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Whatt > C'est pas mal, j'aime bien :)

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Ça, ça peut s'améliorer, c'est normal de trouver des choses mal écrites (ou qui auraient pu être mieux écrites) lorsqu'on relit un de nos textes.

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sup!

Plop :D
Je passe rapidement pour poster un chapitre d'une histoire que j'ai commencee il y a quelques semaines... Je travaille encore sur le scénario (avec le soutien de Whatt) et l'univers, mais je pense que ça n'affectera pas ce que j'ai écrit. Après, bien sur, ce n'est qu'un premier jet, donc ce n'est pas parfait, mais Whatt aimerait bien pouvoir lire ça alors voila :°
Encore une petite précision, étant donne l'Etat de mon ordi, je suis passée a la tablette que j'ai reçue a Noël. Ce n'est pas pratique et j'ai pas trop trop accès aux accents, des fois je suis aidée par le correcteur et des fois pas, donc je m'excuse pour toutes les fautes.

I - Le Cavalier de la Dame

Il prit conscience dans un silence absolu, et dans un noir non moins absolu. Rien ne semblait bouger autour de lui, aussi décida-t-il sagement de ne pas bouger non plus.
Cela ne l'empêcha pas de constater qu'il était debout (du moins le supposa-t-il, aidé par la raideur de ses jambe). Il avait une vague notion du monde, mais aucun souvenir pour compléter cette intuition floue. Et, a bien y songer, il ne savait même pas dans quelle langue il pensait. C'est probablement, songea-t-il, avec le langage de l'esprit, qu'on ne formule pas vraiment mais qui ordonne tout de même les idées. Pas besoin de connaître une langue pour pouvoir penser. Cette conception des choses le fit réfléchir quelques instants, a moins que ce ne fut plusieurs heures, car il n'avait pas la moindre notion du temps (il aurait pu compter ses respirations, mais il était si profondément plonge dans ses réflexions qu'il n'y pensa pas). Mais cette explication, bien que presque satisfaisante, ne le rassura pas, car c'était assez inquiétant, de savoir qu'il ne savait presque rien, et d'ignorer s'il pourrait un jour communiquer avec qui que ce soit. Mais formuler tout cela, même dans le langage de l'esprit, était ardu, et il arrivait si peu a simplifier ce concept du langage de l'esprit qu'il décida de cesser cette réflexion. Il s'était bien éveillé, il pouvait bien s'endormir...
Ce fut a ce moment-la qu'une idée aussi lumineuse qu'evidente et saugrenue que normale lui traversa l'esprit.
"Tiens, et si j'ouvrais les yeux ?"
Une fois cette pensée formulée, même dans le langage de l'esprit, il entreprit de la mettre en oeuvre.
Péniblement, dans un effort qu'il n'aurait pas cru devoir fournir, il decolla ses paupières engluees l'une de l'autre, les yeux fronces, des larmes plein les cils. La lumière était trop forte a son goût, et il mit plusieurs minutes a s'habituer a ce ciel vif, trop vif, ou se trouvait un soleil bien trop éblouissant a son gout. Une fois que ce fut fait, il baissa les yeux vers le sol dont la couleur sobre contrastait avec le bleu du ciel. C'était de l'ardoise d'un simple gris mat, dont il devinait qu'elle était brûlante au soleil, et qui, si elle reflétait la lumière du soleil, n'agressait pas trop les yeux, qualité qui semblait rare dans ce lieu désertique.
Il porta une main en visière au dessus de ses yeux, et presque instantanément, comme si le fait de faire un geste avait suffi pour débloquer son ouïe, il entendit un renaclement derrière lui.

(Voilà. C'est court mais c'est normal, j'ai prévu de faire des chapitres a la Werber xD)

[Jannoupeau, of course.]

Jannou, tu es épatante. D'abord, tu écris vraiment bien, mais, en plus, tu as des idées originales, qui sortent de l'ordinaire par rapport à ce qu'on peut lire d'habitude (je parle des écrits amateurs, et davantage encore des écrits amateurs de jeunes personnes comme toi ^^. Je précise que je ne dis pas non plus que ce que font les autres est nul, mais ce que tu écrit est, à mon sens, largement supérieur à la moyenne).

Bref, on ne devine pas du tout ce qui va bien pouvoir se passer ensuite, mais on veut le savoir :D. La seule indication serait éventuellement le titre du chapitre... qui reste quand même bien mystérieux (personnellement, ça me fait penser à un échiquier ou à Alice au pays des merveilles).

Quand j'ai commencé à lire ton message, je ne pensais pas que c'était toi à cause des accents manquants ^^ Je me suis dit que ce n'était pas possible que ce soit toi xD. Heureusement que tu as expliqué :P

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Bonjour! Je reviens avec une nouvelle histoire après Enfer et Dobby-Braw -->

Above us. Au dessus de nous. Un texte écrit en anglais où je posterais qu'en anglais. Je suis en CM2 donc si des fautes, dites-le moi

-------------------- Résumé

Above us

My name is Suzan. And his name Flynn. Today, We have do one thing... awful... I cried and laughed at the same time. Until I told him and yelled it ...
- No! Stop! Flynn you are difficult and awful!
He rose and he say:
- Me or you? I dont know why you say " Flynn you are difficult and awful "!
- You! You know say its and its and its and its and...
- Stop! My name is Flynn Jackson! You, you! You have destroyed my life! My dreams!
- You dont say never what you think!
- And there!

It hit me. I are rise and i ran up in one first home. I saw, was people. Then in one second home. It was dark, very very dark. One true forest dark. On the
walls, blood sparkled in the light of the moon, until I hear a noise...



Vous en pensez?

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Dans ma famille *** avec + de 18 en moyenne comprend

Mais pourquoi tu n'écris pas en français ? u.u

Au dessus de nous.

Mon nom est Suzanne. Et son nom Flynn. Aujourd'hui, nous avons fait une chose ... horrible ... J'ai pleuré et ri en même temps. Jusqu'à ce que je lui ai dit et qu'il cri ...
- Non! Arrête! Flynn vous êtes difficile et terrible!
Il se leva et il dit:
- Moi ou toi? Je ne sais pas pourquoi vous dites «Flynn vous êtes difficile et horrible"!
- Toi! Vous savez dire sa et sa et sa et sa et ...
- Arrête! Mon nom est Flynn Jackson ! Et vous, vous! Vous avez détruit ma vie! Mes rêves!
- Vous ne dites jamais ce que vous en pensez!
- Et là-bas!

Il m'a frappé. J'ai couru dans une première maison. Il y avait des gens. Puis, dans une deuxième maison. Il faisait sombre, très sombre. Une vrai forêt sombre . Sur les
murs, le sang brillait dans la lumière de la lune, jusqu'à ce que j'entende un bruit ...

Je ne comprends pas l'histoire ><
Que ce soit en anglais ou en français...

Et franchement, n'utilise pas de traducteur automatique, ça ne sert à rien ! Déjà, avec un texte correctement écrit en français, sans faute, ça ne traduit pas très bien, mais alors si tu as des fautes dans le texte en français, ce n'est même pas la peine... Comment veux-tu que ce soit compréhensible ?

Sa n'a pas de sens au début. mais après à la suite, sa en as....

On ne comprend pas grand chose, en tout cas...

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C'est un résumé du coup, il faut attendre la suite pour comprendre.

Un résumé devrait être compréhensible.

Il faut lire l'histoire en entière pour tout comprendre.

Bon bah alors écris la en entier ou du mins, écris ce qu'il faut pour que nous comprenions un minimum ><

Pout tout comprendre, faut que je finisse l'histoire xD

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+1 :s

+1 ??

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Ha...

En fait, ce que je n'ai pas compris, c'est pourquoi tu dis que ta famille, qui est prétendument forte en anglais, comprend, alors que finalement en français personne ne comprend, et tu justifie ça par le fait que ce n'est pas en entier ? Si tu postes un texte qui n'est pas compréhensible, ça ne sert pas à grand-chose, et si ta famille comprend, donne-nous ce que tu lui a donnée :/

Enfin bref ^^'
J'ai ressaisi à l'ordinateur mon précédent texte, et j'ai amélioré la fin, donc je le reposte, normalement sans fautes d'orthographe... Et je joins le deuxième chapitre :D
Ce qui est entre guillemets était à l'origine en italique.

I – Le Cavalier de la Dame

Il prit conscience dans un silence absolu, et dans un noir non moins absolu. Rien ne semblait bouger autour de lui, aussi décida-t-il sagement de ne pas bouger non plus. Cela ne l’empêcha pas de constater qu’il était debout (du moins le supposa-t-il, aidé par la raideur de ses jambes). Il avait une vague notion du monde, mais aucun souvenir pour compléter cette intuition floue. Et, à bien y songer, il ne savait même pas dans quelle langue il pensait. C’était probablement, songea-t-il, avec le langage de l’esprit, qu’on ne formule pas vraiment mais qui ordonne tout de même les idées. Pas besoin de connaître une langue pour pouvoir penser. Cette conception des choses le fit réfléchir quelques instants, à moins que ce ne fut plusieurs heures, car il n’avait pas la moindre notion du temps (il aurait pu compter ses respirations, mais il était si profondément plongé dans ses réflexions qu’il n’y pensa pas). Mais cette explication, bien que satisfaisante, ne le rassura pas, car c’était assez inquiétant, de savoir qu’il ne savait presque rien, et d’ignorer s’il pourrait un jour communiquer avec qui que ce soit. Mais formuler tout cela, même dans le langage de l’esprit, était ardu, et il arrivait si peu à simplifier ce concept du langage qu’il décida de cesser cette réflexion. Il s’était bien éveillé, il pouvait bien s’endormir…
Ce fut à ce moment-là qu’une idée aussi lumineuse qu’évidente et saugrenue que normale lui traversa l’esprit.
"Tiens, et si j’ouvrais les yeux ?"
Une fois cette pensée formulée, même dans le langage de l’esprit, il entreprit de la mettre en œuvre.
Péniblement, dans un effort qu’il n’aurait pas cru devoir fournir, il décolla ses paupières engluées l’une de l’autre, les yeux froncés, des larmes plein les cils. La lumière était trop forte à son goût, et il mit plusieurs minutes à s’habituer à ce ciel vif, trop vif, où se trouvait un soleil trop éblouissant à son goût. A perte de vue, il n’y avait que lumière, jusqu’à l’horizon où le ciel embrassait le sol. Une fois qu’il se fut habitué à cela, il baissa les yeux vers le sol dont la couleur sobre contrastait avec le bleu du ciel. C’était de l’ardoise d’un simple gris mât, dont il devinait qu’elle était brûlante et qui, si elle reflétait la lumière du soleil, n’agressait pas trop les yeux, qualité qui semblait rare et même unique dans ce lieu désertique.
Il porta une main en visière au dessus de ses yeux, et presque instantanément, comme si le fait de faire un geste avait suffit pour débloquer son ouïe, il entendit un renâclement derrière lui.


II – La Cavalière du Roi

Elle se retourna brusquement et fit face à celle qui était à l’origine de ce qu’elle avait entendu. Elle planta ses yeux gris dans ceux, noirs, de la Dame, et se contenta de répéter stupidement :
- Je dois aller chercher quoi ? Qui ?
La Dame haussa un sourcil vaguement attentif et répondit calmement :
- Je t’ai demandé d’aller chercher mon Cavalier, jeune Cavalière. Cette tâche te poserait-elle un problème quelconque ?
La Cavalière, indécise, perdue, ne put s’empêcher de balbutier :
- Mais… Mais… Où ? Je l’ai vu s’entraîner, il y a seulement quelques heures…
- Ah ! Lui ! Mais il n’est pas Cavalier, très chère. Du moins, il ne l’est plus.
La Dame était sereine et souriante, et en face d’elle, la Cavalière, pleine de désarroi, ne comprenait pas. Elle détestait ne pas comprendre. Et c’était si rare qu’elle se sentait… Humiliée.
- Il ne m’a pas dit… Mais que fait-il alors ? Et qui est Cavalier ?
Au moment où elle prononçait ces mots, elle comprit, mais elle ne put empêcher un éclair de déception de passer dans ses prunelles vives lorsque la Dame confirma ses pensées :
- Cela ne te regardait peut-être pas… Il a changé. Nous avions besoin de lui autre part.
"Il a tort."
La Dame reprit, comme si elle lisait dans ses pensées :
- Il n’avait peut-être pas tort de changer… Tu comprendras peut-être aussi cela, toi, un jour…
"Si, il avait tort. Et moi, je resterais toujours Cavalière."
- Et on n’a pas toujours le choix.
"Si, on a toujours le choix. Il suffit de le discerner et de choisir. J’aurais toujours le choix, moi."
La Dame sourit d’un air condescendant et changea de sujet :
- Pour mon Cavalier… Si tu n’as toujours pas deviné, tu n’auras qu’à aller voir. Il est au Nord du Plateau. Va vite, jeune Cavalière !
Ces paroles étaient sans appel et la Cavalière renonça à y répondre, ne serait-ce qu’en pensée. Sans jeter un regard en arrière, elle fit volte-face et se dirigea vers la porte, puis parcourut rapidement les couloirs jusqu’à la sortie. Souffle, son cheval à la robe grisonnante, l’attendait dehors, sellé. C’était probablement sa sœur qui lui avait préparé, et elle nota mentalement de la remercier. Puis elle enfourcha Souffle et partit au trot.


Voilà voilà ^^
N'hésitez pas à donnez vos avis, positifs ou négatifs pourvu qu'ils soient constructifs :P

Et à bientôt pour un prochain chapitre, peut-être \o/

[Jannoupeau... What else ?]

J'aime beaucoup l'histoire, ça se lit d'une traite ^^

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À un moment tu répètes deux fois le mot 'sol', espacé de peu ... Ça fait un peu répétitif :p

Mais j'aime, j'aime :DD

-Milie.

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C'est space mais intéressant :P.

Très space, même moi quand je le relis je me dis "Woulà, c'est vrai que ça a l'air chelou quand même" ^^'
Mais bon c'est le genre de truc qui m'arrive de temps en temps j'avais jamais pensé à l'écrire...

Encore oublié de signer °0°
C'est Whatt.