUS ALLEZ ME DIRE C’EST QUOI LE PROBLEME ! VOUS FAITES UNE TÊTE COMME SI ON ALLAIS BIENTÔT MOURIR MOI ET ADHONNA !»
J’avais hurlé ces mots et ça faisais du bien, j’avais explosé je m’étais vidé, après quelque minutes de silences rien avait bougé a part l’expression de mes parents, surpris, la bouche ouverte,
« MAIS PARLEZ ! JE VAIS DEVENIR DINGUE SI CA CONTINUE ! »
Enfin mon père déclara comme si il allé nous dire qu’on été atteintes d’une maladie incurable :
« Vous devez suivre l’Initiation.
-Et ?
-L’initiation est dangereuse, même très dangereuse normalement vous devez attendre encore vos 13 ans mais Cronach …
-MAIS ON SE FICHE DE CE SATANEE BOUT DE BOIS QUI NOUS FAIS SOUFFRIR TU CROIS QUE CA A ETE BEAU DE VOIRE MA SŒUR SOUFFRIR HEIN ! A CAUSE DE CE SAL PIQUET DEFRAICHIS ! »
Ce cri surpris tout le monde sauf moi, je le savais je connaissais ma sœur, elle pleurait de rage et de souffrance elle ces cauchemars comme le mien l’hantait chaque nuit mais elle, elle voyait la destruction du camp les morts, les cris, les pleurs, elle se retenait de jours en jours et je le savais, et la elle lâchait tout.
Alice
MON DIEU MAIS TU ES ECRIVAIN OU QUOI ?!! Sublime !! Mets encore un chapitre !!
Bah heu je me débrouille bien apparemment (
) vue que je fais le 4 eme chapitre j’attends les résultats et je pose l'autre et j'aurais fini le 4emme au prochain et le 5eme encore et ainsi de suite mais comme là c'est à l'état de brouillons j'ai corrigé le prologue si tu veux je te le met en mp
Allez les autres mettez vos histoires je remonte le topic !
Ouh ouh les autres akira, camilia pouinnie si vous êtes là tapez 3 coups et mettez vos histoires x)
Titre : Je n'ai pas encore trouvé. Je pense l'appeler " Elwings ".
Tome 1 : Mormegil et l'épée noire.
Par qui : Moi, Elenn.
Date : Il y a 3 semaines.
Résumé : Une guerre éclate entre 3 clans. Artémus recherche les 4 enfants magiques pour sauver le monde. Mais certains vont décevoir les mondes invisibles et vont combattre aux cotes de leur clan de prédilection. Lydie et Angélique rôdent malheureusement...
I : La nouvelle
Situé dans la plaine de Gondolf, le village vécu une de ses plus belles journées. En milieu d'après midi, dans une chaumière, naquit une petite fille. Elle était magnifique mais il y avait une chose qui la différenciait des autres bébés. Ses yeux étaient de deux couleurs. L'œil gauche portait la couleur pourpre, une couleur symbolisant la puissance selon les livres d'histoires de ce monde. Son œil droit, lui, portait la couleur de l'argent symbolisant l'ambition. Ses parents la prénommèrent Violine. Tous les gens du village venaient lui offrir des bijoux, des habits de coton et tout un tas d'objets de petite valeur. La mère de Violine était comblée de joie et son père entassait les présents dans des grands paniers d'osiers. La nuit tomba enfin sur le village et Violine s'endormit dans un berceau de bois sculpté avec son prénom a l'avant de celui-ci. Aline, sa mère, préparait une pâte avec la farine de leurs terres pendant que Guillaume, son époux, mangeait le repas du soir. Une marée de nuages naviguait dans le ciel noir de la nuit quand Aline et Guillaume entendirent frapper sur leur lourde porte de bois. Laissant son repas de côté, le père de Violine marcha jusqu'à la porte et tira la poignée usée. La porte s'ouvrit, laissant place à un vieil homme tenant une canne et portant une grande tunique. Il entra et s'assit sur une chaise. Aline le salua de la tête et se remit à travailler sa pâte. Guillaume s'assit lui aussi sur une chaise posée en face du vieil homme. Ils se regardèrent un petit moment. L'homme à la canne, comme les villageois le surnommait, prit la parole.
- Je suis venu vous annoncer une nouvelle qui ne vous plaira pas forcément, commença-t-il.
- Faites nous part de votre nouvelle, Maître Artémus, demanda Guillaume.
- Il s'agit de votre fille, continua-t-il. Avez-vous remarqué la couleur de ses yeux ?
- Bien sûr, tout le village est au courant. Nous en sommes même très fiers car elle se différencie des autres par ses yeux.
- Justement. Si ils sont comme cela, il y a une signification. Et c'est maintenant que j'interviens dans l'histoire. Il me semblait avoir lu quelque chose à propos des yeux de couleurs différentes. J'ai passé ma journée à lire des anciens parchemins et des livres d'histoires passées, répondit Artémus.
- Continuez s'il vous plaît.
- J'ai retrouvé dans un parchemin ce paragraphe.
Il sorti de sa poche un large parchemin poussiéreux. L'homme à la canne le déroula et cita un paragraphe du texte.
- L'enfant des vents aura la particularité d'avoir les yeux de deux couleurs, le pourpre et l'argent. Il grandira, tout comme les autres enfants magiques, plus vite que les humains. Toutes les deux semaines, cet enfant prendra un an.
Il replia le parchemin et regarda Guillaume dans les yeux. Entre temps, Aline s'était approchée et avait tout entendu. Artémus se leva et marcha de long en large en attendant que le couple digèrent l'information. Ils étaient choqués d'apprendre que leur bébé ne soit pas un comme tous les humains de ce monde. Après quelques minutes, Aline fut la première à parler. Guillaume était toujours en état de choc.
- Violine est donc l'enfant des vents, articula-t-elle avec peine.
- Ce qui veut donc dire qu'elle est une petite déesse, dit Artémus dont le visage n'affichait aucune émotion. J'irai communiquer cette nouvelle aux dieux demain matin. Ils décideront eux-mêmes de l'avenir de cette petite.
Il alla ensuite jusqu'à la porte et sortit dans la nuit complètement noire. Il fit apparaître dans le creux de sa main une bulle brillante comme le soleil au matin et se déplaça dans les rues et chemins sombres jusqu'à atteindre sa chaumière. Il alluma ensuite une chandelle de cire et la porta jusque dans la salle de bain. Artémus se déshabilla, s'installa dans le bain et y resta plusieurs minutes pour se détendre. Il se laissa bercer par l'eau chaude et s'endormit.
A l'autre bout du village, Guillaume et Aline n'en revenaient pas. Leur fille était une petite déesse et dans vingt semaines, elle aurait déjà dix ans ! Aline pleurait à chaudes larmes, elle en voulait à Artémus sans comprendre pourquoi. C'était lui qui avait annoncé cette nouvelle mais ce n'était pas lui qui avait décidé que leur fille soit l'enfant des vents. Guillaume essaya de la réconforter en lui glissant des mots doux. Mais cela n'eut aucun effet et Aline pleura de plus belle. A force de verser toutes les larmes de son corps, elle s'endormit. Guillaume la porta jusqu'à leur lit et la laissa se reposer. Il en voulait aux dieux sans vraiment de peine. Il était heureux pour sa fille mais il ne se faisait pas à l'idée de perdre son enfant au deuxième jour de sa vie. Guillaume décida d'aller voir sa petite fille. Elle dormait dans le berceau à poings fermés.
- Violine, ma douce et petite Violine...
Il la contempla pendant une bonne dizaine de minutes et partit se changer. Guillaume se coucha à coter d'Aline et s'endormit en rêvant du bonheur qu'il apporterai à sa fille.
La suite est mieux, selon moi. Si vous donné votre avis (qu'il soit bon ou mauvais), je vous donnerai un morceau de la suite.
J'adore. Je suis hypnotisée…
- Camilia
Titre : Le Secret des Anges
Tome 1 : La Chasseresse Obscrure
Par qui : Camilia (moi)
Date : Je ne sais plus.
Résumé : Une ange noire décide de devenir chasseresse, en rencontrant son pire cauchemar : son âme sœur…
HISTOIRE :
Jade jeta une de ses mèches noires, qui cachait un de ses yeux violet foncé, en arrière de son épaule. Elle avait de jolis yeux de la même couleur que les mauves, qui brillaient de cruauté et de haine envers les humains, mêlés d’une douce lueur argentée, comme ceux de tous les anges. Mais, pour bien souligner qu’elle était un ange noir et non un sympathique et gentil ange blanc, la lueur des yeux de Jade était plus foncée et plus diabolique que ceux des autres anges. Même ceux des autres anges noirs n’étaient pas si foncés. Mais Jade était un différente.
Les anges étaient des créatures ressemblantes aux humains, mais plus belles et possédaient des sens plus développés. Selon leur espèce, ils en possédaient des différents mais tous les anges étaient plus forts, plus agiles et plus rapides. Les anges blancs avaient des ailes de plumes identiques à celles d’un cygne, qui leur permettaient de voler, et ils voyaient les infrarouges et les ultrasviolets, entendaient les sons supersoniques. Ils pouvaient même parler à tous les animaux. Les anges noirs, quant à eux plus cruels, pouvaient se métamorphosé en des dangereuses espèces d’anges. Leurs ongles et leurs dents poussèrent, jusqu’à se transformer en griffes et en crocs. Ils avaient aussi des ailes, mais de chauves-souris, qui ne leur permettaient pourtant pas de voler très haut mais au moins très rapidement. Ils avaient aussi une meilleure vue dans l’obscurité qu’un humain et qu’un ange blanc. Dernièrement, les anges changés. Ils possédaient les mêmes pouvoirs que l’espèce qui l’avait changé mais plus faible. De toute manière, pour se transformer en ange changé, il fallait que l’ange et l’humain soit des âmes sœurs. Et il fallait aussi que les deux âmes sœurs s’échangent des larmes, comme le disait la tradition angélique. Des âmes sœurs ! se dit Jade, en y pensant. N’importe quoi !
Une main toucha l’épaule de la jeune fille. Une demoiselle de trois ans de plus qu’elle, aux cheveux roux flamboyants tels du feu et des amicaux et doux yeux verts mêlés d’argenté. Comme Jade, elle était un ange noir.
– Alors ? demanda-t-elle à sa jeune cousine. Est-ce que nous pouvons monté sur nos motos et filer, tu crois ?
Jade lança un regard à sa cousine, Rowan. Puis, elle considéra les autres anges noirs et les consulta d’un regard.
Finn, âgé de seize ans comme elle, avec ses cheveux noirs bouclés lui encadrant le visage et avec ses yeux marron. Iona, âgée de douze ans mais suivant déjà la bande, avec ses longs cheveux aubrun bouclés et avec ses yeux de biche noisette. Loïc, le frère jumeau de Finn, identique à part qu’il avait des yeux vert et non marron.
– Montez sur vos motos mais ne partez pas, ordonna Jade. Au fait, je crois que j’entends les sirènes de police !
– Est-ce qu’on fait comme d’habitude, Jade ? demanda la petite voix timide d’Iona. Et je monte avec qui ?
– Avec Rowan, décida la chef de la bande. D’ailleurs, Rowan, tu prendras le premier virage. Puis Finn. Loïc prendra le prochain. Je serai sûrement celle qu’ils poursuivront, j’irai donc par la cambrousse. Nous nous retrouvons chez Finn et Loïc. Vos parents ne sont pas à la maison, n’est-ce pas ? Sinon, ils vont tous nous tués.
Finn hocha la tête, avant de monter sur sa moto rouge flamboyante comme les cheveux de Rowan. Celle-ci lança un regard vers Iona, avant de l’attraper par la taille et de la déposer sur la selle de sa moto noire, la même que celle de Jade. Loïc, lui, attendait déjà depuis un quart d’heure sur sa moto, assis sur la selle, d’un air ennuyé.
– Iona, tiens-toi à moi, si tu ne préfères pas tomber, d’accord ? lança Rowan, par dessus les bruits de moteurs des trois motos qui venaient de se mettre en route. Et, Jade, promets-moi de faire attention à toi ! Et ne me fais pas le même coup que la semaine dernière ! ajouta-t-elle à l’intention de sa jeune cousine aux cheveux noirs.
– Qu’est-ce que j’y pouvais que je n’ai pas réussi à semer la police ? dit amèrement Jade, montant sur la moto.
Rowan ne put rien y ajouter, bien qu’elle lança un regard noir à Jade. Les sirènes de la police retentirent et se mêlèrent à la cantonnade des bruits des moteurs et des dérapements des roues sur la route, près de leur colline.
Jade en première pour avoir une distance assez grande entre elle et les policiers, Rowan à la suite à cause de la petite qu’elle portait au derrière. Finn et Loïc filaient derrière les filles, essayant parfois de dépasser l’ange noir au cheveux roux, qui les fit reculer d’un simple regard malveillant. Les filles anges noirs sont connues pour posséder les dons d’envoûter les hommes, s’ils soient humains ou non. Finn et Loïc ont toujours eu peur de moi et de Rowan, bien qu’ils ne retiennent pas la leçon, se dit Jade, en faisant apparaître ses crocs et en faisant pousser un peu ses griffes, avant de se retourner vers les garçons. Loïc eut du mal à ne pas perdre le contrôle de son volant et lança un regard noir vers Jade, qui lui répliqua par un grondement, ce qui le fit reculer et y rester.
Jade entendait le rire moqueur de Rowan, dans son dos, et se doutait que sa cousine lançait des regards hautains vers les deux jeunes hommes rester à l’arrière. Iona devait être tout aussi heureuse que les garçons aient pris peur des trois demoiselles aux yeux dangereux et argentés. Tant mieux s’ils ont tout aussi peur d’Iona, elle métrise bien ses pouvoirs et sera une fabuleuse main droite, un jour… quand j’en aurais besoin, bien sûr.
Sur cette pensée, elle entendit la moto de Rowan tourner et prendre un virage à droite. Menant vers Burdock, le village où habitaient les deux jeunes hommes de notre bande. Comme je m’en doutai, la police continua de nous poursuivre, nous et non Rowan et Iona, et Finn s’approcha un peu avec sa moto de la mienne. Il essayait depuis toujours de devenir mon bras droit, peut-être même plus. Jade ressentait quelque chose pour lui, mais pas ça.
– Es-tu sûre de ne pas vouloir que je reste près de toi, dans la cambrousse ? demanda le jeune homme, amical.
– J’emprunte le chemin de la cambrousse, tous les jours, et tu ne feras que me retarder ! répliqua Jade, un lueur glaçiale dans les yeux. Je connais mon chemin et aussi la technique pour me débarrasser des policiers !
– Euh… je comprends, oui. En tout cas, bonne chance, Jade ! lança-t-il, en entrant dans sa ruelle selon le plan.
Un regard haineux suffit le garçon de détaler sur sa moto, vers une ruelle de Burdock. Espèce d’andouille ! se dit-elle, en laissant échapper un grognement. Elle préférait réellement Loïc, par rapport à son frère, qui ne la laissait pas une seconde seule, après qu’il ne l’ai vue. Mais Finn était bien plus sympathique. Si je devais choisir entre Finn et Loïc, je choisirai qui, finalement ? se demanda-t-elle, sans se rendre compte que Loïc était parti.
Plus que moi, se dit-elle, en arrivant dans la cambrousse. Elle filait à toute vitesse à travers le champ de blé, entendant la voiture des policiers derrière elle. Ce jeu commençait à l’énerver, en réalité… Les voitures n’avaient jamais été rapides et, de plus en plus souvent, elle devait attendre longtemps pour que la police ne la rattrape. Et ensuite, il ne lui suffisait que de les assomer, si ils réussissaient à l’attraper - ce qui n’arrivait jamais. Autant repartir, si la voiture était restée coincée dans une petite flaque de boue avec sa roue, comme c’était d’habitude.
L’ange noir redémarra sa moto et traversa à toute vitesse les champs. Elle arriva rapidement à la ville et à un panneau de bois noté « Bienvenue à Burdock ! Bon séjour dans notre magnifique ville ! ». Les dernières paroles avaient été ajoutées sous l’ordre du maire, avec l’arrivée des touristes. Cette arrivée avait été causée par des mystérieux grafitis de cercles, comme ceux qui provenaient des « aliens ». Les aliens ! songea Jade. Ce sont des signes pour que les anges sachent quelles villes appartiennent à qui ! Au moins, je n’ai encore jamais croisé d’anges blancs. Hé oui, Burdock appartient aux anges noirs, à ma bande, à moi ! Cette pensée la fit frémir de joie. Burdock lui appartenait et ce signe, une dahlia noire, signifiait cela. La dahlia noire… la fleur de sa bande, que tous avaient peints sur leurs motos. Jade se rapella même que Loïc en avait dessiné une sur le panneau de bienvenue et que le maire croyait que les aliens allaient se rendre à Burdock ; elle se rappela que Iona avait pouffé de rire en voyant le maire hurlant que Burdock serait prêt ; elle se rappela que le maire les avaient vus, cachés dans leur ruelle, et qu’il avait appelé la police ; et elle se rappela qu’elle avait donné un coup derrière la tête, que Rowan lui en avait donné un, qu’elle avait donné un coup à sa cousine et que les deux filles s’étaient chamaillées pendant une heure dans le taxi. Tous les bons souvenirs… d’il y avait deux ans. Maintenant, Jade était plus âgée et avait plus de responsabilités. En comprenant ça, un soupir déçu mêlé de tristesse lui échappa.
Roulant dans les rues abandonnées de la ville, Jade arriva bientôt chez Finn et Loïc, dont ce premier l’attendait.
– Jade ! se mit-il soudain à hurler, ses cheveux noirs au vent. Attention, derrière toi ! Un chasseur d’anges !
Tournant la tête, la jeune fille remarqua un jeune homme, qui la poursuivait sur une moto, lui aussi. Il n’avait rien d’un humain ordinaire et pouvait très bien être un ange, tout comme elle, mais Jade remarqua quelque chose de brillant dans sa botte de cuir noir, qui fit en sorte que ses dents poussèrent pour devenir des crocs. Du bronze, comprit-elle. Du bronze. La seule chose qui pouvait tuer un ange, qu’il soit noir ou blanc. S’il était un ange, il aurait déjà hurler de mal, car le simple toucher de bronze infligeait une douleur horrible. Mais le jeune homme ne ressemblait pas à un humain et ne pouvait pas être un ange, donc ce garçon était chasseur d’anges.
Le jeune homme avait des cheveux blond cendré, courts et ébouriffés par le vent, et des yeux bleu tellement pâle qu’on aurait dit de l’argenté. L’argenté d’un ange. Mais Jade n’était pas stupide et savait que les chasseurs utilisaient des lentilles pour ressembler à leurs proies. Il avait tout d’un chasseur. Musclé, bronzé et d’une beauté à faire rêver. Une fille normale et humaine aurait craquer pour lui et il était sûrement le plus populaire de son école. Il n’avait rien de spécial pour Jade, pourtant, et même la cruauté dans son regard ne lui faisait pas frémir. Si cet adolescent pensait qu’il pourrait séduire sa proie avec un simple regard, il pouvait toujours courir.
Jade fit vrombir sa moto et lui lança un regard. S’il me cherche, il n’aura qu’à venir me trouver ! songea l’ange noir, en entrant dans une ruelle, juste avant l’appartement de ses deux amis. Jamais elle ne mènerait un chasseur droit vers la maison de ses camarades, même si les sauver devait lui coûter sa vie. La loi de la bande.
Les deux motos se pourchassaient à une telle vitesse, que la demoiselle ne vit même plus les feuilles des arbres mouvés par la brise. L’avantage de Jade était qu’elle était pourchassée donc qu’elle choisissait où elle allait pour se débarasser de son poids mort. Et en ce moment, elle ne songeait qu’à un endroit : Hummel Steet. Parfait…
Hummel Street était la rue la plus occupée de Burdock. Tout simplement car la bande avait déssiné pleines de dahlias sur les murs. Pour son occupation, elle portait le nom de Hummel Street, d’ailleurs. Aussi occupées que des abeilles dans leur ruche, songea Jade, en évitant une voiture, passant à quelques centimètres de sa moto. En réalité, personne ne s’intéressait à la poursuite qui se déroulait devant leurs yeux. S’ils savaient que ces deux personnes étaient un dangereux ange noir, qui pouvait se transformer en cauchemar, et un chasseur, qui essayait de la tuer avec un couteau de bronze caché dans sa botte ! Mais personne n’était aussi fou pour inventer ça. Sauf que c’est la vérité, songea-t-elle. Mais cela ne fait que trois ans que je sais que je suis un ange et que je fais partie de la bande. Je me doute que je n’aurais jamais imaginer quelque chose dans ce genre non plus. Évidement qu’elle n’aurait jamais put inventer que ces deux motos étaient une course-poursuite entre une légende et un meurtrier. Oui, il faudrait être fou pour y croire. Mais elle avait pourtant cru Rowan, quand celle-ci lui avait appris la vérité de la bande et que Jade en faisait partie, quand elle disait qu’elles étaient des anges.
La moto avait disparu, donc Jade conduit sa moto vers une petite ruelle et l’y gara. Une goutte de sueur coula sur son front et elle se fendit en deux. Elle n’avait pas encore remarqué que la journée était si chaude. Ou était-ce la peur, qui lui faisait tellement de chaleur ? Non. Je n’ai jamais peur. Je suis un ange noir, je n’ai pas peur.
– Toi, tu es une petite maligne, pas vrai ? demanda une voix masculine. Intelligent d’aller à Hummel Street.
La jeune fille se tourna. Elle s’en doutait. Le chasseur d’anges blond. Il était adossé contre un mur de la ruelle.
– Tiens ! lança-t-elle amèrement. Moi qui croyais m’être débarassée de toi ! Tu es plus malin que je ne le croyais ! Comment as-tu réussi à savoir que j’allais venir dans cette ruelle-ci ? Est-ce que tu es nouveau par ici ?
– On peut dire ça. Vos signes de dahlia ne passent pas inaperçus chez les chasseurs, tu sais. Pour la ruelle, cela me semblait logique. Cette ruelle est la seule a mené vers l’appartement de tes amis, n’ai-je pas raison, ange ?
– En effet. Tu n’es pas que muscles, c’est nouveau. Tu dois être un chasseur doué ! Par contre, là, tu ne sais pas à qui tu fais face ! répliqua-t-elle, sifflant entre ses dents qui s’étaient transformés en crocs d’ange noir pointus.
– Jade Knight. Seize ans. Ange de naissance, n’est-ce pas ? Et tu es la chef d’une bande recherchée composée de cinq. Est-ce que tu souhaites que je te dise leur noms ? Est-ce que tu souhaites que je continue ta biographie ?
Jade en resta bouche bée. Il était fort, dis donc. Il savait déjà beaucoup de choses que les autres chasseurs n’avaient même pas réussi à deviner. Elle se demandait soudainement comment il savait tout cela sur elle. Et qu’en sait-il encore, qu’il ne me dit pas ? S’il est aussi bon qu’il ne le montre, il en sait sûrement plus, se dit-elle.
Et puis, une idée traversa son esprit. Une larme coula sur sa joue devenue pourpre, mais pourtant elle demanda.
– Si tu en sais tant, sais-tu dire qui a tué mes parents ? siffla-t-elle, retenant ses larmes, en montrant ses crocs.
– Tu avais huit ans, n’est-ce pas ? demanda-t-il. Je suis désolé, mais je ne le sais pas. Mes parents ont été tués par un ange noir. C’est pour cette raison que je suis devenu un chasseur d’anges noirs, depuis mes douze ans. Le jour de mon anniversaire, j’ai tué mon premier ange noir. Parlant de cela, tu vas aller les rejoindre, Jade Knight.
Le jeune homme braqua son couteau de bronze sur le cou de l’ange. Celle-ci ne voulait même plus se défendre.
Le couteau était à quelques centimètre de sa gorge, quand elle donna un coup de pied contre le tibia droit de son assaillant. Tandis que le chasseur tomba sur le sol, il attrapa la jambe de Jade et la fit basculer sur lui. Ils se trouvaient l’une sur l’autre, leurs nez à cinq milimètres l’un de l’autre. Et leurs regards argentés se perdirent.
– Tu es différent des chasseurs que j’ai rencontré, murmura Jade. Mais je ne connais pas encore ton prénom.
– Et tu es différente des anges que j’ai rencontré, répondit-il d’une douce voix. Je m’appelle Kierlan Daims.
Ils restèrent là, quelques minutes à se regarder et à s’admirer. Un petit sourire apparut sur le visage du jeune homme et les yeux de Jade se mirent à briller. Ses cheveux noirs prirent une lueur dorée, à cause du soleil, et ses yeux semblaient un petit instant devenir amicaux. Pas seulement amicaux, même beaucoup plus. Une sensation qu’elle n’avait encore jamais ressentie, dont elle ne connaissait même pas l’existence. Voilà que se passait ce qu’elle avait tant redouté. Encore avec un ange, ça aurait put allé ! s’exclama-t-elle inférieurement. Mais avec un chasseur, c’est impossible ! Je ne peux pas lui faire confiance, il est… humain. Il me trahira et m’enfoncera sa fichue lame de bronze dans le cœur pour me tuer, après avoir trouver ma confiance. Elle frissona. Sauf qu’il ne la trouvera pas, car ce sera moi qui le tuerai ! Ses yeux reprirent leur lueur cruelle et ses griffes poussèrent.
Jade tapota le sol, tout en évitant que Kierlan ne remarque quoit que ce soit. Il semblait encore toujours ébloui par l’ange, qui le plaquait au sol. Elle cherchait le couteau. Elle avait entendu qu’il tombait sur le sol et voulait le repousser hors de portée de main de sa proie. Un humain sans défense finissait en humain mort. C’était la première leçon que l’on faisait aux anges noirs. Jade sentit ses crocs pousser, entendit ses griffes criser sur le sol de pierre. Son corps mourrait d’envie d’avoir du sang frais, de sentir le liquide chaud et visceux dans ses veines.
Enfin ! Elle avait enfin trouvé ce fichu couteau de bronze et se prépara à le balancer un peu plus loin. Mais la chance lui souriait : la poignée du couteau était fait de bois de chêne, non dangereux pour elle. Jade donna un coup de pied dedans et le couteau virevolta dans l’air, pour aller se planter dans une des poubelles. Elle releva la tête et montra deux canines pointues et aiguisées, cachées à moitié par un sourire diabolique. Ses griffes de deux centimètres de long s’enfoncèrent dans la chair de Kierlan, qui se mettait maintenant à hurler de mal. Les yeux de la jeune fille avaient viré au plus argenté des argentés. Elle se retint tout de même de montrer ses ailes d’une horrible noirceur. Elle vit le sang s’étaler autour d’elle et du chasseur mais, pour une fois, elle ne voulait pas être une meurtrière. Elle voulait rester près de lui pour toujours et ne plus le quitter. Mais elle était déjà unie avec.
Une larme coula sur sa joue et elle dut fermer les yeux pour éviter que d’autres ne tombent de ses fins cils noirs.
– Tu es très différente, Jade. Je n’ai encore jamais vu un ange noir pleurer mais tes larmes sont drôlement magnifiques, avec leurs petits reflets d’argent. Ce sont les larmes pour les liens de larmes, non ? demanda-t-il.
– Si tu crois que je souhaite faire le lien de larmes avec toi, tu rêves ! s’offusqua-t-elle. Jamais je ne transformerai mon déjeuner en une créature de mon espèce ! Mes larmes resteront les miennes et je ne les échangerai avec personne, même pas avec mon âme sœur ! Tu mouriras, comme sont morts tous les autres chasseurs, et tu verras qu’il ne faut pas essayer de massacrer les anges noirs, comme tu l’as toujours dut faire !
– Mais ce sont des larmes argentées ! continua-t-il, ignorant sa mise en garde. Un échange entre des larmes argentées d’un ange et entre les larmes normales d’un humain transformeront l’humain en ange… mais il faut qu’ils soient des âmes sœurs, sinon l’ange ne pleurera pas de larmes argentées comme tu le fais. Oh non ! Non !
Jade lui lança un regard noir. Il semblait enfin avoir compris pourquoi elle voulait le tuer mais ne réussissait pas à lui enfoncer ses crocs dans la gorge. Ils étaient des âmes sœurs, deux personnes destinées l’une pour l’autre.
– Je ne crois pas aux âmes sœurs, dit-il. De toute façon, je ne pense pas que tu y crois, toi-même, Jade Knight.
– Tu m’étonnes ! s’esclaffa-t-elle. Mais il faudra que tu apprenes à y croire, car c’est la seule raison pour laquelle je te laisse partir, Kierlan Daims ! Et, si tu n’y crois pas, tu peux t’attendre à ce que tu ne survives pas.
– Si tu me laisses partir, je ne serai pas obliger de te laisser en vie, moi ! la mit-il en garde. Rappelles-toi de ça !
– Je ne suis pas idiote. Je sais très bien que tu peux prendre ton poignard et me l’enfoncer dans la poitrine, une seconde après que je t’ai lâché ! l’informa-t-elle, avec un regard malicieux. Mais tu ne le feras pas car nous sommes et nous serons toujours des âmes sœurs et cela t’empêchera de me tuer, comme ça vient de me le faire.
Kierlan sembla ébloui et effrayé en même temps par le courage de l’ange, qui semblait si sûre d’elle. Jade ne mesurait même pas le danger auquel elle s’affrontait. Il savait maintenant qu’elle ne pourrait le tuer, car elle était tombée amoureuse de lui et croyait apparement tout de même à ce principe des âmes sœurs. Il ricanna.
Mais Jade n’était pas aussi stupide qu’il ne le croyait. En pensant que ce serait aussi facile, c’était lui qui se conduisait en idiot, comme l’étaient tous les autres chasseurs d’anges qui s’étaient attaqués à elle et à sa bande.
La jeune fille attrapa une planche qui était posée près d’une poubelle et donna un coup avec sous le menton du jeune homme. Elle se releva et dut se mordre la lèvre pour ne pas éclater en pleurs. L’ange ne savait même pas pourquoi cela lui faisait tant de peine, elle avait l’impression que tous les sanglots retenus de sa vie coulaient maintenant et ne voulaient plus s’arrêter. Secouant la tête, Jade essaya de se concentrer sur ce qu’elle faisait. Un assomé gisait devant ses pieds, tout de même ! Mon âme sœur, songea-t-elle, en arrachant le collier qu’elle portait autour de son cou. Un collier magnifique d’ailleurs : une chaîne d’argent blanc avec un pendentif, qui se constituait d’une petite plume de cygne noir et d’un minuscule grelot argenté. Elle le portait toujours avec elle.
D’un sec coup de main, la jeune fille l’arracha de son cou. Elle le regarda un instant, sachant très bien qu’elle allait donner le seul souvenir qu’elle avait de sa mère à un chasseur d’anges qui connaissaient peut-être le meurtrier de ses parents, bien qu’il disait qu’il n’en savait rien. Ensuite, elle l’attacha autour du cou du chasseur.
Redémarrant sa moto, Jade comprit qu’elle venait de faire un faux pas en lui donnant son collier. Mais, elle ne savait pas pourquoi, elle voulait lui donner un souvenir. Pour prouver qu’il n’avait pas rêver, qu’elle existait, qu’elle lui avait échappé, que les âmes sœurs étaient réelles… et qu’ils étaient âmes sœurs. Voilà son vrai but !
La moto démarra et quitta la ruelle, abandonnant ainsi le jeune chasseur. Jade dut se concentrer pour ne pas retourner, vérifier s’il était encore en vie ou même pour le ramener chez elle. Mais elle avait des nerfs d’acier et continua de zigzaguer entre les voitures, se mordant sur sa lèvre pour oublier le jeune chasseur Kierlan Daims.
Tandis que Jade roulait dans les petites ruelles menant à l’appartement des jumeaux, elle commença à se demander si elle avait bien eu de la pitié pour cet humain. Peut-être que c’était de la faiblesse ! s’alarma-t-elle, en prenant un virage. Mais, quand elle passa devant une petite fille de six ans aux cheveux blonds et aux yeux violets qui tirait sa maman vers un magasin de bonbons, Jade ne put s’empêcher de réprimer un sourire. Puis, une pensée noire la traversa. Maintenant, je rigole mais, dans six ans, que ferais-je à cette enfant ? Sûrement que si elle la revoyait un jour, elle n’hésiterait pas à la tuer. Elle commençait à se sentir différente. La pensée et la vue de l’enfant se mêlèrent et Jade en avait mal à la tête. STOP ! Je refuse de rester dans cette bande ! Les anges noirs devraient voir la beauté de ce qu’ils tuent ! Soudainement, elle retourna vers la grande route, fronçant les sourcils. Rapidement, elle trouva ce qu’elle voulait : un coûteau de bronze avec une poignée en bois, comme celui de Kierlan. Mais dans celui-ci, il y avait une inscription en latin qui disait « liberté ». C’était exactement ce qu’elle allait donner aux humains, avec son nouveau métier. Elle serait une chasseresse d’anges.
Mi-ange noir, mi-chasseresse, songea Jade. Il faudra donc que je fasse attention aux deux espèces, car je ne crois pas qu’ils apprécieront quelqu’un qui est à la moitié leur ennemi… C’était bien vrai. Elle ne pouvait plus se rendre pour habiter chez sa cousine Rowan et sa tante Opale, qui était toutes les deux anges noirs. Elles la tueraient tout de suite et, sinon, ce serait bien la bande qui se jetterait sur elle pour la tuer. Mais j’ai un atout, j’ai une poignée de bois. C’est très rare et les anges noirs ne pourront jamais me tuer car ils devraient attraper un coûteau de bronze entièrement en bronze. Cette idée la fit sourire. Le coûteau de liberté allait bien l’aider.
Bonne chance, il devait être long, celui-là, à lire… ^^
HUm tu l'as pas déjà mis celui là si je crois x)
Non. Je n'ai que mis la première page une fois. Ça, c'est la première, deuxième et troisième. ^^ Mais elles sont déjà sur Secret-des-Anges, en tout cas.
- Camilia
C'est pour ça que je me disais mais elle le remet en boucle
Encore une !
Trop forte, je ne fais pas le poids :c
- Akira
Bonjour tout le monde je suis nouvelle et je vais participer ah ah ah !
Titre : L'Histoire sans titre
Par qui : Pianotta (moi)
Date : Je ne sais plus du tout !
Résumé : Une jeune pianiste et follement amoureuse de Pierre ils vivent la parfaite amour jusqu’à ce qu'il la quitte ...
Histoire
"Pourquoi tu m'as fait ça hein pourquoi à moi pourquoi ? POURQUOI ? POURQUOIIIIII ! Dit le moi dit le ! je t'en supplie ne par pas on peux on peux rester ami ? Ne me fais pas ça ne me fais pas ça je t'en supplie ! je t'en supplie..."
Couchée dans mon lit je me rappelle de ce moment quand il me la dit je pleurais depuis que j’étaie rentrée c'est a dire depuis 5 heure avec lui, lui Pierre je filais le grand amour on était fusionnels lui et moi pourquoi ? Pourquoi a t-il fallu qu'il me quitte, qu'il me déserte , qu'il parte ? Car oui il ne m'aime plus et il va partir demain à l'autre bout du monde en Chine et il me lasse. Je repense à comment il me l'as annoncé : "Je ne t'aime plus tu n'était pas ... pour moi ... finalement et puis ça arrangeras que je parte car oui ça y est dans une semaine je pars en Chine"
Je cria de désespoir, je hurla encore et encore puis le sommeille vint me prendre et doucement me fit tombé dans l'oubli. Je m réveillas doucement, lentement , mais il me suffit d'ouvrir les yeux pour que mon chagrin et mon désespoir reviennent je me levas me dirigea vers le piano de ma chambre je m'assis sur le tabouret richement rembourré, oui car j'avais un piano dans ma chambre car je suis issue d'une riche famille et ma passion est le piano, la musique je ne m’attardais pas à jouer ma mélodie préférée :"Lettre à Élise" de Beethoven. La musique s’emparait lentement de moi et me fit oublier ma douleur comme si j'avais sauté dans une grande piscine. Je continua à jouer jusqu'à avoir fini et je continua encore pendant des heures et des heures .
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La suite plus tard !
Sa ressemble à l'histoire de Pouiinie, le thème c'est l'amour et la musique, tout pareil.
:o
- Akira
Ah bon j'ai pas fait gaffe j'ai pas lu pourtant la c'est différent quand même
(je viens de lire XD)
Oui, c'est différent mais oui, mais bon , mais oui, mais ok, osef.
- Akira
Akira la sympathie incarnée ...
Désolé , et ton histoire est bien.
Merci la tienne aussi est bien
Laquelle ? J'en ai fait plein moi è.é Mais sinon merci.
Pouiinie, tu vas être virée de ton boulot d'écrivain, on a des professionnels *-*.
Ouai, pas mal de professionnels. C'est quand le podium ?!
Justement, quelqu'un peux lui demander en MP ^^" ?
MOi je le fais ! Alors Âme Amoureuse. Pour vous c'est qui les pro ?
C'est moi, la meilleure ! Non je rigole. Mais je fais partie des pro ou pas ? Parce que c'est mon rêêêve de devenir écrivaine…
ça va être l'heure du classements !
Ohayo !! Alors, prêt pour le GRAND CLASSEMENT x) ?!!
Ouiiiii !
Cette fois, je fais les 3 Premiers, et en plus, avec l'accord d'Akira, les 3 premiers auront le droit de tester la suite du GamePlay de "Mirai Nikki" ^^.
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TADAAAAAAAAAAAAM !!
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Pemière Place : Secret Des Anges ( De Camilia )
Deuxième Place : Prisoner of love ( De Akira ) & Elwings ( De Elenn )
Troisième Place : L'Histoire Sans Titre ( De Pianottea )
Bravo tout le monde !!
Donc le sublime roman n'est pas là bon tant pis je continue :
Titre : Les 4 dieux
Par qui : Moi :Alice
Date : Euh no coment x)
Résumé : Dans la grande forêt de Moonacre ou vivent 4 peuple une éruption surprise à decimée toutes les races : les nymphâmes, les humains, les gnomes, et les centaures
Il croit dure comme fer aux quatres dieux : Nihaïne déesse du printemps Anahal dieu de l’été, Adahrïne dieux de l’automne, Soahanime déesse de l’hiver
3
L’Initiation
Ca faisait 3 jours qu’une ambiance électrique pesait dans la maison aussi, nous sortions moi et Adhonna dans le village, et nous en sortions pour aller dans la clairière que nous avions trouvée au début ce n’était que de l’herbe défraichies mais grâce à mon dons je l’avais rendue tendre et douce comme le velours aussi je fis pousser des fleurs et des buissons, mais bon ma mutation n’était pas très entraînée donc ça restait au stade de bourgeon, tant pis ça pousserais avec le temps, le temps je crois que c’est la plus belle chose qui existe il arrive et comme le vent au fur et a mesure balaye tout nos malheurs, nos soucis, nos chagrins, et il les utilise pour nous donner la force de nous reconstruire et d’arriver à nous relever et de devenir plus fort, et c’est avec l’appui de ma sœur et du temps que j’allais m’entraîner et balayer ce sal bout de bois, Adhonna pensé pareille elle aussi je le savais. Un jour alors que nous nous entrainions, une pensée me traversa l’esprit : j’allais m’entraînée chez Cronach et quand je serais la plus puissante, je le réduirais au silence éternel, oui j’allais laissée ma rage parlée et je déclaras :
« Je vais chez Cronach »
Adhonna avait dit ça en même temps que moi, alors nous nous levâmes et sortirent de la clairière, et nous rendîmes chez Cronach, nous nous arrêtâmes devant la lourde porte je tournas la tête et nous regards se croisèrent nous étions déterminés et à deux nous poussâmes la lourde porte. Cronach était debout et nous faisais face, sa voix grinçante s’éleva dans le hall :
« Je vous attendais mesdemoiselles, je suis vraiment ravis de vous voir en ces lieus »
Pas de réponse il poursuivit :
« Suivais moi »
Nous nous exécutâmes il nous emmena dans une pièce, elle était aussi accueillante que la prison, et je la connaissais bien la prison j’y été allé quand j’été petite parce que j’avais mordu jusqu’au sang un garde qui sr veillait un animal trop mignon ça m’avait value une nuit entière là-bas, la pièce où Cronach nous avait emmené était fermé seulement une fenêtre étroite faisait rentré un brin de lumières, je frissonnas, la pièce comportait un banc, un fauteuil, et 2 livres. De longues minutes s’écoulèrent et Cronach parla :
« Ici nous allons étudier l’histoire de cette forêt les arbres qui la constituent, les espèces qui la peuple, les dieux anciens, nos origines.
-Par où on commence ? » J’avais décidée d’être rebelle et ironique.
« Nous allons commencer par le commencement …
-Et qu’elle est-il ?
-Vous devez mieux savoir ce qui vous entoure …
-Eh bien expliquez. »
Je l’avais interrompue encore une fois, j’été contente de moi, il enchaîna :
« J’allais le faire si vous ne m’interrompiez sans cesse, alors je disais je notre zone
« Zone ?
« Oui car ici n’st qu’une infime partie du monde, mais c’est ici que tout trouve son équilibre car ici est dans l’essentiel de la magie la concentration, la magie y règne en maître. Une pureté, une … lumière éclaire nos décisions mais dans les temps ancien avant la destruction de l’éruption les différents peuples croyait et priait pour les 4 dieux : Nihaïne déesse du printemps Anahal dieu de l’été, Adahrïne dieux de l’automne, Soahanime déesse de l’hiver. Je vais vous les décrire en détails : Nihaïne est la déesse du printemps car c’est la saison ou tout naît et renaît de la glace de l’hiver de Soahanime, mais elle consacre son temps à la paix et l’harmonie des créatures qui vivent dans la Zone
« Anahal est le dieu des moissons et de l’été ils s’occupent de la nourriture qu’ont besoins les créatures d’ici il veille sur les terres pour qu’elles soient toujours fertiles
« Shevrack lui est totalement différent il protège et donne des armes aux créatures de la forêt, et il protège des pouvoirs maléfiques qui rôde pour s’emparer des puissances magiques qui y sont cachés, mais ils ne nous laissent pas seuls ils nous offrent, il nous fait cadeaux ! Des mutations qui nous sont si précieuse
« Ensuite il y a Soahanime la dernière elle fait l’hiver elle repose la terre en recouvrant de son manteau blanc dessus elle offre une période repos mais sans le vouloir peux nous tuer ou nous punir avec ses maladies
-Ils sont censé exister ?
-Chacun y croit ou pas
-Et vous ?
-J’y crois »
La fin de journée arriva vite papa et maman ne savait je crois que cette soirée va être très agréable …
Je rentras à la maison avec ma sœur j’étais heureuse de ne plus voire Cronach mais un poids m’étreignait la raison qu’allais dire mes parents ? Devrions-nous garder cela secret ? Et quand bien même il le saurait le mieux serait de leur dire mais comment vont-ils réagirent ? Seront-ils calment et comprendront ou vont-ils s’enfermer dans leur pensée comme la dernière fois ? Et peut-être allez t-ils nous interdirent de continué l’apprentissage ? Nous laisserons t-ils tombaient ? Ou encore nous encourageraient-ils ? Et puis pourquoi avaient-ils parlé de danger ? Cronach avait juste expliquait l’ancienne religion. Tant de questions toutes sans aucune réponse. Adhonna aussi se posait des questions cela ce voyait comme une goutte de sang sur la neige. Elle avait une mine blafarde sur son visage une expression d’interrogations. Est-ce que moi aussi cela c’était autant vue ? Nous arrivâmes devant la maison. Je pris une inspiration et entras Sinaïh et Soanarine était là ils nous tournais le dos en train de faire à manger. C’est pendant le repas que je trouvas le courage de leur annoncer la décision que nous avions prise nous étions en train de manger une perdrix que je me lanças :
« Euh j’ai quelque chose à vous dire, euh en faites Adhonna et moi on va …
-Poursuivre l’Initiation »
Adhonna avait fini ma phrase. Sinaïh pris la parole :
« On s’en doutait
-Ah …
-En faite c’était très prévisible de votre part quand on vous connaît
-Nous vous laisserons faire votre Initiation seulement à une condition »
Cette fois c’était Soanarine qui avait parlé.
« Laquelle ? » Avais-je demandé fébrilement
« Vous devrez nous jurez de prendre toutes les précautions pour votre sécurité, et si vous avez un dilemme prenez la solution la plus prudente. Vous nous le jurez ?
-Oui » Nous avions répondus à l’unisson
Nous poursuivîmes le repas tranquillement
Trop bien *-*,tu me signes un othographe ?
- Akira
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